Dossier d’œuvre architecture IA66003716 | Réalisé par
  • inventaire topographique
Ancien château des comtes de Conflent-Cerdagne dit « El Palau »
Œuvre recensée
Copyright
  • (c) Inventaire général Région Occitanie
  • (c) Communauté de communes Conflent Canigó

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Conflent-Canigou
  • Commune Corneilla-de-Conflent
  • Lieu-dit
  • Adresse 2 Carrer d’Amunt , 4 Carrer d’Amunt , 2 Place de la République , 4 Place de la République , 6 Place de la République , 8 Place de la République , 12 Place de la République , 4 Carrer del Canigó , 6 Carrer del Canigó , 8 Carrer del Canigó , 10 Carrer del Canigó , 12 Carrer del Canigó , 14 Carrer del Canigó , Camí Sant Jaume , Camí de la Torre
  • Cadastre 1810 B4 880 Tour nord-ouest  ; 1810 B4 878 Cours scindée en trois parties  ; 1810 B4 877 Cour ; 1810 B4 877 Corps de logis principal  ; 1810 B4 878 Corps de logis principal, avec chapelle Sainte-Anne ; 1810 B4 879 Corps de logis principal  ; 1810 B4 876 Dépendance ; 1810 B4 877 Dépendance ; 1810 B4 879 Dépendance ; 1810 B4 881 Dépendance ; 1810 B4 882 Dépendance ; 1810 B4 883 Dépendance ; 1810 B4 884 Dépendance ; 1810 B4 885 Dépendance ; 1810 B4 875 Dépendance isolée  ; 1810 B4 869 Jardin ; 1810 B4 870 Jardin ; 1810 B4 871 Jardin ; 1810 B4 872 Jardin ; 1810 B4 873 Terre ; 1810 b4 874 Terre ; 2022 0B 954 Tour nord-ouest  ; 2022 0B 942 (p) Cour ; 2022 0B 1118 Cour ; 2022 0B 1300 Cour ; 2022 0B 1331 Cour ; 2022 0B 1332 Cour ; 2022 0B 1697 Cour ; 2022 0B 1288 (p) Chapelle Sainte-Marie (N°10 El Palau) ; 2022 0B 931 Corps de logis principal  ; 2022 0B 932 Corps de logis principal  ; 2022 0B 933 (p) Corps de logis principal  ; 2022 0B 1123 Corps de logis principal  ; 2022 0B 1118 (p) Corps de logis principal  ; 2022 0B 1119 (p) Corps de logis principal  ; 2022 0B 1289 (p) Corps de logis principal  ; 2022 0B 1696 Corps de logis principal  ; 2022 0B 942 (p) Dépendance ; 2022 0B 944 Dépendance ; 2022 0B 945 Dépendance ; 2022 0B 946 Dépendance ; 2022 0B 947 Dépendance ; 2022 0B 948 Dépendance ; 2022 0B 949 Dépendance ; 2022 0B 933 (p) Dépendance ; 2022 0B 952 Dépendance ; 2022 0B 953 Dépendance ; 2022 0B 1288 (p) Dépendance ; 2022 0B 1289 (p) Dépendance ; 2022 0B 1318 Dépendance ; 2022 0B 1332 et 1333 Dépendance ; 2022 0B 1418 Dépendance ; 2022 0B 1435 Dépendance ; 2022 0B 1436 Dépendance ; 2022 0B 1437 Dépendance ; 2022 0B 1556 Dépendance ; 2022 0B 941 Construction de la première moitié du 20e siècle à l'emplacement de la dépendance isolée  ; 2022 0B 933 (p) Jardin ; 2022 0B 1318 Jardin ; 2022 0B 1288 (p) Jardin ; 2022 0B 1289 (p) Jardin ; 2022 0B 936 Implantation d’une maison vers 1970 sur une ancienne parcelle de jardin  ; 2022 0B 1145 Implantation d'une maison antérieure à 1960 sur une ancienne parcelle de jardin  ; 2022 0B 1364 Implantation d'une maison antérieure à 1960 sur une ancienne parcelle de jardin  ; 2022 0B 940 Camí Sant Jaume ; chemin d’accès privatif aux habitations sud (ancienne parcelle de terre B4 873 sur le cadastre napoléonien)  ; 2022 0B 933 Gîte communal  ; 2022 0B 1123 Récent achat de la parcelle par la commune

