Dossier d’œuvre architecture IA66003714 | Réalisé par
  • inventaire topographique
Collégiale et église paroissiale Sainte-Marie
Œuvre recensée
Copyright
  • (c) Communauté de communes Conflent Canigó
  • (c) Inventaire général Région Occitanie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Conflent-Canigou
  • Commune Corneilla-de-Conflent
  • Adresse Place de la République , Carrer d'Amunt , 7 Place del Puig , 9 Place del Puig , 11 Place del Puig , 13 Place del Puig , 15 Place del Puig
  • Cadastre 1810 B4 826 Église ; 1810 B4 824 bis Cloître nord : cour  ; 1810 B4 820 (p) Cloître nord (p) ; 1810 B4 821 (p) Cloître nord (p) ; 1810 B4 822 (p) Cloître nord (p) ; 1810 B4 824 (p) Cloître nord (p) ; 1810 B4 825 (p) Cloître nord (p) ; 1810 B4 829 Cloître sud avec cour intérieure  ; 2022 0B 876 Église ; 2022 0B 1455 Cloître nord : galerie sud  ; 2022 0B 873 Cloître nord : cour intérieure  ; 2022 0B 861 (p) Bâti construit à l'emplacement du cloître nord : 7 place del Puig ; 2022 0B 862 (p) Bâti construit à l'emplacement du cloître nord : 9 place del Puig ; 2022 0B 1512 (p) Bâti construit à l'emplacement du cloître nord : 11 place del Puig ; 2022 0B 871 (p) Bâti construit à l'emplacement du cloître nord : 13 place del Puig ; 2022 0B 872 (p) Bâti construit à l'emplacement du cloître nord : 15 place del Puig ; 2022 0B 878 Cloître sud

11e, 12e siècles

Mentions : 1018 : Sainte-Marie / Avant 1117 : Sainte-Marie du palais / Sainte-Madeleine : 1330 et 1766 [CAZES, 1977, p.144].

 L’église Sainte-Marie est mentionnée pour la première fois en 1018 (« ecclesia Sanctae Maeriae ») [CAZES, 1977, p.144], au moment de la validation du testament de la comtesse de Cerdagne et femme de Guifred II, Guisla, qui vient de mourir. Elle apparaît dans le serment prêté à cette occasion en tant que « lieu de vénération de la sainte mère de Dieu Marie, dont la basilique se trouve dans la villa de Cornellà ») [CAZES, 1970, p.3].

En 1025, le comte Guifred II reçoit le patronat de l’église, en échange de celle d’Escaró cédée à Bérenger, évêque d’Elne [CAZES, 1970, p.3].

Entre 1068 et 1095, Guillaume-Raymon, petit-fils de Guifred et comte de Cerdagne et de Berga, indique dans son testament vouloir accorder à l’église de Corneilla son indépendance et accroître sa renommée, par l’enrichissement de revenus et de multiples possessions. Son fils, Guillaume Jordà (comte de Cerdagne entre 1095 et 1099), appliqua ses volontés. Il fit construire entre 1094 et 1097 un cloître à galerie unique au nord de l'église et installer un chapitre de chanoines réguliers suivants la règle de Saint Augustin [CAZES, 1970, p.28].

En 1098, la communauté compte 12 chanoines, dirigés par un prieur et placés sous l’autorité de l’évêque d’Elne. Ils vivront dès le 12e siècle dans les bâtiments construits autour du cloître, dont l'emplacement correspond aux actuelles maisons d'habitations situées de part et d'autre de la place du Puig [CAZES, 1970, p. 28]. Des reconstructions sont faites tout au long du siècle, notamment de la façade principale, de la nef (élévation du niveau du sol), ainsi que du chevet en 1150 (élévation d’un grand transept avec deux absidioles sur chaque bras). Le cloître est doublé d’un étage, formant avec la partie inférieure deux galeries superposées communiquant avec l’église [CCRP, 2005]. De nouveaux voûtements vont également être apportés, notamment celui de la nef principale avec une couverture en berceau brisé et des collatéraux voûtés en quart de cercle [A.D.66 : 53J88]. Aussi, la décoration sculptée du portail occidentale est vraisemblablement une production de la fin du 12e siècle [CAZES, 1970, p.8].

