Dossier d’œuvre architecture IA65007530 | Réalisé par
  • recensement du patrimoine thermal
station thermale de Capvern-les-Bains
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Inventaire général Région Occitanie
  • (c) Université Toulouse - Jean Jaurès

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pyrénées - Neste, Aure et Louron
  • Commune Capvern
  • Dénominations
    station thermale
  • Appellations
    Capvern-les-Bains

La station thermale de Capvern-les-Bains est nichée dans le piémont des Pyrénées à 475 mètres d’'altitude, sur le plateau de Lannemezan. Elle se trouve à presque trois kilomètres au nord-ouest du village et est implantée dans un vallon étroit bordé de bois et de forêts, qui correspond à l’ancien hameau Hount-Caoute.

D’'après le docteur Jean Pouy, qui publie en 1928 une étude sur les eaux de Capvern, « à n'’en pas douter » celles-ci étaient déjà fréquentées sous l'Empire romain. Pour l’'époque Moderne, l’'auteur mentionne l’'existence vers 1600 d’'« une construction tout à fait primitive avec quelques baignoires en bois, proche de l’'ancien moulin de Capvern, à quelques mètres de l'’établissement actuel » (Pouy, Étude des eaux sulfatées…, 1928, p. 8). La carte de Cassini, dressée au 18e siècle, indique quant à elle la présence d'une « source minérale » (source : Géoportail).

Une maison de bain au début du 19e siècle

Les archives consultées dans le cadre de cette étude attestent l’'existence au début des années 1810 d'’une « maison de bains » appartenant à la commune de Capvern, située au bord du ruisseau d’'Aygue Caute au nord-ouest du hameau Hount-Caoute (AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, 1812). Un premier projet de reconstruction du modeste établissement est soumis à l'’examen du conseil des Bâtiments civils en 1813 (Ibid., 1813). Conçu par l'architecte Jean-Louis-Germain Dutour (Jarrassé, 1992, p. 114), de Toulouse, le bâtiment oblong contenait deux galeries de 10 cabines, desservi par un avant-corps ouvert par trois arcades et était complété par une buvette extérieure. L'inspecteur Norry donne des esquisses pour simplifier l'édifice, jugé trop important, mais le projet n'aboutit pas. Dès cette période, il existe déjà un bâtiment indépendant des bains, situé à proximité de ceux-ci, abritant une chapelle. D'’après le préfet des Hautes-Pyrénées, à cette époque Capvern « n'’est encore fréquentée (à moins de nécessité absolue) que par des gens qui, habitués aux privations, savent se passer des commodités de la vie ». De fait, « il n'’y existe qu'’une très mauvaise auberge, spacieuse et assez logeable, mais presque toujours dépourvue de tout » (Ibid., 1816).

La maison de bains est entièrement reconstruite entre 1818 et 1820, sous la direction de l'’ingénieur des Ponts-et-Chaussées Jean-Baptiste Bonnetat (Ibid., 1818 ; 1820). La réalisation de ces travaux a été adjugée au Sieur Graciette moyennant le produit de l’'établissement thermal pendant quinze ans (Ibid., avril 1818). En 1819, c’est-à-dire avant l'’achèvement des travaux de reconstruction, 583 malades sont venus prendre les eaux à Capvern, « presque le double de celui de chacune des années précédentes » (Ibid., 1819). Pendant les deux décennies suivantes la fréquentation reste stable, l'établissement accueillant en moyenne 417 curistes chaque saison entre 1825 et 1834 (AD Hautes-Pyrénées, 5 M 59, 1835). Toutefois, au cours de cette période la renommée du lieu est encore toute relative, en témoigne l’'absence de mention sur Capvern dans le Voyage dans les Hautes-Pyrénées publié en 1826 par le Comte de Marcellus (Marcellus, 1826).

