• recensement du patrimoine thermal
Présentation de la station de Rennes-les-Bains
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Inventaire général Région Occitanie
  • (c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pyrénées
  • Hydrographies Sals
  • Commune Rennes-les-Bains
  • Lieu-dit
  • Adresse
  • Cadastre

Des bains connus sous l'Antiquité et au Moyen Âge

Rennes-les-Bains fait partie des stations dont les origines peuvent être établies à l'époque augustéenne. Dans son Histoire du Languedoc, en 1633, Catel est le premier à souligner l'Antiquité des bains de "Regnes", jugés après les bains de Balaruc en termes d'importance (Catel, 1633, livre I, chap.4). Courrent (op. citée 1934), indique que jusqu'au XIIe siècle, les bains de Rennes étaient appelés Aquis calidis puis de Balneis. Entre le XVe et jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, ils sont désignés comme Bains de Montferrand, Locus de Monterferrando et Balnei, Bains de Regnes.

Au XIIe siècle, la Gallia christiana (tome VI, Inst. C. 109) évoque en 1162 l'Ecclesia Sancti Nazari de Aquis calidIs qui est confirmée parmi les possession du monastère d'Alet. Saint-Nazaire étant le patron de Rennes, village connu anciennement sous le nom d'aqua calidae, l'identification à Rennes-les-Bains ne fait pas doute. Les balneis de Monteferrandi sont cités dans plusieurs actes du XIVe siècle recensés par Courrent (op.citée 1934). En 1632, le pape Urbain VIII autorise l'abbé d'Alet de prendre les revenus de l'église de Saint-Nazaire des bains de Montferranc.

Le curé de Rennes, M. Delmas, rédige en 1709 un Mémoire sur les bains de Monferran (sic), retranscrit par Courrent (op. citée 1934), et identifie les trois sources principales du lieu. Il rapporte que de nombreux vestiges gallo-romains sont mis régulièrement au jour : éléments sculptés, blocs inscrits, urnes, médailles et pièce. En 1932, certains éléments qui ornaient la fontaine du Cercle sont remontés dans le mur de l'hôtel de la Reine : il s'agit de deux pièces sculptés et d'une urne antique donc le col est orné d'une frise à feuilles de laurier. Paul Urbain de Fleury et son fils Henri Paul de Fleury avaient créé au XVIIIe siècle un petit musée pour rassembler les objets découverts mais dont toutes les pièces ont été perdues depuis.

Des bains privés assez sommaires au XVIIIe siècle.

Le fief de Montferrand appartient au XVIIIe siècle à François d'Hautpoul, marquis de Blanchefort dont la fille Marie épouse le 26 septembre 1752 son cousin, Joseph d'Hautpoul, qui devient propriétaire des bains. Leur fille unique Anne Gabrielle Élisabeth épouse Paul François Vincent de Fleury et apporte notamment en dot les sources thermales de Rennes et leurs établissements. Leurs deux fils sont expropriés en raison de leur émigration en 1793. L'un d'eux, Paul Urbain de Fleury né en 1778, rachète les sources et les bains le 27 floréal an IV (16 mai 1796) quand ils sont vendus comme biens nationaux. Il fait recouvrir d'une voûte la piscine des bains de la Reine pour éviter la déperdition de chaleur de l'eau thermale et fait ajouter trois cabinets comportant chacun deux baignoires

Un mémoire de Sage à l'Académie des sciences de Toulouse en 1746 décrit précisément l'état des constructions antiques au XVIIIe siècle : "on distique encore à la source de la Reine, les marques des petites chambres qui formaient sans doute des appartements. On y a trouvé des restes de canaux de plomb. On y découvre encore, de temps en temps, des petites pièces de marbre blanc et noir qu'on y a infailliblement transportées, car il n'y en a point dans ce pays". A cette époque, trois bains sont aménagés : les Bains Chauds, les Bains de la Reine et le Bains doux (Gensanne, 1776-1779). En 1799, on met au jour, sous une voûte écroulée, un bassin pavé de marbre blanc et bordé de plaques de schistes noir du et poli, ainsi que des vestiges d'un conduit (Richard, 1968, p. 127).

