La Donation du Rosaire, qui se trouve au-dessus de l'autel, est très certainement de Melchior Doze.
Dossier d’œuvre objet IM30001610
| Réalisé par
- inventaire topographique, Beaucaire
Mobilier de la chapelle Notre-Dame du Rosaire,
église paroissiale Notre-Dame-des-Pommiers de Beaucaire
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
- (c) Inventaire général Région Occitanie
Dossier non géolocalisé
Localisation
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Aire d'étude et canton
Beaucaire - Beaucaire
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Commune
Beaucaire
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Adresse
Place Olivier Lombard
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Parties constituantes étudiées
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Période(s)
- Principale : 3e quart 19e siècle
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Auteur(s)
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Auteur :
Doze Jean-Marie-Melchiorpeintre attribution par analyse stylistiqueDoze Jean-Marie-MelchiorCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Chapelle lambrissée possédant autel en placages de marbre, fin XIXe-début XXe siècle.
Clôture de chapelle : grille d'appui, en fer forgé peint, bois ciré, XIXe siècle.
Statues : saint Jean-Marie Vianney, curé d'Ars ; Notre-Dame des Victoires, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, plâtres, fin XIXe-début XXe siècle.
Trois tableaux, dont celui de la Donation du Rosaire.
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Iconographies
- rosaire
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Inventaire général Région Occitanie
Date(s) d'enquête :
2013;
Date(s) de rédaction :
2013
(c) Inventaire général Région Occitanie
Édifice
église paroissiale Notre-Dame-des-Pommiers de Beaucaire
Commune : Beaucaire
Adresse : place Olivier Lombard
Adresse : place Olivier Lombard
Dossiers de synthèse
Articulation des dossiers
Melchior Doze est né à Uzès. Mais, alors qu'il n'a que deux ans, son père (vérificateur des poids et mesures) meurt. La mère ramène ses quatre enfants à Nîmes. Il entre à 15 ans dans l'école de dessin de Nîmes, dirigée par Numa Boucoiran. Il propose des tableaux au Salon de Nîmes en 1849, dont l'Innocence protégée. C'est un succès et une première vente, qui lui permet d'arrêter ses tâches manuelles. Le 22 mars 1855, il devient professeur au lycée. Il y restera jusqu'en 1886. Il profite de la présence à Nîmes du peintre bordelais Felon. Surtout, il rencontre Hippolyte Flandrin, venu travailler à l'église Saint-Paul en 1849. Le 4 mars 1875, il devient directeur de l'école de dessin et Conservateur du Musée avant d'être évincé en 1881 par une nouvelle municipalité. Il obtint des Mentions honorables au Salon de Paris, en 1861 et 1863.