Comme pour la chaire, les confessionnaux et le banc d'oeuvre, le menuisier, J. Hoën Bernard réalise les stalles, tandis que Paul-Hubert Colin en assure les sculptures. Les deux ont gagné l'honneur de figurer dans la procession des martyrs, peinte par Hippolyte Flandrin.
En 1849, Jules Salles indique bien 17 places dans les stalles. Le banc incurvé et clos qui se trouve actuellement dans la nef fut-il un temps dans le choeur, comme sa forme pourrait le faire penser ? Il semble que non et qu'il vient d'un autre édifice.
La Planche 19 du tome 9 de la Revue générale de l'architecture et des travaux publics, en 1851, est consacrée à ces stalles, dessinées par Charles Questel.
Photographe prestation Fish Eye dans le cadre de l'étude du patrimoine industriel du département de l'Hérault de 2011 à 2013