Dossier d’œuvre architecture IA31012421 | Réalisé par
  • recensement du patrimoine thermal
station thermale de Bagnères-de-Luchon
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Inventaire général Région Occitanie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pyrénées - Bagnères-de-Luchon
  • Hydrographies la Pique
  • Commune Bagnères-de-Luchon

Les sources thermales de Luchon sont connues dès la période gallo-romaine ; en effet, aux "thermes onésiens" évoqués par Strabon vers 19 avant notre ère, semblent correspondre différents vestiges (autels votifs, bassins, canalisations et réservoirs, objets cosmétiques...) mis au jour notamment au cours des réaménagements successifs du site entre les milieux des 18e et 19e siècles.

Pendant le Moyen-Âge et le début de l'époque moderne les sources ne font pas l'objet d'aménagements importants et restent d'usage très local car Luchon est alors mal desservie. Lors de son passage en 1667, M. de Froidour, inspecteur des forêts qui parcourt la chaîne des Pyrénées, note la présence d'une fontaine d'eau chaude où l'on se baigne qu’il juge remarquable. "Je tiens ce bains excellent et aussi souverain que pas un de tous ceux dont vous avez pu ouïr parler, mais la misère du lieu de Bagnières, où il est peu de commodités qu’on y trouve et la rusticité du peuple de ce lieu font qu’il est peu fréquenté" constate-t-il. Il décrit une grange avec des chambrettes, "véritables trous" où les malades viennent suer après leur bain.

Au milieu du 18e, les bains n'ont guère évolué et consistent en une unique piscine, difficile d'accès, complétés par neuf auges en bois pouvant accueillir chacune deux personnes tête bêche. Cet aménagement est dû à Jacques Barrau, fermier des bains à partir de 1754, qui fait également construire un toit.

Une station structurée par ses allées

L'acte de naissance de la station thermale proprement dit est la construction de routes desservant la ville dans les années 1760 : le baron d'Étigny, intendant d'Auch ouvre ainsi une liaison entre Montréjeau et Luchon, puis entre Bagnères-de-Bigorre et Luchon. Pour relier le bourg à ses sources, il fait tracer une longue allées plantée d'une double rangée de tilleuls entre les deux qui s'est avérée la colonne vertébrale de la nouvelle station, lancée à la même époque par la venue de personnalités importantes comme Le prince de Lambesc ou le maréchal-duc de Richelieu ou l en 1763, ce dernier revenant en 1766 accompagné de la comtesse de Brionne.

Le nouvel intendant, Charles Fournier de Lachapelle aménage en allées l'arrivée des deux routes à Luchon : celle en direction de Bagnères prend le nom d'allée des Zéphyrs (puis des Soupirs) et est plantée de sycomores et sorbiers tandis que celle vers Montréjeau, l'allée de Barcugnas est plantée de platanes. Une troisième allée plantée de saules pleureurs longeait les bords de l’One.

Les préfets poursuivent l’œuvre des intendants par trois nouvelles allées dans le quartier thermal et le long de la rive de la Pique décidées par deux arrêtés préfectoraux 24 mars 1809 et 14 février 1810. Elles sont plantées d’ormeaux à larges feuilles (allée de la Pique, 1823, renommé allée des Bains en 1832), d’érables, de platanes (allée du Piqué, 1808-1810, devenu boulevard Alexandre Dumas) et de peupliers (allée des Veuves, 1832, désormais boulevard Henri de Gorsse). Ces allées étaient donc individualisées par leurs plantations et comportaient deux rangées d’arbres ainsi que des rus d’eaux fraîches et vives accompagnant le promeneur. Le maire Étienne Sengez les fait interdire aux charrettes : ce son bien des allées de plaisance. La première allée des Bains, tracée en 1759, a été renommée en 1832 du nom de l'intendant d'Étigny qui l'avait fait tracer. Luchon a été essentiellement dessinée par son réseau d’allées mais présente l'originalité d'avoir été l’objet d’une proposition de véritable « cité-jardin » avant l'heure par le docteur Amédée Fontan en 1838, qui prévoyait un immense parc où seraient disséminés salle de jeux et de réunion, cabinet littéraire, allées et une pièce d’eau qui ne donnera pas lieu à réalisation.