Comme l’'atteste le plan cadastral dressé en 1829, à cette époque le hameau ne se compose que d'’une dizaine de constructions (AD Hautes-Pyrénées, 3 P 336/2, 1829). Les maisons sont principalement installées sur le bord est du chemin de la Hount-Caoute. L'’établissement, situé au nord-ouest, est desservi par le chemin des Bains (l’'actuelle rue des Thermes). En 1840, Arnaud Abadie indique dans son Itinéraire topographique et historique des Hautes-Pyrénées que quelques particuliers ont bâti tout près des bains des maisons où se logent les baigneurs, et ajoute qu’'un traiteur « qui vient de s'’y établir, offre aux étrangers les ressources d'’une bonne auberge » (Abadie, Itinéraire topographique…, 1840, p. 200). Cette description suggère que le hameau s'’est quelque peu urbanisé depuis la réalisation du cadastre en 1829.

L'amélioration du milieu du 19e siècle et les bains du Bouridé

Pour faire face à l'’accroissement du nombre de malades venant prendre les eaux à Capvern, l’'établissement est agrandi entre 1844 et 1847 de douze nouveaux cabinets, portant le nombre de baignoires à vingt-huit (Ibid., 2 O 742, 1848). Une chapelle, « destinée à faciliter aux baigneurs l'’exercice de leur devoir religieux », est aussi édifiée au sud des bains. Ces travaux sont réalisés d'’après les plans de l'architecte départemental Pierre Artigala. Pour les financer, la municipalité de Capvern a mis en concession le produit de l’'établissement thermal pour une durée de dix-ans (Ibid., 1843). Suite à cet agrandissement, la fréquentation évolue progressivement pour atteindre 1 400 personnes à la fin des années 1850 (AD Hautes-Pyrénées, 5 M 59, 1859). Pendant cette période il existe deux hôtels à proximité des bains dont l'’Hôtel de France, tenu par M. Dangaix, qui abrite des appartements « propres et bien meublés ». Une « très belle maison » reçoit aussi les étrangers. Les autres demeures où sont logés les curistes sont « peu nombreuses » et « laissent encore quelque chose à désirer » (Annuaire statistique…, 1858, p. 229 et 230).

Dans le même temps la commune fait construire un second établissement thermal sur le site du Bouridé, à environ trois kilomètres à l’'ouest de la station thermale naissante. Même si les malades venaient déjà prendre les eaux au Bouridé, il n’'existait pas véritablement d’'établissement de bains à cet endroit. Les plans sont dressés en 1848 par Pierre Artigala (AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, 1849). Les travaux réalisés par le concessionnaire de la source sont achevés dans la seconde moitié des années 1850 (Ibid., 1857).

En 1863, une compagnie anglaise ayant proposé d'’acquérir les deux établissements thermaux de Capvern, la municipalité entame les démarches nécessaires à l’'aliénation de ses équipements. En effet, le conseil municipal estime qu’'une compagnie « riche et intelligente » sera plus à même d'’opérer les améliorations et les embellissements indispensables pour permettre « de retenir plus longtemps les étrangers, d’'étendre la réputation des eaux et d’'augmenter le bien être des habitants de la commune » (AD Hautes-Pyrénées, 2 O 739, 1863). Le projet d’'aliénation comprend également sept hectares de bois, situés au sud-ouest des bains de Hount-Caoute et correspondant à la partie nord de la parcelle 421 visible sur le cadastre dressé en 1829. Alors que la valeur de l’'établissement de Hount-Caoute est alors estimée par le géomètre François Barthe à 180.000 francs, celle des bains du Bouridé s’élève à 80.000 francs (Ibid., 1865).

Le projet de rachat des équipements thermaux par la compagnie anglaise n’'ayant pas abouti, la municipalité envisage finalement en 1868 de mettre en concession ses équipements pour une durée de 50 ans en chargeant la compagnie concessionnaire de réaliser les différents travaux de construction, d'’aménagement et d’'embellissement. Le constat de la municipalité est pleinement partagé par l’'Administration centrale : « pour mettre Capvern à la hauteur de sa réputation, il serait nécessaire d’'exposer 4 ou 500.000 francs, ce qui est au-dessus des forces de la commune ». Dans ce contexte, « l’'industrie privée est mieux en situation que la Commune de tirer profit de ses richesses thermales » (AD Hautes-Pyrénées, 2 O 743, s.d.).