 Des remaniements vont s’opérer durant le 14e siècle, dont la prolongation sud du transept [CCRP, 2005]. Cette partie de l’édifice a par ailleurs reçu une couverture en croisée d’ogives au 16e siècle [A.D.66 : 53J88]. La tribune, située à l'opposé de l'abside, a été érigée par Raymond de Ceret, prieur de 1295 à 1319. Son grand escalier d'accès a permis de ménager sous le palier une chapelle ornée des armes du prieur : « 3 fasces vivrées » [CAZES, 1970, p.20].

En raison d’une mauvaise exposition et de l’instabilité du sol, les religieux vont s’installer dans l’ancien palais comtal et ériger un nouveau cloître dès 1392, contre le mur méridional de la collégiale. Celui-ci comprenait des arcs et colonnes taillés dans du marbre rose de Villefranche-de-Conflent. La disposition se réfère à la promesse qu’avait faite Guillaume Font de Villefranche le 30 octobre de la même année à la communauté de Corneilla, indiquant vouloir « bâtir quatre piliers et quatre arceaux en pierre de taille sur le modèle du cloître des Frères Mineurs de Villefranche [DURLIAT, 1958, p.221]. Celui de Corneilla a été détruit entre les 18e et 19e siècles [MALLET, 2003, p.210].

Des réparations vont être apportées à l’édifice en 1741, notamment sur le toit du clocher qui est en mauvais état [CAZES, 1970, p.7]. En 1885, des réparations urgentes sont effectuées dans l’église, notamment la reprise du dallage ; pour ce faire, une somme de 1150 francs a été allouée sur le crédit des monuments historiques par le ministère de l’Instruction Publique, des Beaux-Arts et des Cultes [A.D.66 : 2 Op 1067]. Le dallage de marbre initial avait été commandé en 1864 au tailleur de pierre Vital Bernard, actif à Villefranche-de-Conflent, « dans le mode de celui qui a été fait à l'église de Fuillà » [CAZES, 1970, p.38].

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 11e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
    • Secondaire : 12e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
    • Secondaire : 13e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
  • Dates
    • 1018, daté par source
    • 1097, daté par source
    • 1150, daté par source
    • 1392, daté par source

Caractéristiques générales :

L’église orientée ouest-est comprend une nef voûtée en arc brisé à quatre travées, ainsi que des collatéraux en demi-berceau séparés du vaisseau central par des arcs en plein cintre reposant sur des piles quadrangulaires. Ces dernières ont un grand appareil en granit, dont les joints sont tracés en creux. Des corbeaux moulurés sont disposés en continu au niveau des collatéraux.

Le chevet est précédé d’un transept, creusé de deux absidioles sur chaque bras. Dans l’extrémité sud se trouve une sacristie rectangulaire à plancher en bois, éclairée au niveau supérieur par une fenêtre gothique, donnant sur une croisée d’ogives. La mouluration de cette dernière serait du 14e siècle [DURLIAT, 1958, p.224]. Une baie rectangulaire se trouve en face est de la sacristie. Son linteau extérieur en marbre porte la date gravée « 1860 ». Aussi, deux oculi à barreaux en fer forgé sont placés de part et d’autre de la porte nord. Une grande niche à arc brisé intégrée dans la face sud, pourrait correspondre à la continuité du second cloître. Elle se trouve à proximité d’un chasublier en bois du 14e siècle.

La couverture de la nef et du transept est à double pente et en tuiles canal. L’intérieur de l’édifice conserve à l’ouest une tribune en bois, décorée en face inférieure de losanges polychromes (blancs et noirs) développés en bande et de chaque côté par deux corbeaux sculptés du 14e siècle (?), représentant les visages du comte Guifred II et son épouse Guisla [témoignage recueilli sur le terrain]. Des traces d’enduits et de peintures sont encore conservées, notamment en partie basse avec la figuration d’une fleur à cinq pétales noirs sur un fond ocre. La tribune est accessible par un escalier à quartier tournant bas, à 14 marches en granit recouvertes d'un enduit de ciment.