Thomas Carrère confirme en 1783 qu'il existe trois sources (Reine, Doux et Fort) alimentant trois bassins, recouverts de planches, où sont pris des bains en commun. Labouisse-Rochefort qui fréquente les bains en 1803, a rédigé un récit de son séjour, publié en 1832 sous le titre Voyage à Rennes. Il raconte son accès difficile à cheval par 20 km de sentier depuis Alet. Les établissements thermaux et le village, difficilement atteints, n'offraient alors guère de confort. Le Bain Doux, le plus fréquenté malgré son éloignement, comptait 4 bassins où plusieurs personnes pouvaient se baigner en même temps. L'établissement présentait une organisation symétrique avec une aile pour les hommes et une autre pour les femmes. Chaque aile comportait trois salles : un vestiaire, un espace voûté avec la piscine dite bain chaud, un espace de bain tempéré. L'eau sortant de ce dernier bassin alimentait un réservoir souterrain où les indigents pouvaient se baigner gratuitement, dans de l'eau usée comme à Barèges.

Constitution en station dans la première moitié du XIXe siècle.

L'analyse des eaux, 1805

Les eaux de Rennes-les-Bains sont bicarbonatées, calciques, ferrugineuses, sulfatées et chlorurées sodiques. Le fer en est l'élément le plus actif. Les eaux étaient prises en bains, douches et boisson. Deux sources ferrugineuses à quelque distance du village, au sud, la source du Cercle et la source de la Madeleine étaient également fréquentées. La première analyse chimique des eaux de Rennes a été réalisée en 1805 à la demande de Paul Urbain Fleury par J.S. Julia Fontenelle, professeur adjoint et préparateur en chef de chimie pharmaceutique, en collaboration avec Dominique Reboulh, pharmacien chimiste à Carcassonne. Elle a été publiée dans le tome 45 des Annales de chimie et les journaux de Montpellier et est reproduit par Courrent (op. citée 1937). L'analyse identifie plus précisément les trois sources principales : le Bain Fort (seul à être sur la rive droite de la rivière), le Bain de la Reine et le Bain Doux (ou Bain des Ladres). Le rapport indique que 4 à 5 000 personnes fréquentent annuellement les bains mais il s'agit sans doute plutôt du nombre de bains donnés dans une saison. A l'époque de l'analyse des eaux, divers types de douches sont installées au Bain Fort, jusqu'alors constitué d'un simple bassin couvert d'une voûte. Des cabines de bains sont ajoutées au bains de la Reine où une buvette est ouverte. Un parc est alors ébauché etdes travaux commencent en 1819 au Bain doux pour y aménagement des cabines de bains et des piscine.

Médecins inspecteurs et améliorations

Pendant le XIXe siècle (jusqu'en 1890), les sources, bains et fontaines appartiennent à nouveau à la famille Fleury. Le poste de médecin inspecteur des Bains est créé par un arrêté du ministère de l'Intérieur le 19 avril 1822. Le premier titulaire est le docteur Estribaud originaire de Toulouse. Dans la notice qu'il rédige il indique que les bains comptent alors des baignoires (16 au Bain doux, 9 à la Reine et 2 au Bain Fort qui doivent être portées à 6 prochainement). Deux piscines sont au Bain Doux, une autre, petite, se trouve au Bain Fort qui comporte aussi deux cabinets de douche. En 1823, Estribaud estime à 1 250 le nombre de baigneurs étant venus à la station ; ils sont 2 200 en 1825. Maire de la commune Paul-Urbain de Vitry obtient en 1824 la création d'un bureau de poste pour faciliter la correspondance des baigneurs.

Le docteur Cazaintre devient médecin-inspecteur de Rennes-les-Bains en 1825 jusqu'autour de 1870. En 1839, les eaux sont à nouveau analysées par l'Académie Royale de médecine à qui est envoyée une caisse de 40 bouteilles.