Deuxième moitié du 19e siècle, structuration de la station.

Ces réflexions, qui murissent pendant les années 1860, sont nourries par la réalisation de deux projets d'’aménagement : le premier est dressé en 1868 par un certain Porterie ; le second en 1872 par le paysagiste André Bülher. C’'est sur la base de ce dernier plan d'’ensemble de la station qu’'est défini le programme des travaux de la concession accordée à Adrien Souberbielle à partir du 1er janvier 1873 (Ibid., 2 O 739, 1872). Cet investisseur, banquier à Bagnères-de-Bigorre, s’'engage à réaliser 800.000 francs de travaux en six ans, notamment pour reconstruire les établissements thermaux de Hount-Caoute et du Bouridé, créer un parc avec casino, réaliser des aménagements paysagers et de voirie, ou encore construire des équipements tels qu'’un abattoir, un lavoir, une poste, etc. Dès 1874, Adrien Souberbielle devient gérant de la Société des eaux minérales de Capvern qu'’il crée conformément au cahier de charges de la concession. Entre 1874 et 1879, 635.000 francs de dépenses auraient été réalisées dans ce cadre (Ibid., 1896, p. 5). C’'est pendant cette période que l’'architecte Paul Abadie est missionné par le concessionnaire pour établir un programme d'’ensemble de modernisation et d’'embellissement de la station thermale comprenant les projets architecturaux des nouveaux établissements thermaux et d'’un grand hôtel mais aussi le projet d'’aménagement d'’un boulevard au coeœur du quartier thermal. À partir de 1879, d'après le conseiller municipal François Duplan, « l’'insuffisance des ressources et les charges écrasantes en présence desquelles l’'avait placée l’administration de son gérant, la Société fut dans l’'impossibilité de continuer ses opérations ». Dans ce contexte, la Société a prononcé sa dissolution en décembre 1879 (Ibid.).

Suite à de nombreux conflits entre le conseil municipal et le Syndic de la faillite qui s’'est substitué à la Société, et en raison de l'’absence de repreneurs, il semble que la concession de la station thermale n’'ait été reprise qu’'en 1900. Entre temps, les travaux prévus dans le cadre de la concession Souberbielle ont été mis en œuvre, notamment à la charnière des années 1870 et 1880. Cet important chantier, qui a abouti à l'aménagement et à l’'embellissement de la station, a considérablement modifié la physionomie du quartier thermal.

La construction du boulevard des Marronniers (actuel boulevard des Pyrénées), qui s'’étend du sud-est ou nord-ouest le long de l’'ancien chemin des bains, est venue structurer l'’axe principal du quartier thermal. C'’est dans sa partie haute qu’'a été édifié le premier grand hôtel de Capvern-les-Bains ainsi que le casino de la station. Si l’'établissement thermal Hount-Caoute, situé au nord-ouest de ces aménagements, a bien été reconstruit au début des années 1880 d’'après les plans de Paul Abadie, celui situé au Bouridé n'’a finalement pas fait l’'objet de travaux. La construction de ces édifices au cœoeur du quartier thermal s’'est accompagnée d'’aménagements paysagers comme la création d’'une promenade horizontale sur le versant ouest du vallon.

