- Le chemin de croix est complet et encore en place ; il est constitué de tableaux en plâtre, dans un état très moyen (humidité, épaufrures);
- Plusieurs statues de plâtre : Jeanne d'Arc, saint Antoine de Padoue, ste Thérèse de Lisieux, saint Joseph avec Jésus enfant, Sacré Coeur, Notre Dame de Lourdes avec sainte Bernadette, ste Thérèse de Lisieux, Christ en croix et un saint Jean-Marie Vianney, curé d'Ars (sacristie);
- Près de 70 chandeliers de type divers, aucun n'étant antérieur au 19e siècle. Certains ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1981, mais sans la moindre cohérence esthétique. Par exemple, au maître-autel, au vu d'une photo ancienne, les "2 candélabres, 6 chandeliers et 1 croix d'autel" correspondent à trois ensembles différents, qui peuvent avoir leur complément dans l'église ;
- Le tableau représentant La Mort de saint Joseph, ISMH depuis le 31 décembre 1981, a disparu ;
- chape rouge. La robe est en damas (grandes fleurs, perles). Chaperon et orfrois sont en cannetillé or avec trames polychromes : rinceaux fleuris, tulipes, pélican mystique). Vers 1850 ;
- au-dessus des fonts baptismaux, peinture sur toile représentant saint Jean-Baptiste enfant, posé en annonciateur de Jésus, dont on voit le baptême à l'arrière plan ;
- deux ciboires sont en mauvais état et tout à fait dénaturés ; un, en argent, a été raccourci et n'a plus de tige ; l'autre a été réparé au pied avec adjonction d'une pièce.
- Dans l'église, plaque commémorative rappelant Baptiste Michel Ange de Bruges, "ancien mousquetaire / vicaire général de Mende / né à Vallabrègues / baptisé en cette église / le 15 février 1743. / Il fut / guillotiné à Paris / en haine de la foi / le 5 thermidor an III / 23 juillet 1794."
- dans la chapelle des fonts, plaque commémorative de la première guerre mondiale, de type industriel, avec la liste des défunts et un bas-relief montrant un archange offrant la palme des martyrs à la France, représentant en femme à genoux pleurant au milieu des croix mortuaires. Pieta, croix de guerre et draperies complètent le décor.
- la clôture de sanctuaire, de forme incurvée, en fer forgé, des années 1930-1940 ? est démontée et entreposée au presbytère.
- Les retables latéraux du choeur, consacrés à la Vierge (à gauche du maître-autel) et à saint Joseph (à droite du maître-autel) ont été détruits peu après leur inscription au titre des monuments historiques (31 décembre 1981). Il est advenu le même sort à toutes les boiseries en retour d'angle dans le choeur. Notre-Dame de Lourdes, saint Joseph et l'Enfant Jésus ornaient les niches. Il s'agissait de retables simples, de la seconde moitié du XIXe siècle, avec niches, pilastres cannelés et frontons triangulaires. En octobre 2019, 9 pilastres sont déposés sur la tribune, de même que deux lambris entourant autrefois une niche en retour d'angle, une arcature de bois sculpté entourant anciennement une niche.