Sa soeur a rejointe Isabelle Malentino dans ses activités en 1895 et elles déménagent dans les deux ans qui suivent au 27 Grand' Rue. Il faudrait donc dater cet ornement entre 1896 et la première guerre mondiale.
- enquête thématique régionale, vestiaire de l'évêché de Montpellier
- (c) Inventaire général Région Occitanie
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Montpellier
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Commune
Montpellier
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Dénominationschasuble, manipule, voile de calice, bourse de corporal, étole de clerc
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Période(s)
- Principale : limite 19e siècle 20e siècle
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Lieu d'exécutionCommune : Montpellier
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Auteur(s)
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Auteur :
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Auteur :
Ornement complet, de coupe française. Le galon à feuilles dorées et fleurs à quatre pétales argent n'est pas courant. Doublure en sergé blanc. Inscriptions, marques : sur un ruban de coton : « Melles MALENTINO / 27, Grande Rue. Montpellier ». Le dictionnaire des arts liturgiques de Bernard Berthod mentionne Isabelle Malentino, chasublière, Place Saint-Côme, à Montpellier. « A la protection de saint Joseph », chasublerie, ornements d'église, orfèvrerie. (Annuaire de l'Union fraternelle du Commerce et de l'Industrie, 1892, 1909, 1917) ».
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Catégoriestissu
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Matériaux
- soie, damas
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Précision dimensions
chasuble : hauteur dos : = 105,8 ; largeur dos : la = 68 ; largeur des galons : la = 3,3 et la = 1,5 ; hauteur du dessin : h = 18 ; étole : l = 216 ; la = 17,3 ; manipule : l = 91 ; la = 16,6 ; voile de calice : h = 54,3 ; la = 54,2 ; bourse : h = 20,5 ; la = 23,8
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Iconographies
- à quadrilobe
- I.H.S.
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Précision inscriptions
« Melles MALENTINO / 27, Grande Rue. Montpellier »
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Précision état de conservation
trou en partie basse de lavant de la chasuble, tachée dans le dos
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Statut de la propriétépropriété d'une association diocésaine
- (c) Inventaire général Région Occitanie
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- (c) Inventaire général Région Occitanie
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Isabelle Malentino (1843-1929) ouvre son commerce à Montpellier. Son nom apparaît pour la première fois dans l'Annuaire de l'Hérault en 1887, Place Saint-Côme. Sa soeur Louise l'a rejoint dans ses activités en 1895, et elles déménagent au 27 Grand' Rue. Une troisième soeur, Marie (1837-1914), s'est mariée à un Monsieur David dont elle a eu (au moins) enfants, Marius et Louise. Lorsqu'elle perd son mari, Marie se met à travailler avec ses deux soeurs. Il est probable que Marius a repris le commerce à la suite de ses mère et tantes.