Dans l’ensemble, la maçonnerie employée correspond à un granit de provenance local, à caractère ferrugineux au niveau des arcades en plein cintre.

 

Le chevet :

Le chevet du 12e siècle est traité avec beaucoup de soin, à travers l’usage de la pierre de taille. La teinte orangée de cette dernière se rapproche d'une typologie de roche ancienne appelée « toyre » en catalan. Ce type de pierre est présent sur plusieurs édifices romans du Conflent, dont l’église ruinée Notre-Dame-Del-Roure à Los Masos. À Corneilla, la recherche d’une esthétique par la distinction des polychromies naturelles des matériaux employés est nettement mise en avant. Aussi, les culs-de-four des absidioles sud ont des traces de peinture sur le granit qui donnent un aspect de faux marbre.

L’abside majeure est ornée de trois baies en plein cintre, encadrées à l’intérieur de chapiteaux à corbeille décorée de feuilles d’acanthes, entre lesquelles se détachent une tête humaine ou d’animal. À l’extérieur, les baies ont des tores sculptés supportés par des colonnes et chapiteaux en marbre, ainsi que des voussures à claveaux de granit, dont certains ont un encadrement chanfreiné avec petites boules décoratives. Les chapiteaux sont ornés de motifs géométriques au niveau des tailloirs, tandis que les corneilles par des figures zoomorphes et humaines disposées entre des feuilles d’acanthes. Les éléments de décors se retrouvent sur les archivoltes des baies et les impostes avec une frise de dents d’engrenage.

Enfin, la corniche est successivement composée d’une rangée d’arcatures à modillons décorés de têtes de monstres, de masques humains et de feuillages, d’une frise de dents d’engrenage, une ligne de pierres posées à plat et une moulure en cavet. La toiture de l’abside est en lloses.

 

Façade ouest :

Construite peu de temps après le chevet, la façade occidentale présente le même type d’appareil en pierre de taille soigné (granit). Le portail d’entrée qui s’ouvre à l’ouest sur le parvis de l’église, a été construit en marbre de Villefranche. Il comprend une archivolte avec voussures ornées par alternance de boudins toriques à motifs d’entrelacs, de modillons et de fleurs, reposant sur des piliers et colonnes à chapiteaux, dont les corbeilles sont ornées de feuillages (palmettes), de lions ailés, de béliers. Deux têtes de personnages sculptées aux yeux ciselés en amande, pourraient s’apparenter à la représentation du comte Guifred II et son épouse Guisla. Ces chapiteaux se rapprochent stylistiquement de ceux de la galerie sud du cloître d’Elne, dont l’atelier a œuvré à la fin du 12e siècle [MALLET, 2003, p.213].

Si le linteau est dépourvu d’éléments iconographiques, le tympan conserve un bas-relief avec la représentation axiale de la Vierge en Majesté portant l’Enfant, assise sur un trône à accoudoirs en forme de têtes de lions. Nimbée, la Vierge est entourée d’une mandorle, tenue de part et d’autre par deux anges thuriféraires aux ailes dissymétriques, portant des vêtements drapés qui viennent épouser leur position fléchie. Cet ensemble unique, en raison de la représentation de la seule Vierge en Majesté sculptée de la région, est accompagnée de l’inscription suivante, gravée en vers léonins sur le cadre du tympan supérieur : « HERERES VITAE : LAUDARE : VENITE : + : PER QUAM VITA DATUR : MUNDUS PER EAM REPERATUR », signifiant « Héritiers de la vie, venez louer la Dame pour qui est donnée la Vie, par elle le monde est restauré » [CAZES, 1970, p.7].