Du bourg thermal à la "Reine des Pyrénées"

Un établissement de bains est reconstruit successivement à l'extrémité de l'allée, au point d'émergence de la source : bains Lachapelle (fin 18e, inachevés), thermes de la Reine (1805), puis thermes Chambert (1848), complétés par le parc des Quinconces et un parc thermal. Il est dans la première moitié du 19e siècle concurrencé par des bains privés (Richard, Lassalle, Ferras, Soulérat) finalement rachetés par la Ville.

Campardon écrit en 1763 que la ville est "petite, pauvre" et que" la plupart des maisons y sont bâties en pierre et couvertes de chaume" (op.citée p.522). Cinquante ans plus tard le médecin Soulérat décrit en 1817 "des maisons bâties dans le goût moderne, meublées avec élégances [qui] offrent des logements agréables et commodes aux étrangers" (op. citée p. 4). La station s'est fortement développée dans la seconde moitié du 19e siècle pour accueillir les curistes de plus en plus nombreux. Elle gagne alors son appellation de "reine des Pyrénées" qui est due à l'écrivain Pierre Nicolle dans son ouvrage Course dans les Pyrénées, la montagne et les eaux paru en 1854.

La comparaison entre le plan cadastral de 1837 (section B, feuilles 2 et 3) et le plan publié par Lambron en 1860 montre la densification du quartier thermal. En 1837, l'allée d'Etigny n'est pas encore construite de façon continue et s'est densifiée en 1860. Dans le quadrilatère de la Lane, aménagé dans les années 1810 par les allées, il n'y a qu'une petite construction en 1837, alors qu'en 1860, les côtés de ses allées sont progressivement construits et quelques villas et un casino ont pris place dans l'emprise du quadrilatère. Au milieu du 19e siècle, seuls les abords immédiats de l'allée d'Etigny et des Quinconces étaient donc occupés, complétés par quelques villas bordant l'allée du Piqué (actuellement avenue Alexandre Dumas) et la rive gauche de la Pique. La rue Spont a été lotie à partir de 1859, prolongée ensuite par le percement de la rue Colonic.

Deux équipements importants ont permis et structuré ce développement : la gare (1873) et le casino et son parc (1880) qui prennent place dans le quadrilatère défini par les allées percées pendant le premier tiers du 19e siècle. La station s'est étendue au sud-est du bourg et a occupé progressivement l'espace situé entre l'allée d'Etigny et la rivière de la Pique.. Autour du casino, en prévision de sa construction, trois avenues aménagées en triangle dans les années 1860 ont loti ce quartier qui était alors encore une terre agricole. Au sud du parc thermal, le quartier entre la route d'Espagne et le pont de Saint-Mamet a été également urbanisé au cours du troisième quart du 19e siècle. La rue Sylvie a été percée en 1881, pour relier, via un passage couvert, l'allée d'Etigny au parc du casino et a connu alors un grand succès commercial, abritant le bureau des postes et télégraphes, des médecins, des photographes et des boutiques de luxe.

La densification de la station thermale peut être suivie de près grâce à des plans réguliers qui indiquent les noms et adresses des propriétaires des maisons et hôtels mis en location pendant la saison des eaux. Il y a celui publié par Lambron en 1860 puis en 1873 où l'on voit l'emprise du casino et de son parc , un autre en 1874, puis en 1882 et 1898 et un plan général en 1908.

La part des curistes, majoritaire jusqu'aux années 1860, a ensuite décru parmi les personnes venus en villégiature à Luchon et le phénomène a été amplifié par l'arrivée du train (Hagimont, op. citée p. 156-159). Le dépouillement des arrivées pour la saison thermale de 1881 (Cazes, op. citée, p. 35) montre que les étrangers représentent alors le tiers de la clientèle, dont 70% sont des Anglais.

