2002-2008 : chercheur associé à l'Inventaire général
depuis 2008 : cbercheur à l'Inventaire général d'Occitanie
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Dossier non géolocalisé
Cet ostensoir-soleil en métal doré présente d'importantes similitudes avec ceux produits par les ateliers des orfèvres lyonnais Favier Frères après 1838. Il date donc très vraisemblablement du milieu du 19e siècle. Il est probablement celui qui est signalé en 1889 lors de la visite pastorale de l'évêque de Rodez et remplace un ostensoir, mentionné lors de la visite pastorale de 1739 et disparu à l'époque révolutionnaire.
Cet ostensoir-soleil est en métal doré. Il est constitué de plusieurs éléments : une base rectangulaire comportant 4 pieds à élévation galbée, une tige comportant un noeud, l'ostensoir proprement dit avec sa lunule et ses rayons, le tout étant surmonté par une croix. La tige est vissée sur le pied. Le décor central sur l'avers du pied est un élément repoussé en relief rapporté et vissé. Les rayons du soleil et la croix sont également des éléments rapportés. Ces éléments sont soudés. L'ostensoir a conservé sa lunule.
h = 73 ; la = 35 ; pr = 16
La base rectangulaire comporte 4 pieds en forme de volutes feuillagées. Outre un décor de palmettes, celle-ci est ornée sur l'avers d'une représentation de l'Agneau mystique couché sur le livre aux 7 sceaux de l'Apocalypse, au revers du Tétragramme. Le noeud est orné de 2 figures d'angelots et à l'avers des Tables de la Loi dans une nuée rayonnante, au revers du Sacré Coeur du Christ. La partie supérieure de la tige forme une gerbe d'épis de blé et de grappes de raisin. L'ostensoir est entouré d'une nuée.
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