Périodes principales : 11e - 13e - 14e siècles

Périodes secondaires : 16e - 17e - 18e - 19e siècles

L’édifice, qui constituait la résidence d’été des comtes de Cerdagne, n’apparaît dans les sources historiques qu’à partir de 1047 [A.D.66 : 53J88]. Un plaid se tient alors en ce lieu (« in palatio Corneliani »), en présence de Guifred, comte de Cerdagne « et de toute sa cohorte », du vicomte de Cerdagne et de l’abbé de Cuxa [CAZES, 1970, p.34].

En 1356, Pierre IV d’Aragon cède le palais « en ruines » [A.D.66 : 53J88], alors propriété du fisc, au prieur de Corneilla-de-Conflent du nom de Jaubert de Toufailles, afin d’y installer la communauté de chanoines [DURLIAT, 1958, p.221]. En 1374, ce même prieur prend diverses mesures pour adapter le palais à sa nouvelle destination. Les années passent et l’édifice reste encore en état de ruine, comme l’atteste un document de 1389 évoquant le souhait de transférer le prieuré au palais. Il s’agit en réalité de l’installation physique du prieur, décrite dans un acte de 1619 [A.D.66 : 53J88].

Afin de faciliter l’accès au palais et aux bâtiments de la communauté, le roi Jean d’Aragon prit la décision en 1389 de supprimer le chemin royal qui menait alors à Fillols, afin d’aménager un accès de substitution en contrebas de l’église. Cette décision n’a finalement pas été prise, en raison de la construction du second cloître contre le mur méridional de l’église. Par le même temps, l’ancien palais royal se dote de nouveaux espaces, tels que des caves, greniers et celliers pour l’usage de la communauté [DURLIAT, 1958, pp.221-223]. Aussi, un viaduc arqué en maçonnerie fut construit au-dessus de l’actuelle route D47 (Carrer d’Amunt), pour établir une communication directe entre le château et les bâtiments des chanoines, sans être obligé de se mêler au peuple. En 1790, les agriculteurs de Corneilla trouvant que ce pont gênait le passage des charrettes chargées de foin, se présentent pour le démolir, tandis que le priseur M. de Montferrer sortit, dit-on, armé d’un pistolet pour les en empêcher [A.D.66 : 53J88].

 Le château comprenait une chapelle dédiée à sainte Marie, dont les vestiges sont toujours existants en parcelle 0B 1288. Selon l’archéologue et historienne Anny de Pous, elle serait datée du 11e siècle. Des restaurations vont être apportées au 13e siècle sous l’impulsion de Nunyo Sanche, alors comte de Cerdagne et de Roussillon. En effet, ce dernier évoque dans un texte de 1217 sa volonté de restaurer « une chapelle que jadis (ses) prédécesseurs les comtes de Cerdagne construisirent dans le palais de Corneilla de Conflent ». Divers revenus ont également été attribués à la chapelle [A.D.66 : 53J88]. Désaffecté, l’édifice est aujourd’hui intégré dans une habitation. 

 Plusieurs remaniements ont été effectués au cours du temps, notamment l’insertion de fenêtres à croisée de style renaissance et la suppression en face nord des fenêtres à bandeau plat [A.D.66 : 53J88]. Entre 1990 et 1991, la commune de Corneilla-de-Conflent achète une partie du château auprès des anciens propriétaires M. et Mme. DESPAKUIS de Vernet-les-Bains, transformée par la suite en gîte communal (0B 933). La municipalité vient tout juste d’acheter le corps de bâtiment situé dans la parcelle voisine cadastrée 0B 1123. Ces deux parties du château conservent par ailleurs une cheminée d’origine ; des investigations complémentaires mériteraient d’être réalisées.  

