Le 25 octobre 1861, marché est passé entre la ville et Auguste Bosc qui doit fournir un modèle avant exécution du marbre. Prix de 8 000 francs. Source : AM Nîmes, 2 M 19.
Le tout est à livrer pour le 30 juin 1862.
Dossier non géolocalisé
Le 25 octobre 1861, marché est passé entre la ville et Auguste Bosc qui doit fournir un modèle avant exécution du marbre. Prix de 8 000 francs. Source : AM Nîmes, 2 M 19.
Le tout est à livrer pour le 30 juin 1862.
Nîmois, Auguste Bosc est remarqué par le sculpteur Pradier, ce qui lui vaut une bourse de la ville pour étudier à l'école des Beaux-Arts. En remerciement, il offre (Pieyre, T. 2; p. 231) en 1853 une de ses oeuvres, Flore, au musée de la ville.
En marbre de Carrare, ils ont été réalisés pour le maître-autel ; il y avait aussi des bas-reliefs en marbre à placer "sous chacun des socles supportant les anges " (AD 30 V 173). Celui de droite a les mans croisées sur la poitrine, celui de gauche a les mains jointes.
A cause des réaménagements post-conciliaires du sanctuaire, les statues sont aujourd'hui posées au sol dans la chapelle de la Vierge, ce qui ne les met pas en valeur et rend leurs gestes incompréhensibles.
Hauteur : 128 ; largeur : 40 ; profondeur : 49
GROUSSET, Jacques. De font Magailhe à l'esplanade. Nîmes : Lacour / Colporteur, 1988, 85 p.
Notice historique sur les Capucins et la paroisse Sainte-Perpétue de Nîmes, Nîmes, 1871.
Photographe prestation Fish Eye dans le cadre de l'étude du patrimoine industriel du département de l'Hérault de 2011 à 2013