Le centre thermal de la Fou est une fondation éphémère qui n'a fonctionné qu'entre 1907 et 1919. Les installations étaient situées dans un environnement pittoresque et se signalaient par leurs références explicites au style mauresque.
- recensement du patrimoine thermal
-
Deloustal LaetitiaDeloustal LaetitiaCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Pyrénées
-
Hydrographies
Agly
-
Commune
Saint-Paul-de-Fenouillet
-
Lieu-dit
Pont de la Fou
-
Adresse
chemin du pont de la Fou
-
Cadastre
2020
E
1487
E 1487, 1489, 852 et D 1 sur la commune de Saint-Paul-de Fenouillet
-
Dénominationsétablissement thermal
-
Parties constituantes non étudiéesparc, garage
Une exploitation tardive
Connues et utilisées par les locaux, les eaux de la Fou ont été exploitées tardivement. Pourtant, dès 1756, Carrère les mentionne dans son traité des eaux minérales du Roussillon.
Dans son Histoire Naturelle de la province du Languedoc publiée en 1778, Gensanne mentionne à Saint Paul de Fenouillet, une source d’eau thermale et un petit bassin dans un bâtiment vouté fort négligé (Gensanne, 1778, tome IV p. 179). Joseph Anglada dans son traité des eaux minérales et des établissements thermaux des Pyrénées-Orientales en 1833, décrit deux sources et un petit établissement thermal. Il décrit les eaux et leurs propriétés.
Ce n’est qu’en 1840 qu’Antoine Peyralade, propriétaire à Saint-Pau-de-Fenouillet, demande une autorisation préfectorale pour la fondation d’un établissement thermal alimenté par les sources du pont de la Fou. Le Préfet demande une enquête sur les terrains, les propriétaires des sources, ainsi que des analyses chimiques. Cette première demande n’aboutit pas, notamment en raison d'un différent avec la commune de Lesquerde, en partie propriétaire du terrain de la source.
Une comtesse russe crée le centre thermal
Le centre thermal est ouvert en 1907 par Auguste Billès et son épouse, la comtesse russe Léonide Genevieve Yermolov. L'année de la construction est gravée dans une pierre de la balustrade du jardin. Ce modeste cocher a rencontré sa future épouse en Corse, lors de son service militaire. Alors qu’elle cherche un cocher, Auguste Billès est mis à son service, et ils tombent amoureux. Lorsqu’ils viennent à St Paul à la rencontre des parents de Billès, la comtesse s’intègre bien à la vie du village. Elle entend les habitants vanter les bienfaits des eaux chaudes de la Fou, qui guérissent de tous les maux et décide d’en faire commerce. Elle commande des analyses chimiques des eaux à des médecins de Montpellier, qui confirment les valeurs thérapeutiques des eaux, aux qualités diurétiques, dépuratives, digestives et sédatives. Deux sources sont exploitées : l'une à 28° (dite Marie ou Lesquerde), l'autre à 14° (dite Normand ou Léonie).
Il faut attendre 1907, lorsqu’Auguste Billès, propriétaire à St Paul de Fenouillet, réitère une demande d’autorisation de création d’un établissement thermal. Il reçoit l’autorisation d’exploiter et de vendre l’eau de la source Norman, située sur son terrain. Cette autorisation lui est délivrée le 28 juin 1907. Il demande au conseil municipal cette même année, de changer le nom de la commune de St Paul de Fenouillet en Saint-Paul-les-Thermes. Cette requête lui est refusée. L’arrivée du chemin de fer en 1902 constitue un atout considérable pour le lancement de l'entreprise. La comtesse fait dessiner par un architecte les plans d’un établissement thermal à la pointe de la modernité, avec piscine à eau courante, cabines de bains, salle d’hydrothérapie et hammam. L’hôtel de l’établissement comporte alors 20 chambres, dont 10 avec cabinet de toilette. Des W.C à tous les étages, 2 salons, 3 grandes terrasses pour les bains de soleil, un large vestibule avec dégagements et un promenoir couvert. Un garage d'automobiles fait partie des aménités du lieu.