  • Période(s)
    • Principale : 11e siècle, 13e siècle, 14e siècle , daté par source
    • Secondaire : 16e siècle, 17e siècle, 18e siècle, 19e siècle , daté par source

Il s’agit à l’origine d’un vaste bâtiment de plan rectangulaire, formé autour d’une cour développée à l’est. Encore existante, la cour est délimitée à l’angle nord-ouest par une tour cylindrique (0B 954) à trois niveaux. Le deuxième est accessible depuis la cour par un escalier métallique et comprend une ouverture outrepassée, tandis que le dernier est percé d’une large embrasure disposée pour un tir oblique destinée à de petites pièces d’artillerie. La partie supérieure est terminée par un crénelage reconstitué, avec plateforme portant le drapeau catalan. L’ensemble de la tour est maçonné en galets de rivière disposés pour certains en opus spicatum, moellons de granit et marbre liés à un abondant mortier de chaux. Des trous de boulins sont encore visibles en face nord.

Selon Marcel Durliat, une bonne partie de la tour remonte aux 11e et 12e siècles [DURLIAT, 1958, p.220]. Certains joints tracés en creux pourraient correspondre à cette période. Aussi, des remaniements ont été apportés dans le courant du 14e siècle, témoins de l’influence de la royauté majorquine [A.D.66 : 53J88].

L’ancienne courtine nord-est (0B 1333) également restaurée, dispose d’un appareil identique à la tour. Trois ouvertures ont été pratiquées dans le mur, dont une petite porte à linteau droit en bois ainsi qu’une large baie à arc surbaissé, avec pierres posées de chant au niveau du linteau et pierres de taille (marbre rose et granit) pour les jambages (N°2 Carrer d’Amunt). La partie de la cour cadastrée 0B 1300 est précédée d’une grande entrée en bois clouté, à piédroits en pierre de taille. Un bloc en marbre rose portant une croix sculptée est vraisemblablement un réemploi d’une construction plus ancienne.

Actuellement, le château de Corneilla se compose de plusieurs parcelles à usages d’habitations. L’observation des façades intérieures sur cour accessible, donne à voir les nombreux remaniements effectués dans le temps. De manière générale, le bâti s’élève un soubassement (caves conservées) et trois niveaux supérieurs. La charpente de plancher apparente du niveau supérieur, est constituée d’une structure primaire avec poutres en bois brut. 

Description des parcelles formant le corps de logis principal d'origine :

-0B 931 : La maçonnerie est en assises régulières de moellons à joints beurrés. La corniche d’origine est augmentée d’une surélévation postérieure.

 -0B 1123 : Deux bancs latéraux (vestiges de pierres tombales ?) encadrent une porte d’accès à une cave, elle-même renforcée par deux puissants contreforts. Le reste de la façade est recouvert par un enduit de couleur ocre, contrastant avec l’enduit blanc à fausse crossette supérieure de toutes les ouvertures. Des percements aléatoires à appuis en béton sont présents à chaque niveau. Il subsiste une fenêtre de style Renaissance désaxées par rapport aux autres baies, à traverse et meneau en pierre de taille moulurés. Les châssis inférieurs récents sont vitrés, tandis que les supérieurs ont été bouchés. Aussi, les bases et la croisée sont sculptées.

 -0B 933 et 0B 1289 : Un escalier à deux volées perpendiculaires et un palier intermédiaire, dessert le premier niveau. Il possède des marches en gros blocs (pierre de taille en marbre et granit) et une rampe d’accès en fonte. Le perron maçonné en moellons et cayrous est formé en soubassement de deux larges ouvertures en plein cintre (caves) à fenêtres composées d’un linteau en bois et d’un appui en pierre.

Deux travées de baies aux dimensions décroissantes vers le haut composent la parcelle 0B 933. Le premier étage dispose d’une fenêtre à cadre de charpente et petits bois. Une seconde fenêtre renaissance à croisée transformée en porte conserve un meneau supérieur et une traverse, la partie inférieure étant reprise avec des battants à petits bois et carreaux vitrés polychromes. Tout comme la précédente, cette fenêtre se caractérise par la présence de chanfreins aux encadrements. Les baies des niveaux supérieures ont été remaniées. Elles ont un linteau et des contrevents en bois.