Ces chantiers ont stimulé l’'urbanisation de cette partie du hameau notamment le long du chemin des Bains (rue des Thermes). À cet endroit une dizaine de « boutiques » et de « maisons » ont été bâties à partir du début des années 1880 (AD Hautes-Pyrénées, 3 P 1445). C'’est le cas par exemple de la maison Daveran ou de la maison Mourardou. Cette dynamique s’'est poursuivie jusqu'’au début des années 1910 avec la construction de plusieurs « villas » destinées pour la plupart à loger les curistes telles que les villas Suzanne, Abadie ou encore Julia. Ce phénomène a aussi touché la partie sud-est du quartier thermal avec par exemple l’'édification de l’'hôtel Beau-Séjour puis des hôtels Richelieu et du Parc, ou la construction de la villa Mélanie et de plusieurs maisons abritant des logements meublés locatifs. Ainsi, Capvern-les-Bains s’'est véritablement urbanisée à partir du dernier quart du 19e siècle sous l’'impulsion des travaux menés dans le cadre de la concession, qui ont permis la création d’'équipements structurants et indispensables au développement de la villégiature thermale. La construction de la buvette-promenoir dans les premières années du 20e siècle a été accompagnée de travaux d’'amélioration des espaces bordant cet édifice, l’établissement thermal et la chapelle. L’aménagement urbain le plus important réalisé pendant cette période a été la création d’un aqueduc sur le ruisseau d’Aygue Caute qui longe l’'ancien chemin des Bains (Ibid., 2 O 744, 1905).

L'essor du 20e siècle

La concession thermale accordée en mars 1900 aux consorts Mousset est acquise en octobre 1916 par l’'industriel parisien François Thévenot, qui fait réaliser différentes améliorations au sein de la station thermale comme l'’aménagement extérieur et la décoration intérieure de la buvette, la construction de magasins-boutiques sur l’'esplanade de l'’établissement thermal Hount-Caoute, ou encore l'’installation de lavoirs (AD Hautes-Pyrénées, 4 M 147, 1923, p. 1 et 2).

Au début de la décennie suivante un nouveau casino précédé d'’un jardin est édifié dans la partie sud-ouest de la station. À la fin des années 1920 c'est l’'établissement thermal du Bouridé qui fait l'’objet d’une reconstruction, d'’après les plans de l’'architecte parisien Marcel Macary

Par une délibération du 20 novembre 1911, la municipalité de Capvern demande l'érection de la ville en station hydrominérale et climatique : elle obtient le classement seulement à titre de station hydrominérale par le décret du 10 juin 1912 (Journal Officiel). La commune est alors dépourvue d'eau d'alimentation les règles d'hygiène n'y sont pas optimales ce qui lui vaut le refus de la dimension climatique du classement (Gazette des eaux, 23 mars 1912, p. 274).

La fréquentation de la station, qui atteignait déjà 4 000 curistes en 1873 (Ibid., 5 M 68, 1874), c’'est-à-dire avant la première campagne d'’aménagement et d'’embellissement du quartier thermal, aurait atteint son apogée pendant l'entre-deux-guerres avec l’'accueil de 8 à 10 000 personnes chaque saison, pour une population de 150 habitants environ à l’'année (Pouy, Étude des eaux sulfatées…, 1928, p. 6). Les chiffres du produit de la taxe de séjour sont connus entre 1923 et 1932 (avec un trou en 1928) grâce aux Annales des établissements thermaux, cercles, casinos, eaux minérales, à la Gazette des eaux (1er mai 1925) et à l'Avenir de Luchon (10 mars 1929) ; ils permettent d'estimer la fréquentation de la station (même si de nombreux visiteurs sont exemptés) et de la situer par rapport au corpus de la cinquantaine de stations hydrominérales de l'époque. Ce produit pour Capvern s'élève à 18 121F en 1923 (24e rang) régresse à 16 540 F en 1924 soit au 27e rang, 17 693 en 1925 (27e), grimpe à 34 802 en 1926 (22e), 32 621 en 1927 (20e) et 35 742 en 1929 (24e). Un sommet ait atteint en 1930 avec 50 206 F (22e), puis le produit un peu mais se maintient à un niveau élevé 47 974 en 1931 (21e), 40 427 en 1932 (24e). Au début des années 1930, Capvern est la 2e station purement hydrominérale des Pyrénées derrière Ax-les-Thermes, la 6e ou la 7e si l'on prend en compte les stations hydrominérales et climatiques comme Cauterets, Luchon, Bagnères, Amélie-les-Bains, avec une produit de la taxe de séjour assez comparable à celui de Vernet-les-Bains.