La diversification du 20e siècle

Le début du 20e siècle voit l'apogée de la station thermale (construction du Pyrénées-Palace en 1913 à proximité du casino) et la naissance de la station de sport d'hiver avec l'inauguration du chemin de fer à crémaillère de Superbagnères en 1912 dont la gare a occupé l'emplacement sur l'allée d'Etigny de l'hôtel du Parc, détruit par un incendie en 1910. L'éclairage électrique de la station avait été mis en place dans les années 1900. En 1908, c'est un golf qui est inauguré dans le quartier inondable de la Pique ; il est promu sur une affiche datée de 1911 en contrepoint des sports d'hiver (AD 31 26 FI 31 2383). Il est suivi quelques années plus tard par l'aménagement de courts de tennis. Ces deux activités sont relancées en 1931 par la Société du Golf et du Tennis de Luchon, complétées par un minigolf. Des courses de chevaux sur l''hippodrome de Moustajon, au moins depuis 1879, et des spectacle de taureaux dans l'arène de Luchon (entre 1898 et 1907) venaient aussi élargir la gamme des loisirs proposés par la station.

Dans le classement de 1913, Luchon a été reconnue comme "station climatique" en même temps que comme "station hydrominérale". Les chiffres de la taxe séjour sont bien connus pour la décennie 1923-1933 (ils sont publiés dans les Annales des établissements thermaux, cercles, casinos, eaux minérales et dans l'Avenir de Luchon en 1927, voir le détail en annexes du dossier de présentation de l'inventaire du patrimoine thermal dans les Pyrénées). Il se caractérisent par une croissance jusqu'en 1930, une forte baisse en 1931 et 1932 mais une reprise vigoureuse dès 1933 qui dépasse le niveau de 1930. En terme de classement parmi l'ensemble des stations hydrominérales et climatiques, elle oscille entre la 3e et la 5e place, en fonction de la prise en compte ou non de Biarritz et de Hyères, mais est toujours distancée par Evian et Aix-les-Bains. C'est donc la première des stations pyrénéennes pour cette période d'une dizaine d'année, à l'exception de 1932 où elle est distance de peu par Cauterets.

Année Produits de la taxe Rang parmi les stations hydrominérales et climatiques

1923 117 648 5e

1924 122 632 5e

1925 118 418 3e

1926 138 411 5e

1927 141 451 5e

1929 167 888 3e

1930 171 689 3e

1931 131 210 3e

1932 112 806 4e

1933 174 000

Le casino fait l'objet d'une transformation en façade en 1929 et son escalier monumental est remonté à la mairie. Les thermes Chambert ont été également nettement agrandis au 20e siècle, successivement par le Bâtiment du Prince Impérial puis par le Vaporarium, bâtiments qui ont connu plusieurs versions, les dernières datant de 1953 et 1969.

  • Période(s)
    • Principale : Gallo-romain
    • Principale : 2e moitié 18e siècle
    • Principale : 19e siècle
    • Principale : 1er quart 20e siècle

La station thermale de Luchon est la plus méridionale des stations des Pyrénées centrales. Elle est contigüe au bourg historique par rapport auquel elle est située au sud-est. Son implantation était conditionnée par trois éléments naturels : l'emplacement des sources, le massif de Superbagnères qui en fournit la limite ouest, et la rivière de la Pique, à l'est. Le pôle de l'établissement thermal forme l'angle d'un rectangle qui relie la rivière de la Pique par l'allée des Bains, le pont de Montauban et le départ de l'allée d'Etigny. Un triangle d'avenues est implanté dans ce quadrilatère et délimite l'emplacement du casino et de son parc. La gare est établie au nord-est du bourg, au lieu-dit Barcugnas et était reliée à la station par des omnibus et véhicules particuliers.