Organisée sur une travée de baies plus ou moins ordonnancées, la parcelle 0B 1289 est percée d’une porte à encadrement de ciment et cayrous. Celle-ci est surmontée d’un blason réemployé sur un linteau de porte, représentant une croix sur un mont entourée d’étoiles. La représentation sculptée en méplat est peinte dans du granit. Il s’agirait d’un élément provenant d’une cheminée du château, comme l’atteste la fiche-objet de repérage élaborée par Anny de Pous [A.D.66 : 53J88]. Le blason pourrait également se référer aux armes du prieuré de Corneilla, qui portent « une croix latine alésée avec son écriteau, perronnée de deux montants ». Elles apparaissent sur quatre écus qui ornent la façade et l’intérieur des bâtiments de l’ancien prieuré. Selon l’abbé Cazes, trois de ces écus également sculptés dans du granit, peuvent être datés de la fin du 14e siècle, au moment où le monastère décide de s’installer dans le palais comtal [CAZES, mai-juin 1998, n°213, p.45].

 -0B 1118 et 1119 : Cette partie du château se caractérise par une façade sud à trois niveaux et quatre travées de baies ordonnancées. Tout comme la 0B 1123, un enduit de protection ocre recouvre la maçonnerie d’origine. Le premier niveau formant un rez-de-chaussée surélevé, comprend des percements à volumétrie distincte. Les deux latéraux sont oblongs et les centraux de taille plus réduite. L’un de ces derniers possède un linteau bois certainement antérieur au 19e siècle.

Une porte latérale à dormant et linteau surbaissé en bois (18e siècle ?) permet d’accéder au niveau supérieur ouvert sur cour à partir de quatre baies, dont deux d’entre elles ont des contrevents en bois identiques à celles du dernier étage. Les autres baies remaniées ont deux vantaux. La corniche est agrémentée d’une génoise en terre cuite à deux rangs.

 -0B 1332 : Cette partie correspond certainement à d’anciennes dépendances. La façade orientale sur cour scindée en deux par un muret, se déploie sur un rez-de-chaussée et un étage supérieur à six travées de baies ordonnancées. Celles du rez-de-chaussée ont un linteau à arc surbaissé. Cet ensemble a été restauré, notamment la maçonnerie avec un mortier de chaux.

 

Les petites parcelles remaniées en plusieurs habitations situées entre la place de la République et la rue Carrer del Canigó visibles sur le cadastre napoléonien, se développent pour la plupart sur un rez-de-chaussée, rehaussés d’une génoise et pour certaines de bandes peintes décoratives. Elles sont toutes recouvertes d’un enduit de façade.

 -0B 952 et 0B 953 : N°10 et N°12 place de la République : La façade sur rue dispose de deux travées de baies avec porte latérale et fenêtres remaniées.

 -0B 1556 : N°6 et N°8 place de la République : La première travée de baie est complétée de garde-corps rajoutée postérieurement. Deux portes d’entrée et un garage à lames verticales en bois composent le rez-de-chaussée.

 -0B 949 : N°4 place de la République : Parcelle étroite avec une travée de baies sur un rez-de-chaussée et trois niveaux, ainsi qu’une porte latérale. Toutes les menuiseries ont été refaites.

 -0B 948 : N°2 place de la République : Les deux travées de baies sont désaxées entre elles. L’enduit sculpté qui orne la façade sur rue vient imiter en soubassement la pierre de taille avec effet de bossage. La frise supérieure à motifs quadrangulaires moulurés est rehaussée d’un rang de formes en amande taillées dans du granito. Des écailles complètent le reste de la façade et une dernière frise à décor géométriques polychromes (triangles, losanges, pointillisme) au niveau de l’avant-toit.

 -0B 947 : N°14 Carrer del Canigó : La disposition de la façade est similaire à celle de la N°4. Les portes et volets n’ont toutefois pas la même couleur et les contrevents supérieurs moulurés sont repliables en tableau.

