Les peintures signalées par Annie Cazenave et mademoiselle Neury, sur le mur est, ont disparu. Il y avait les vestiges d'un personnage de trois quart, coiffé d'un bonnet phrygien, barbu, à l'exécution soignée qui pouvait être la représentation de saint Joseph. Ces peintures plus anciennes étaient datées du 11e siècle ou de la première moitié du 12e siècle. La représentation de l'évêque est évanescente et datable du 16e siècle lorsque l'on reconstruit l'église.