Les hôtels, résidences meublées et restaurants se concentrent sur l'allée d'Etigny et à proximité des thermes (sur les Quinconces, allée des Bains et route d'Espagne). Deux grands hôtels sont plus spécifiquement associés au casino après sa construction : le grand hôtel du casino (actuellement hôtel Majestic) et le Pyrénées-Palace. Les villas sont pour la plupart établies aux abords des parcs et à proximité de la rivière de la Pique. L'architecture est dominée par la tendance néo-classique, très présente notamment sur l'allée d'Etigny et les Quinconces. Mais l'éclectisme a aussi fortement laissé sa marque, notamment dans la réinterprétation de formes empruntées au Moyen Âge et à la Renaissance. Enfin, un autre groupe d'édifices, dont les plus emblématiques sont les chalets Spont, relèvent de l'architecture pittoresque et renvoient au type du chalet avec la forte présence de bois découpés. Quelques hôtels, reconstruits dans les années 1930, ont reçu des modénatures particulières à cette époque et se caractérisent par la présence de bow-windows.

Quel que soit leur habillage architectural, les édifices présentent globalement une organisation similaire : un soubassement semi-enterré était voué aux pièces de services, le rez-de-chaussée abritait les pièces de réception commune tandis que les chambres occupaient le ou les étages. Enfin, les combles permettaient de loger le personnel de service. Les variations portent sur la forme des perrons, la distribution et les matériaux des balcons et garde-corps, le format des baies et des lucarnes des combles. Le caractère d'architecture de villégiature est accentué par les jeux sur les volumes, entre avancées et décrochements, bow-windows et belvédères et par l'abondance des éléments décoratifs.

Les allées plantées, les Quinconces, les deux parcs (des thermes et du casino), les jardins privés des villas et l'arrière-plan de la montagne donne son caractère très végétalisée à la station qui l'apparente à une cité-jardin. Elle se caractérise par la mise en perspective d'une nature extrêmement maîtrisée par la main humaine (allées, quinconces) à proximité des pôles urbains et où l'intervention humaine décroît au fur et à mesure qu'on s'en éloigne et qu'on se rapproche de la montagne. Les parcs sont ponctués de petite fabriques à l'allure pittoresque, dont la vocation mêle utilitaire et loisirs, et de statues variées vouées à ponctuer les promenades.

  • Statut de la propriété
    propriété privée
    propriété publique

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Haute-Garonne, 2 O 42 20 (3), Ville de Luchon, ancien hôpital thermal transformé en école maternelle, plan topographique. Antonin Esparbès, architecte de la ville. 10 décembre 1908.

    AD Haute-Garonne : 2 O 42 20 (3)
  • Archives départementales de la Haute-Garonne, 2 O 42 20 (7), Plan général de la ville de Bagnères-de-Luchon dressé par M. Castex, architecte, 1898.

    AD Haute-Garonne : 2 O 42 20 (7)

Bibliographie

  • Fontan, Amédée Jean Pierre, Recherches sur les eaux minérales des Pyrénées, de l'Allemagne, de la Belgique, de la Suisse et de la Savoie, 2e édit. Paris, 1853, 510 p.

  • HAGIMONT Steve. Commercialiser la nature et les façons d'être : une histoire sociale et environnementale de l'économie et de l'aménagement touristiques (Pyrénées françaises et espagnoles XIXe-XXe siècle, Thèse de doctorat en histoire sous la direction de Jean-Michel Minovez et Vincent Vlès, Université Toulouse Jean Jaurès, 2017, 2 Vol. (1 061 p. ; 149 p.)

  • Cazes Georges, Le tourisme à Luchon et dans le luchonnais, Cahiers de l'association Marc Bloch de Toulouse, études géographiques n°1, Toulouse institut de géographie, 1964, 222 p.

  • Soulérat (Arnauld), Nouvelles observations sur les eaux thermales de Bagnères-de-Luchon, Toulouse : de l’imprimerie de Caunes, 1817, 58 p.

