En 1822, un document localise l'ancienne « maison de ville » de Puylaroque, à l'emplacement de l'actuelle place de la libération (dite place du marché en 1835). Elle surmontait une porte de ville et était mitoyenne avec au moins une maison (maison « d'Escorbiac »), selon des dispositions peut-être bien antérieures au 19e siècle. Un témoignage du début du 19e siècle décrit également une herse en fer qui fermait sa grande arcade (Razoua, p.15).
La maison commune est, en effet, citée dès 1648, dans le compoix de Puylaroque, très vraisemblablement au même endroit (f° 47). Elle semble alors liée à une porte de ville, et une halle (voir IA82118953, place du marché).
Plusieurs plans s'échelonnant dans les années 1830 nous permettent de voir qu'elle est vraisemblablement détruite entre 1832 et 1835, bien que son ancienne voisine demeure. Cet abord au nord de Puylaroque connaît d'importants bouleversements au début du 19e siècle, puisqu'une vaste halle y est construite à l'emplacement d'un ancien cimetière (IA82119209), et une route est projetée à l'emplacement des fossés.