Les deux arcades brisées au rez-de-chaussée témoignent vraisemblablement d'une maison datant du 13e ou du début du 14e siècle. Néanmoins l'existence d'un état antérieur ne peut être exclue avec notamment la présence initiale d'un pan-de-bois. En 1834, la maison appartient à Jean Saint Amans, cabaretier à Puylaroque. Les nouveaux percements, portes et fenêtre quadrangulaire ont pu être réalisés à partir de cette époque. Sur le cadastre actuel, un vide est représenté entre cette maison et la voisine au nord qui n'est absolument pas visible depuis la rue.
- opération ponctuelle
- (c) Pays Midi-Quercy
- (c) Conseil départemental de Tarn-et-Garonne
- (c) Inventaire général Région Occitanie
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Pays Midi-Quercy
-
Commune
Puylaroque
-
Adresse
, 13 rue Mazel
-
Cadastre
1834
I
113
;
2013
I
135
-
Dénominationsmaison
-
Période(s)
- Principale : limite 13e siècle 14e siècle
L'hypothèse dun pan-de-bois antérieur à la mise-en-oeuvre en pierre peut être émise avec le collage très net de deux maçonneries qui s'élèvent sur la gauche de la façade ouest. Un pilier maçonné pourrait être à l'origine d'une structure à pan-de-bois qui servait peut-être aussi à la maison voisine, au nord. Un décroché dans le pilier en pierre, que l'on remarque également sur l'angle droit peut témoigner de l'ancrage d'une ancienne sablière. Si tel est cas, les deux arcades brisées du rez-de-chaussée ont bien été percée a posteriori. La maçonnerie en moellon de calcaire équarris, proche de la pierre de taille semble contemporaine des arcades, exceptée pour les reprises et la fenêtre percée au 19e siècle. Le jour quadrangulaire chanfreiné, placé au-dessus de l'arcade de gauche, plus étroite servait peut-être à éclairer un espace de circulation intérieur. L'étage semble conserver deux vestiges de baies médiévales : le plus probant est à gauche de la façade avec un départ d'arc chanfreiné. À droite, un piédroit chanfreiné paraît également en place mais la reprise de la partie supérieure avec une superposition de linteaux en bois et en calcaire, et la pierre d'évacuation d'un évier en-dessous, rend la lecture délicate. En effet, le dernier niveau est matérialisé par une ouverture quadrangulaire au centre de la façade mais la différence de mise-en-oeuvre avec le reste de l'élévation ne permet pas de définir le nombre d'étages de la construction médiévale.
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Murs
- calcaire
- moellon
-
Toitstuile creuse
-
Étages2 étages carrés
Champs annexes au dossier - Architecture
- NOTB_G
- NOTB_S
- APPA
- APRO
- ARCHEO
- AVIS
- CCOM
- CHARP
- CHARPP
- COORLB93
- COORMLB93
- COORMWGS84
- COORWGS84
- ENCA
- EPID
- ESSENT
- ETACT
- FEN
- FEN2
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- INTER
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- PETA_MA
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- SELECT oeuvre sélectionnée
- TAILL
- TAILLP
- TOITU
- USER
- VALID accessible au grand public
- VISI
- VISIB
- VOIR_AUSSI
- WCOM
- IMP 20230503_R_01
-
Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Pays Midi-Quercy
- (c) Conseil départemental de Tarn-et-Garonne
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Pays Midi-Quercy
- (c) Conseil départemental de Tarn-et-Garonne
- (c) Inventaire général Région Occitanie
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- (c) Inventaire général Région Occitanie
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