Ces chantiers initiés par le concessionnaire insufflent une nouvelle dynamique des investissements privés au sein du quartier thermal. Celle-ci se prolonge jusqu’au début des années 1940 et donne lieu à la construction de quelques villas, à l'instar des villas La Chevrette, Mary et Les Mésanges d'’inspiration Art Déco. C’'est aussi pendant cette période que l’'Hôtel Le Central est aménagé et que certains hôtels déjà existants sont réhabilités tels que le Chalet Basque, l’'Hôtel de France, l’'Hôtel Le Pergola ou encore l’'Hôtel du Parc, se parant ainsi d’'un habillage soit de style Art Déco soit de style néobasque.

Une station marquée par le thermalisme social

Le paysage architectural de Capvern-les-Bains connaît des transformations importantes à partir des années 1950 avec l’'avènement du thermalisme social. De nouveaux hôtels et de nouvelles résidences sont bâties en remplacement d'’édifices issus du dernier quart du 19e siècle. Ce mouvement touche particulièrement les abords du nouveau casino et se traduit par la construction d'’immeubles modernes en rupture avec les formes architecturales traditionnelles (Résidence hôtelière des Parcs, Hôtel du Square ou encore Résidence Termalia). Ce renouvellement urbain, intervenu entre le milieu des années 1950 et le début des années 1970, est accompagné par deux programmes architecturaux portés par la municipalité : l'’église de la Sainte-Trinité construite en 1968 d’'après les plans de l'’architecte toulousain Paul de Noyers, qui est aussi intervenu à la même époque dans le cadre de l’'agrandissement et de la modernisation de l’'établissement thermal du Bouridé, et le bureau de poste qui date sans doute aussi de la fin des années 1960.

Au cours des années 1970, de nouvelles résidences hôtelières sont bâties en périphérie de la station thermale, au sein du hameau du Laca situé à un kilomètre à l’'ouest de l'’établissement thermal Hount-Caoute (ces édifices n’ont pas été étudiés). Moins enclavé que le quartier thermal, ce nouvel espace offre aux villégiatures un panorama sur le massif pyrénéen.

Même si les établissements thermaux de Capvern sont toujours en activité, les grands hôtels du quartier thermal bâtis dans le dernier quart du 19e siècle ont pour la plupart fermés. Si certains ont été réhabilités comme par exemple le Grand Hôtel, qui abrite désormais à la fois des logements permanents et des locations meublées, d’'autres comme l'’Hôtel de Paris ou l'’Hôtel Richelieu demeurent sans fonction. Afin de redynamiser et de diversifier l’'activité de la station, la commune a investi dans de nouveaux aménagements et de nouveaux équipements. Ainsi, une piscine ludique a été construite aux abords du casino à la charnière des années 1980 et 1990 et un institut thermoludique a été bâti à l'’arrière de l’'établissement thermal Hount-Caoute à la fin des années 2000.