L'hospice, 1831-1862

L'idée d'établir une maison hospitalière pour accueillir les indigents se manifeste lors du conseil municipal du 27 septembre 1826. La ville veut acquérir un emplacement pour construire l'hospice. Le dossier, soutenu par le préfet prévoit pour un montant de 7 317, 94 F de construire un bâtiment comprenant une chambre d'hommes avec 7 lits et une chambres de femmes avec 3 lits, une cuisine, une salle à manger, un laboratoire, un bucher, un office pharmacie, une chambre pour les soeurs avec 2 lits. Le plan est signé Champagne fils. Le conseil général refuse à plusieurs reprise de soutenir ce projet. Deux ordonnances (8 août 1827 et 16 décembre 1830) sont finalement favorables à la construction et dotent l'hospice de sommes prélevées sur le fonds commune des amendes de police correctionnelle. L'hospice fonctionne assez activement entre 1831 et 1839 et pouvait, grâce à une extension par rapport au projet, recevoir 20 malades indigents. En 1841, la subvention augmente et deux soeurs de Quillan sont affectées à l'hospice, chargées également de l'instruction chrétienne. L'hospice est réparé dans les années 1850 mais se détériore et l'architecte départemental propose finalement un nouveau devis pour 19 826 F. Il est approuvé par tous mais le département manque d'argent : l'hospice Jaffus continue à fonctionner jusqu'en 1863, recevant en moyenne 100 malades indigents par saison. Il est abandonné en raison de son mauvais état et l'édifice projeté en 1856 ne fut jamais construit.

L'aménagement des infrastructures

Le bourg de Rennes était difficile d'accès jusqu'en 1834, date de la construction de la route entre Foix et Narbonne qui permet aux véhicules d'arriver à Couiza. A cette époque un quai est aménagé sur la rive gauche de la Sals le long duquel sont construits de nouvelles maisons, un second hôtel (futur hôtel de la Terrasse) et un parc autour de la source de la Reine, aménagé dans le massif des Escalades. L'accès au Bain Doux est amélioré par la route qui traverse le parc à 7 ou 8 mètres au-dessus du lit de la Sals. En 1825, le produit de la régie d'exploitation des sources s'élevait à 17 000 F. Ce montant atteint 24 912 F en 1868 et 25 936 F en 1869 puis 35 000 F en 1878, date de l'ouverture de la ligne de chemin de fer entre Carcassonne et Quillant (Courrent, 1937 p. 125).

La construction de la gare de Couiza en 1878 pérennise cet axe de communication privilégié pour accéder à Rennes-les-Bains. La station devient d'ailleurs un élément de promotion de la ligne ferroviaire car, en 1897, la compagnie du Midi ajoute "Rennes-les-Bains" à la suite de la dénomination Couiza-Montazels (Journal officiel, 12 juillet 18979)

Un premier hôtel, l'hôtel de la Reine est édifié en 1871 grand établissement de 5 étages édifié au-dessus de la galerie des bains éponyme. C'est à cette époque que des allées sont plantées d'arbres et des jardins aménagés (Lagarde p. 58) et qu'une nouvelle demeure est construite pour la famille Fleury.

La fin de l'ère Fleury et la source Marie concurrente

Après la mort d'Henry de Fleury en 1875, la station périclite : sa seule fille majeure, Gabrielle de Fleury doit verser différentes pensions, rétribuer le médecin inspecteur et régler les intérêts des travaux engagés par son père. L'autorisation d'exploitation est remise en cause et le conseil municipal se plaint du mauvais état des établissements thermaux et veux être autorisé à fouiller pour découvrir d’autres sources thermales. L'autorisation d'exploitation et de vente est néanmoins à nouveau obtenue le 26 septembre 1885 tandis que Marie Gastilleur (soeur du maire de la commune) met au jour une nouvelle source (nommée Marie) le 9 mars 1886 et obtient l'autorisation d'exploitation et de vente. Un établissement avec 6 cabines de bains et une cabine de douche est construit. En retour Mme Fleury lance des démarches pour obtenir la déclaration d'utilité publique et un périmètre de protection élargi, ce qui est chose faite le 29 juillet 1889.

La famille Fleury est expropriée par un jugement du 17 juin 1889. Une société administrative est fondée le 8 avril 1896 par les repreneurs, pour relancer la station : la Société particulière et civile d'administration des Bains de Rennes. Parmi les fondateurs se trouvent les Gastilleur qui apportent la source froide dite Fontaine d'Amour, utilisée en boisson, avec immeubles et matériels de l'exploitation (AD Aude S 801) et la source chaude Marie, qui alimente un petit établissement avec baignoires en fonte, cabines de douches, salles de douches et fontaine-buvette. Ils apportent aussi le Grand Hôtel et sa remise le café casino. Leurs partenaires (MM Coll, banquier, Bories, notaire et Satgé) apportent les sources froides du Pontet, du Cercle et de la Madeleine, utilisées en boisson, et les établissement des Bains Forts, Doux et de la Reine. Ils gardent à usage propre le pavillon annexe de l' hôtel de la Reine et son mobilier avec ses dépendances (écurie, remise).