Auguste Billès dépose le 16 novembre 1908 les statuts de la société des eaux minérales et thermales de la Fou (publiée par les Annales des établissement thermaux en 1908). La société anonyme a pour objet l'exploitation de la source Norman et autre des vallées de la Boulzane et de l'Agly et des Gorges de la Fou pour une durée de 65 ans. Le capital 1 500 000 F en 15 000 actions à 100 F dont 5 000 libérés au fondateur. Auguste Billès apporte 18 hectares, 2 hôtels neufs, un établissement thermal, un bâtiment d'exploitation pour la mise ne bouteille, deux turbines hydrauliques, une scierie, quatre baux pour source et hôtel, la source exploitée (Norman) et la marque déposée "Eau de la Fou". A cette date, l'ensemble des installations est donc déjà en place.
On accède aux bains par un grand hall d’entrée qui ouvre sur un jardin anglais. Il comporte une grande piscine à eau courante, onze cabines de bains et 13 baignoires, un hammam complet, une grande salle hydrothérapique, quatorze cabines de déshabillage, une cabine de bain de siège, une salle d’électrothérapie, une salle d’inhalations, une salle de repos et une salle des machines.
L’hôtel restaurant la Villa des Pins est édifié à proximité, avec une capacité de 12 chambres.
Tous les appartements, chambres, salons, salle à manger corridor, doivent servir le public, ainsi que toutes les salles de l’établissement thermal sont peintes à l’huile et décorés par d’artistiques peintures murales.
Sur la rive gauche relié par un pont (disparu), un immeuble, dit le moulin de la Fou, comprenait des installation annexes : activité d'embouteillage, logement de personnel, turbines hydroélectriques mais également salle de billard, salle des fêtes et cinéma.
La comtesse fait également construire au bourg, à côté de la gare, une grande maison sur le modèle de la villa des pins, afin de recevoir les clients en transit vers l’établissement thermal distant de quelques kilomètres (maison de la comtesse ou villa de Bayra).
En 1910, Auguste Billès fonde la compagnie des eaux minérales et thermales de la Fou, en charge de l’exploitation de l’établissement et des industries s’y rattachant : vente d’eau en bouteille, hôtellerie. Rapidement, la notoriété du lieu s’étend par le prestige de la clientèle. Des personnalités de tout le département se pressent à la Fou, des médecins, ainsi que de grandes familles, tels que les Bardou-Job de Perpignan et les Viollet de Thuir. Le docteur Etienne Argelliès est nommé médecin-directeur de l'établissement.
Une existence éphémère
Mais la concurrence thermale est rude dans le secteur. Les stations thermales sont abondantes, et dans l’Aude, Alet, Rennes, Escouloubre, existent depuis fort longtemps et ont déjà leur clientèle. Le regroupement de 4 stations de l’Aude en société des bains du Midi porte un premier coup à l’établissement de la Fou. La première guerre mondiale est le dernier.
Le 25 mai 1919, la compagnie des eaux minérales et thermales de la Fou est dissolue, mettant fin à toute activité liée aux eaux. Les locaux ont par la suite été remaniés au grés des différents propriétaires qui se sont succédés et s’adaptent aux différentes activités. Tour à tour, l’ancien établissement thermal devient une savonnerie, une fabrique d’acide chlorhydrique, et une charcuterie industrielle.
En 1977, les lieux sont désaffectés et le terrain est racheté par la commune de Saint-Paul-de- Fenouillet. Dans les années 1980, les locaux sont revendus à des particuliers qui occupent aujourd’hui les lieux.
-
Dates
- 1907, date portée
Les anciens thermes de la Fou se trouvent à environ 800 m au sud-ouest de la ville de Saint-Paul-de-Fenouillet, dans les Corbières, à 268 m d'altitude. Ils sont établis à l'entrée de la brèche des gorges de La Fou, sur la rive droite de l'Agly. La route suivant la rive gauche de l'Agly, une passerelle permettait d'accéder aux installations.
Le centre thermal de La Fou est composé de l’établissement thermal au cœur d’un parc aménagé, de l’hôtel restaurant la Villa des Pins, du moulin de la Fou, et de la buvette aménagée de l’autre côté de la route.