Champs annexes au dossier - Architecture

  • NOTB_G Jarrassé (Dominique), Les thermes romantiques, bains et villégiatures en France de 1800 à 1850, Clermont-Ferrant : Institut d'Etudes du Massif Central, 1992, 296 p.
  • NOTB_S AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Procès-verbal de réception définitive des ouvrages exécutés, 5 octobre 1812£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Rapport fait au conseil des bâtiments civils sur les Bains de Capvern, 1813£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Observations de M. le préfet, rédigées à la fin du Rapport sur les travaux à faire à l’établissement de Capvern établi par l’inspecteur des eaux minérales de Capvern et daté du 17 octobre 1816AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Ordonnance du Roi, 22 avril 1818£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Construction des nouveaux bains de Capvern, État de situation des travaux, 30 juin 1818£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Rapport de l’inspecteur des eaux de Capvern, Laurampe Loustan, au préfet des Hautes-Pyrénées, 10 octobre 1819£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Construction des nouveaux bains de Capvern, État de situation des travaux, 9 mai 1820£AD Hautes-Pyrénées, 3 P 336/2, Plan cadastral de la commune de Capvern, Section A, 1ère feuille du Laca, 1829£AD Hautes-Pyrénées, 5 M 59, Tableau des fréquentations dressé par le sous-préfet de Bagnères, 30 mars 1835£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Arrêté préfectoral relatif à la concession de l’établissement thermal de Capvern, 5 août 1843£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Agrandissement de l’établissement des bains et construction d’une chapelle, Décompte général des ouvrages, 2 février 1848£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Extrait du registre des délibérations du conseil municipal de la commune de Capvern, 7 mai 1849£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 742, Lettre de Pierre Artigala au préfet des Hautes-Pyrénées, 24 août 1857£AD Hautes-Pyrénées, 5 M 59, Lettre du sous-préfet de Bagnères au préfet des Hautes-Pyrénées, 8 décembre 1859£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 739, Lettre du sous-préfet de Bagnères au préfet des Hautes-Pyrénées, 17 septembre 1863£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 739, Procès-verbal d’estimation des établissements thermaux de Capvern, 20 avril 1865£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 743, Établissements thermaux de Capvern, document manuscrit avec entête de la préfecture des Hautes-Pyrénées, signé V.C.A., s.d. [1870 ?]£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 739, Concession des établissements thermaux de Capvern, Cahier des charges, 4 novembre 1872£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 739, Historique de la concession et faillite de la Société des eaux minérales de Capvern, daté du 12 avril 1896 et signé par le pharmacien et conseiller municipal François Duplan£AD Hautes-Pyrénées, 2 O 744, Copie d’un extrait du registre des délibérations du conseil municipal de la commune de Capvern, séance du 21 décembre 1905£AD Hautes-Pyrénées, 3 P 1445, Tableau des augmentations, Matrice blanche des propriétés bâties, 1882-1910£AD Hautes-Pyrénées, 4 M 147, J. Arnaudin, Société des eaux et établissements thermaux de Capvern. Rapport du commissaire aux apports, Bordeaux, Imprimerie Moderne, 7 novembre 1923, 8 p.
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Documents d'archives

  • croquis

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 2 O 743
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/25
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 127/42
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 127/132
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/40

Périodiques

  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 127/75
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/19
  • Annales des établissements thermaux, cercles, casinos, eaux minérales, 1925 à 1933.

  • Avenir de Luchon, 10 mars 1929.

  • La Gazette des eaux, 1er mai 1925, p. 276-277.

Documents figurés

  • dessin à l'aquarelle

    Conseil d'architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement (CAUE) du département des Hautes-Pyrénées, Tarbes
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/64
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/15
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 127/162
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 127/147
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/17
  • photographie aérienne

    remonterletemps.ign.fr : C1643-0021_1983_IFN65_0029
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    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/18
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    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/100
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    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 127/38
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    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/111
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    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/20
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 287/
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/124
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    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 127/26
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/146
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/22
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/1
  • plan, daté du 20 août 1900

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 2 O 739
  • lithographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées : 5 Fi 127/49
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées ; photographie ; carte postale : 5 Fi 127/101
  • photographie ; carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/2
  • plan cadastral (section A, 1re feuille)

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 3 P 336
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/16
  • photographie aérienne

    remonterletemps.ign.fr : CCF0A-3181_1932_CAF_A-318_0016
  • photographie, carte postale

    Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Tarbes : 5 Fi 127/24
Date(s) d'enquête : 2021; Date(s) de rédaction : 2021
(c) Université Toulouse - Jean Jaurès
(c) Inventaire général Région Occitanie