  • Doit-Lambron (docteur), Luchon médical et pittoresque, édition révisée et complétée de l'ouvrage du Docteur E. Lambron, Paris : O. Doin éditeur, 1903, 599 p

  • LAMBRON (Ernest, docteur), Les Pyrénées et les eaux thermales sulfurées de Bagnères-de-Luchon, Paris : imprimerie et librairie centrales de Napoléon Chaix et cie, 1860, 1 195 p.

  • Daunic (J.), Luchon-guide : à l'usage des baigneurs et des touristes à Luchon : conseils aux malades pour bien suivre le traitement thermal, Luchon : V. Sarthe, Dulon, Lafont, 1873, 173 p. + 20 p.

  • Marcet Adolphe (Dr), La Cure de petit-lait à Bagnères-de-Luchon, Luchon, impr. de Champol : Luchon, 1874, 32 p.

  • Gimet (François), Luchon en poche, Lafont, libraire-éditeur, Luchon, 1874, 8e édition, p. 10.

  • Sablayrolles (Robert), Beyrie (Argitxu), Carte archéologique de la Gaule : le Comminges (Haute-Garonne), 31/2, Académie de Inscriptions et Belles Lettres, 2006, p. 175.

Périodiques

  • Campardon, "Mémoire sur les Eaux de Bagnères-de-Luchon", in Journal de médecine, chirurgie, pharmacie, etc.. - 1763. - n° 18.

    p. 520-533
  • LA TAILLE (Alice de), « L’œuvre de l’architecte Edmond Chambert à Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne) », Patrimoines du Sud [En ligne], 9 | 2019, mis en ligne le 01 mars 2019, consulté le 26 novembre 2019. URL : http://journals.openedition.org/pds/749

  • LA TAILLE (Alice de), Petite hsitoire de Bagnères-de-Luchon, Editions du Cairn, 2022, 96 p.

  • LA TAILLE (Alice de), Luchon thermal, une histoire des bains. Région Occitanie, collection Focus, 2021, 119 p.

  • Revue de Gascogne, 1898, T. 39, Froidour, Lettres transcrites à M. de Héricourt transcrites par Paul de Castéran, p. 370-373.

  • Annales des établissements thermaux, cercles, casinos, eaux minérales, 1925 à 1933.

  • Avenir de Luchon, 10 mars 1929.

Documents figurés

  • Bibliothèque nationale de France, Plans de la ville de Luchon par M. Castex 1873, GED 826.

  • Bibliothèque nationale de France GED-825 Plan général de la ville de Bagnères-de-Luchon, de ses thermes, de ses promenades et son périmètre,1882, 36 x 50 cm.

    Bibliothèque nationale de France : GED-825
  • Les Pyrénées pittoresques, souvenir de Luchon.carte postale

  • Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie PETFOL-UA-50. Bagnères de Luchon, la Vallée et la ville, photographie provenant Recueil. Voyages en France et en Europe, 1875-1885.

    Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie : PETFOL-UA-50
    f. 53v
  • Bibliothèque nationale de France, département Société de Géographie WC-542 f. 40, photographie issue de "150 phot. des Pyrénées, de la Méditerranée à l'Atlantique, don de Mlle de Freycinet"

    Bibliothèque nationale de France, département Société de Géographie : WC-542
    f. 40
  • AD Haute-Garonne 26 FI 31 2383Luchon, reine des Pyrénées, à 14 heures de Paris : sports d'hiver, golf / E. Lessieux [?], illustrateur. - [Toulouse : éditions Labouche frères], marque LF au verso, [1911]. - Carte postale

    AD Haute-Garonne : 26 FI 31 2383
  • AD Haute-Garonne 26 FI 31 PV 4131 [Bagnères-de-Luchon : réserve de la Pique : le golf miniature et les tennis]. - Toulouse : édition Labouche frères, [entre 1930 et 1960]. - Photographie

    AD Haute-Garonne : 26 FI 31 PV 4131
Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2018
(c) Inventaire général Région Occitanie