Au XIXe et au XXe siècle, les chapelles latérales ont été pourvues de nouvelles verrières avec le concours d'ateliers qui ont souvent laissé leur marque. La chapelle méridionale la plus proche de la façade reçut ainsi en 1885 (cf. Couarraze, 1969, p. 77) un Baptême du Christ qui porte la signature des verriers du Puy Périé Frères et le nom de son donateur, H. Dufaur, qui devait contribuer à la restauration des vitraux du chœur en 1892. Vers 1885, Louis-Victor Gesta a réalisé deux des vitraux suivants, sainte Germaine de Pibrac (signée) et la stigmatisation de saint François, entre lesquels s'inscrit le Sacré-Cœur dû vers 1905 à Henri Feur. L'Auscitain Gabriel Léglise est l'auteur vers 1910 ? de l'Agonie du Christ au jardin des oliviers de la première chapelle nord depuis l'est (baie 9) et peut-être des médaillons sur fond de grisaille des travées suivantes saint Joseph en baie 11, saint Majan en baie 13, et saint Antoine de Padoue en baie 15. Enfin entre 1965 et 1969, la remise en valeur de l'ancien baptistère situé sous le clocher s'est accompagnée de la création de trois petites baies abstraites en dalle de verre signées « Kinou et atelier Renaud » (Kinou Payen, 1915-1993).£En 1939, les vitraux anciens de l'édifice avaient été mis à l'abri à Limoges dans l'atelier de Francis et Pierre Chigot, avec la verrière mariale réalisée en 1892 par Bergès (baie 5) ; ils ont été restaurés entre 1945 et 1955 par ces peintres verriers, qui n'en ont renouvelé que des points de détail d'après les photographies prises avant l'intervention (MAP). Au sud de la travée occidentale, la rose vitrée de bornes teintées paraît due au même atelier.