L'établissement thermal est construit en contrebas de la Villa des Pins, à la confluence entre la Boulzane et l'Agly. Son corps principal se prolonge par une galerie sous-arcade, orientée à l'est. Le corps central est rectangulaire et comporte niveaux surmontant une soubassement. Le traitement de la façade évoque l'architecture mauresque classique : façade blanche, toit-terrasse, tour carrée et coupole (disparue). Les balcons du derniers étages étaient identiques à ceux de la Villa des Pins mais ont disparu. Le niveau inférieur était percé d'une grande galerie. Au niveau du soubassement, l'entrée en avant-corps était très inspirée de l'architecture algéroise : une ouverture en arcade inscrite dans un bloc massif. Un petit jardin était aménagé devant l'entrée des bains.
La colonnade qui prolonge la terrasse des thermes est un lieu de repos et de fraîcheur. Ici les arcs sont outrepassés en plein cintre, trait plus régionaliste que néo-mauresque. Les alternance de marbre de différentes couleurs évoque revanche l'art mozarabe.
Les différentes rampes du parc, constituées d'une multitude de petites pierres, montrent l'influence de Gaudi et du parc Guëll contemporain.
L'intérieur
Les niveaux inférieurs abritaient la galerie des bains et la piscine. Les cabines de bains et les salles de douches étaient éclairés par une verrière (disparue). Les salons et salles de repos donnaient sur la terrasse.
Des panneaux de céramique de type espagnol décorent le bas des murs des anciennes cabines de bain. La piscine conserve un sol en mosaïque très soigné. Des colonnes à chapiteaux peint en trompe l'oeil définissaient l'espace intérieur.
-
Étagesétage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
-
Couvrements
-
Élévations extérieuresélévation ordonnancée
-
Couvertures
- terrasse
-
Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM
Documents d'archives
-
-
Correspondance de Auguste Billès, 1903
-
Statuts des thermes de La Fou, 1910
-
Demande d'exploitation de la source, 1840
-
Annales des établissements thermaux, cercles, casinos, eaux minérale, 1908
p. 492
Bibliographie
-
CAZALS, Rémy, Sources de l’Aude, Archives Départementales de l’Aude, Carcassonne, 1991.
-
PERPERE Michel, Les sources minérales des gorges de la Fou (Pyrénées-Orientales) et son ancien établissement thermal, thèse de pharmacie soutenue le 17 mars 1988, Université de Montpellier.
-
Chemin de fer, Guide illustré du Département [Pyrénées Orientales) 1910, principales stations thermales, balnéaires ou hivernales.
-
Guide illustré du Département, 1909, principales stations thermales, balnéaires ou hivernales
-
JALAMBIC et RAYNAUD, Excursion à St Paul de Fenouillet, 1893, p.23 Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude.
p.23 -
ANGLADA, Joseph. Traité des eaux minérales et des établissements thermaux du département des Pyrénées Orientales. Baillière, Paris/Sevalle, Montpellier, 2 volumes, 1833 (réimpr. 1899).
En ligne : https://books.google.fr/books?id=GU_u8O9zDs8C&pg=PA149&lpg=PA149&dq=anglada+trait%C3%A9+eaux&source=bl&ots=xb_KbPEA1_&sig=V2KAK7gAKD7Rf85zjvOER50zV6o&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjDopvVmYDaAhWF6RQKHe9hAWwQ6AEISDAG#v=onepage&q=anglada%20trait%C3%A9%20eaux&f=false
-
GENSANNE, Histoire naturelle du Languedoc, 1778
-
PORCHERON, Louis (Dr). Villes d'eaux, les stations climatiques françaises. 1911. [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5849135c]
-
Stations thermales de la Vallée de l'Aude
-
FRENAY, Etienne, Le Thermalisme dansles Pyrénées Orientales, ADPO, Perpignan, 1986 (BIB 82 AM).
-
L'épopée industrielle Saint-Paulaise, Association les Sanpanhols, 2016.
-
RUIZ, Sophie, Les stations thermales du Languedoc Roussillon, étude Monuments Historiques, 1999, non publié.