Le 17 avril 1898, les source sont déclarées d'intérêt public et un périmètre de protection est établi. La société de 1896 se divise en deux sociétés rivales : la compagnie des eaux minérales et thermales de Rennes-les-Bains et la Société de Rennes Thermal. En 1913 puis en 1921, l'académie de médecine étudie la demande formée par la commune en vue d'une reconnaissance en station hydrominérale. En 1914, l'académie juge que la qualité de la station hydrominérale ne saurait être contestée, mais sursoit à un avis pleinement positif car les conditions hygiéniques de la station laissent à désirer. Elle demande à la commune de procéder à des travaux d'assainissement, tant pour l'alimentation en eau potable que pour l'évacuation des eaux usées autrement que directement dans la Salz.

En 1946, l'aménagement de la piscine au parc du Bain de la Reine par la société de Rennes Thermal provoque la destruction des vestiges antiques, soit d'un dallage de mosaïques (Courrent, 1948).

Les deux sociétés fusionnent le 7 juillet 1967 sous le nom de Rennes Thermal qui gère les trois bains, Forts, de la Reine et Doux. Les bains de la Reine sont transformés en centre de réadaptation fonctionnelle, puis en centre de remise en forme.

En 1982, les thermes sont rachetés par la Ville qui fait réaménager les sources et augmenter les capacités d'accueil. En 1985 des fouilles de sauvetage sont menées mais en 1987, l'aménagement d'un parking fait disparaître les derniers vestiges antiques. En 1992, la crue du Sals, le 26 septembre, provoque des inondations et la destruction partielle du Bain Doux.

De nouvelles fouilles sont conduites par l'archéologue Patrice Alessandri en 1993 au parc de l'hôtel de la Reine.

  • Période(s)
    • Principale : 19e siècle
    • Principale : 2e moitié 20e siècle

La station thermale est implantée dans la vallée de la Sals, au niveau d'un coude formée par la rivière à 310 m d'altitude. Située dans la partie sud du département de l'Aude, elle est à 49 km de Carcassonne et à 9 km de Couiza où se trouvait la gare la plus proche.

Les thermes utilisent les sources Maries (41°c) et des Bains Forts (51°c).

Les anciens bains Forts (dits aussi Bains Chaudes), sur la rive droite de la Salt sont devenus l'hôtel des thermes romains mains ne conservent aucun vestige du bassin voûté anciennement décrit.

Les thermes actuels correspondent aux anciens bains de la Reine tandis que l'hôtel éponyme associé abrite un centre de remise en forme. Contemporains, ils sont tous deux établis sur la rive gauche de la Sals.

L'ancien Bains doux est désaffecté mais encore conservé tandis que l'ancien établissement de la source Marie a disparu.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Documents d'archives

  • AD11-18PER13 Buzairies, Annuaire du département de l'Aude, notice sur les eaux minérales du département de l'Aude, p. 86-96, 1851.

    AD Aude : 18PER13
    pp. 86-96
  • AD11-N°1559-390 Brochure Rennes

    AD Aude : AD11-N°1559-390
  • AD11-N°1559-392 Notice sur les Bains de Rennes nd

    AD Aude : AD11-N°1559-392
  • AD11-Q°714 Journal des Bains de Rennes, 1819

    AD Aude : AD11-Q°714
  • AD11-S801 Demande classement et protection sources, Mlles DE FLEURY, 1886

    AD Aude : AD11-S801
  • AD11_310_PW09059 Cadastre ancien de 1832.

    AD Aude : AD11_310_PW09059
  • AD11-S801- Plans des équipements thermaux, 1886-1897.