 -0B 946 : N°12 Carrer del Canigó : Deux travées de baies composent la façade, dont celles du rez-de-chaussée sont désaxées par rapport aux supérieures. Les ouvertures à feuillure ont un encadrement en cayrous. En soubassement, l’enduit sculpté matérialise de faux joints.

 -0B 945 : N°10 Carrer del Canigó : Jusqu’au premier niveau, le mur a un rejointoiement qui cerne des moellons de granit. Le dernier est enduit.

 -0B 944 : N°8 Carrer del Canigó : La porte d’entrée comporte un arc de décharge avec des pierres posées de chant. Contrairement aux autres habitations, celle-ci a un dernier étage en retrait par rapport à l’alignement de rue.

 -0B 1437 : N°6 Carrer del Canigó : Cette maison dispose de deux travées de baies, au centre de lesquelles se trouve la porte d’entrée. La travée latérale gauche est terminée par un pignon couvert (combles), tandis que celle de droite possède une toiture en appentis.

 -0B 942 : N°4 Carrer del Canigó : Fortement remaniée (intégration d’une cabine téléphonique au premier étage), cette habitation est accessible à partir d’une cour, fermée par un portail métallique à grilles. Une croix en marbre rose a été intégrée postérieurement dans un piédroit du portail.

 

Enfin, le bâti orienté au sud se caractérise par des remaniements effectués entre les 18e et 19e siècles. Le corps de bâtiment cadastré 0B 1696 et 0B 1118 (N°7 Camí Sant Jaume) est une maison bourgeoise à volumétrie importante. La façade méridionale comportant trois travées de baies ordonnancées, est agrémentée d’un enduit ocre distinctif des autres décrites. Un second enduit blanc est appliqué en encadrement des ouvertures. Ces dernières sont à feuillure et linteau surbaissé (18e siècle ?), à l’exception de la porte d’entrée typique du 19e siècle et des portes-fenêtres du deuxième étage. Celle-ci est couronnée d’un oculus menuisé en bois, avec appui en pierre grossièrement taillé. Les fenêtres ont des volets en bois peint à lames verticales.

Par ailleurs, les portes-fenêtres des niveaux supérieurs ont des garde-corps récents.

Dans le prolongement est, la parcelle 0B 1119 est formée de deux travées de baies, dont l’encadrement de celles situées au premier étage est laissé apparent (cayrous). Ces dernières ont une fenêtre vitrée à remplage en bois contemporain. Les deux baies du deuxième étage ont un enduit d’encadrement foncé avec crossettes supérieures, des volets bois repliables en tableau et un garde-corps en fonte avec appui en béton.

La dernière habitation qui correspond au N°10 Camí Sant Jaume, a été rénovée dans l’ancienne chapelle Sainte-Marie, dont il subsiste la forme demi circulaire de l’abside orientée à l’est et une lésène typique du premier art roman. Une partie du mur sud a été repris par rejointoiement à la chaux, tandis que l’abside est couverte d’un enduit épais.

 Dans l’ensemble, les toitures en tuiles canal sont disposées en appentis ou en bâtière.

  • Murs
    • granite moellon
    • granite pierre de taille
    • granite galet
    • marbre moellon
    • marbre pierre de taille
  • Toits
    tuile creuse
  • Plans
    plan rectangulaire régulier
  • Étages
    rez-de-chaussée, 3 étages carrés
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit à un pan
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit
  • Typologies
  • État de conservation
    remanié
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    château
  • Sites de protection
    parc naturel régional, abords d'un monument historique
  • Protections
    inscrit MH partiellement, 1973/05/08
  • Précisions sur la protection

    Tour ronde (0B 954) : inscription par arrêté du 8 mai 1973

  • Référence MH

Documents d'archives

  • Sans date
  • 1810

Bibliographie

  • 1958
  • 1970

Périodiques

  • Mai-juin 1998

Documents multimédia

  • 1992
  • Juin/juillet 1967
  • 1856
Date(s) d'enquête : 2022; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Communauté de communes Conflent Canigó
(c) Inventaire général Région Occitanie
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