A rapprocher des autres croix de mission nîmoises qui ont été rentrées dans les églises lors des troubles de 183O-1831. Qu'il en ait apprécié le style ou non, l'architecte Questel a dû accepter cette croix, dans le bas de l'église.
Dans l'inventaire de 1906, son manque de piédestal est ainsi expliqué : "une grande croix en fer dite croix de mission appuyée sur l’intérieur du mur d’entrée de l’église et reposant simplement sur le sol, de façon à pouvoir, le cas échéant, la transporter de suite d’un endroit à un autre". En réalité, le poids de cette croix ne permet pas vraiment sa mobilité.
Photographe prestation Fish Eye dans le cadre de l'étude du patrimoine industriel du département de l'Hérault de 2011 à 2013