    AD Aude : AD11-S801
  • AD11-N°1559-388 Eaux thermales de Rennes les Bains vers 1880

    AD Aude : AD11-N°1559-388
  • AD11-2J46 Curé DELMAS, 1709, antiquités des Bains de Monferran

    AD Aude : AD11-2J46
  • AD Aude 944.87 FON T1 Fonds Lamothe 1855-1865, Notes historiques sur l'arrondissement de Limoux.

    AD Aude : 944.87 FON T1
  • AD11-5M115 Surveillances des sources Rennes

    AD Aude : AD11-5M115
  • AD11-1559-389 Compagnie des eaux thermales de Rennes, 1879

    AD Aude : AD11-1559-389
  • AD11-Do2317-LABOUISSE ROCHEFORT, Voyage à Rennes les Bains, 1832

    AD Aude : AD11-Do2317
  • AD Aude 8M88, Exposition universelle Paris 1878.

    AD Aude : 8M88
  • AD Aude-5M110, états signalétiques des stations 1908-1930.

    AD Aude : 5M110
  • AD Aude 5M111, Eaux Minérales, 1908-1935.

    AD Aude : 5M111
  • AD Aude SW2655 : sources arrondissement de Narbonne, 1902.

    AD Aude : SW2655
  • AD Aude N°1559-2 : L'Aude, entre Pyrénées et Cévennes 1909.

    AD Aude : N°1559-2

Bibliographie

  • CATEL, Guillaume de. Mémoires de l’histoire du Languedoc curieusement et fidèlement recueillis de divers auteurs... et de plusieurs titres et chartes. Toulouse, A. Colomiez, 1633, t. III.

  • Joanne, P., Pyrénées, Guides Diamant, Hachette et Cie, 1888, 383 p.

    p. 280
  • La grande encyclopédie

    La grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. Tome 4 / par une société de savants et de gens de lettres ; sous la dir. de MM. Berthelot,... Hartwig Derenbourg,...

    La grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. Tome 4 / par une société de savants et de gens de lettres ; sous la dir. de MM. Berthelot,... Hartwig Derenbourg,...F.-Camille Dreyfus,... A. Giry,... [et al.]. 1885-1902.

  • ALIBERT Jean-Louis, Précis historique sur les eaux minérales les plus usitées en médecine, 1826.

    Bibliothèque nationale de France
    p.306-310.
  • BABONNEAU Lucien. Nouveaux aménagements hydro-électriques dans les Pyrénées. In Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, tome 13, fascicule 4, 1942. pp. 368-377

  • AD11-N°1559-401 BERTHIER P. Mémoires chimiques, eau salée de Sougragne

    AD Aude : AD11-N°1559-401
  • BONNARD Louis, Le Gaule thermale: sources et stations thermales et minérales de la Gaule à l'époque gallo-romaine, 1908.

    Bibliothèque nationale de France
    p. 134, 145, 259, 358, 359, 500.
  • AD11-16PER25 CAYLA, Saisons thermales d'autrefois, Rennes

    AD Aude : AD11-16PER25
  • ADPO-5M149 Cazaintre sur les eaux de Rennes, 1857

    AD Pyrénées-Orientales : ADPO-5M149 Cazaintre sur les eaux de Rennes, 1857
  • CAZAINTRE François, Observations médicales relatives à l'emploi de l'eau salée de la Salz à Rennes, 1858.

    Bibliothèque nationale de France
  • AD11-E°563 CAZAINTRE, Notice sur les eaux thermales et minérales de Rennes, 1833

    AD Aude : AD11-E°563
  • CAZALS, Rémy, Sources de l’Aude, Archives Départementales de l’Aude, Carcassonne, 1991.

    AD Aude
  • Courrent Paul, "Sources hydrominérales de l'Aude" in Bulletin de la société d'études scientifiques de l'Aude, tome XXV, Bonnafous Imprimeur, Carcassonne, 1914, pp. 61-75 (AD11-17PER25).

    AD Aude : 17PER25
    pp. 61-75
  • AD11-Q°182 COURRENT Paul (docteur), Notice historique sur les bains de Rennes, Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude, 1934, 44e année, tome XXXVII p. 220-261.

    AD Aude : AD11-Q°182
  • DELATTRE, Daniel (dir.), L’Aude, les 438 communes, éditions Delattre, Grandvilliers, 2014.

    AD Aude : 944.87 DEL
  • DELFAU Gérard, Hygiène et thérapeutique thermales, 1896.

  • GENSANNE, Histoire naturelle du Languedoc, 1778

  • GENSANNE, Histoire naturelle du Languedoc, 1778

  • AD11-17PER74 GIBERT U. Notes historiques sur les bains de Montferrand, 1974

    AD Aude : AD11-17PER74
  • GIRAULT DE SAINT FARGEAU, Dictionnaire géographique, historique, industriel et commercial de toutes les communes de la France et de plus de 20,000 hameaux en dépendant : illustré de 100 gravures de costumes coloriés, plans et armes des villes, etc.,.... Volume 2, 1844-1846.

  • GIRAULT DE SAINT FARGEAU, Eusèbe, Guide pittoresque du voyageur en France : contenant la statistique et la description complète des quatre-vingt-six départements, orné de 740 vignettes et portraits gravés sur acier, de quatre-vingt-six cartes de départements et d'une grande carte routière de la France. Tome 2 / par une Société de gens de lettres, de géographes et d'artistes, 1838.

  • GOURDON, Stations thermales de l'Aude, Rennes, Campagne, Alet 1874.

  • Grenier Lise (dir.), Le voyage aux Pyrénées ou la Route thermale, Paris, Institut français d'architecture, Randonnées Pyrénéennes, 1987.

  • JEAN Gérard, Bibliographie générale de l’Aude, 2004, pages thermalisme, AD11

    AD Aude
  • AD11-D°1765 JULIA, 1814, aperçu topographique et historique des bains de Rennes

    AD Aude : AD11-D°1765
  • LAGARDE, J-L. Guide pratique du baigneur dans les stations thermales de l'Aude, 1902.

  • MARANDEL, Guide pratique des villes d'eaux, 1910.

    p. 31
  • AD11-N°1559-393 MERAT, Dictionnaire universel de matière médicale T6 pp.34-36, 1834

    AD Aude : AD11-N°1559-393
  • MOREAU, Marthe, L’Aude en cartes postales, villes et villages au début du XXe siècle, Les Presses du Languedoc, Montpellier, Tome 1, l’Aude languedocienne. 2001

    AD Aude : 944.87 MOR1
  • PORCHERON, Louis (Dr). Villes d'eaux, les stations climatiques françaises. 1911. [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5849135c]

    p. 167
  • ROUBAUD, Félix, Les eaux minérales de la France, guide du médecin praticien et du malade, 1859.

    pp. 9 et 190
  • RUIZ, Sophie, Les stations thermales du Languedoc Roussillon, étude Monuments Historiques, 1999, non publié.

  • STUBLEIN Eugène, Description d’un voyage aux établissements thermaux de l’arrondissement de Limoux, 1877.

    P. 23
  • TROUVE, Claude-Joseph dit Baron, Description générale et statistique du département de l'Aude, 1818.

    p.52-53
  • VACHER Jean, Guide pratique et raisonné d'hydrothérapie du choix de la station, 1877

  • VAYSSE, Eaux thermo-minérales de Rennes les Bains, 1886

    Médiathèque de Castelnaudary : PLR 615.85 VAY
  • AD11-E°1570 Les villages du canton de Limoux, d’un siècle à l’autre, éditions Roger Latour, Lavelanet

    AD Aude : E°1570
  • Stations thermales de la Vallée de l'Aude

  • JULIA, Dissertation sur les eaux minérales des Bains de Rennes. Toulouse : Imprimerie de J. M. Douladoure, 1814.

Périodiques

  • COURRENT Paul (docteur), Les Bains de Rennes. Leur développement depuis la fin du XVIIIe siècle. Bulletin de la Société d'étude scientifique de l'Aude, 1937, 47e année, tome XLI, p. 87-160.

Documents figurés

  • Fonds privé Eric Sentucq, cartes postales anciennes

    collection particulière
  • Fonds privé cartes postales anciennes, Jean Paul Gieules à Rennes-les-Bains

    Fonds privé : Fonds privé
Date(s) d'enquête : 2018; Date(s) de rédaction : 2020
(c) Inventaire général Région Occitanie
(c) Université de Perpignan Via Domitia, laboratoire CRESEM