Le portail encadre deux vantaux en bois à pentures en fer forgé décorées de volutes. Il est surmonté d’une fenêtre cintrée à ébrasement peu profond, formée de deux colonnettes à chapiteaux et d’un tore. Cette ouverture est rehaussée d’un bandeau décoratif de dents d’engrenage. La partie supérieure de la façade se compose de trois éléments crénelés en marches d’escaliers.

 

Cloître nord :

Le cloître primitif développé au nord de l’église est actuellement en état de ruines. Il subsiste la galerie inférieure sud (0B 1455), qui constitue avec le clocher un vestige de la construction initiale de 1018 [CCRP, 2005]. Cette partie du cloître est formée de six arcades en plein cintre (à l’exception d’une à arc brisé), dont les deux plus larges aux extrémités sont précédées de marches. Leur encadrement est en pierre de taille (granit). Autrefois charpentée, cette galerie servait de support à la supérieure, qui donnait à un espace actuellement occupée par la chaire [DURLIAT, 1958, p.223]. L’accès à l’intérieur de l’église pouvait se faire depuis une grande porte en plein cintre actuellement obturée, dont l’encadrement est matérialisé par des claveaux, piédroits et tympan en granit. Son seuil est à 1 m 50 environ au-dessus du niveau actuel de l’église. Aussi, une seconde ouverture également colmatée avec linteau surbaissé et pierres posées de chant, est située en face intérieure ouest de la galerie. Le niveau supérieur de cette dernière comprend trois baies légèrement outrepassées, qui assurent l’éclairage du collatéral nord. À l’ouest, quelques marches permettant d’accéder à la nef sont également visibles. Trois plaques funéraires en marbre avec inscription sont positionnées entre les baies et correspondent à l’emplacement de la galerie supérieure du cloître construite postérieurement à 1097. Il s’agit des sépultures de trois prieurs de Corneilla, du nom de Raymond de Marsuga, Ermengaud de Llupia et Raymond de Céret. Les joints tracés en creux au-dessus des baies se rapportent à une technique caractéristique des églises préromanes, destinée à donner un aspect de plus grande régularité des moellons. Celle-ci se retrouve aux églises Sainte-Marie de Riquer et Saint-André à Catllar [PONSICH, 1956, p 59].

 Les deux contreforts présents en façade septentrionale de l’église et limitant deux travées, ont quant à eux certainement été construits au 12e siècle, au moment où la nef a été dotée d’un voûtement en berceau brisé. À l’angle nord-ouest de l’édifice, se trouve une tour de plan carré à toiture en appentis couverte de tuiles canal. Sa face est dispose d’un trou d’envol, avec une pierre de schiste en saillie. Cette tour construite postérieurement à l’église, devait servir à commander l’ancien chemin de Fillols [DURLIAT, 1958, p.224]. Il en existe une seconde au niveau du bras sud du transept, terminée par une toiture pyramidale à couverture en lloses.

 

 Façade et cloître sud :

 Un second portail de taille réduite situé au sud, comprend une porte en bois cloutée à deux ventaux, ainsi qu’un encadrement cintré à claveaux de granit. Ce dernier matériau se retrouve sur le linteau monolithe séparant la voussure intérieure et les piédroits latéraux. Il subsiste à ce niveau de l’édifice une arcade brisée à blocs taillés dans du marbre rose et maçonnerie en moellons de granit, vestige de la porte d’entrée de la salle capitulaire du second cloître du 14e siècle, détruit entre les 18e et 19e siècles. De ce dernier, subsistent également trois corbeaux en pierre de taille (granit) qui surmontent les ouvertures et un dernier élément sculpté faisant apparaître une croix, positionné sur le côté droit de la baie (réemploi ?). L’emplacement de la galerie ouest est aussi matérialisé par des corbeaux engagés dans le mur de l’habitation cadastrée 0B 877. L’église conserve à l’intérieur 8 bases, 15 fragments de colonnes, 5 chapiteaux, 1 sommier, 3 claveaux et des pierres de parement de ce cloître. Les chapiteaux sont reconnaissables par la présence d’une petite rose sculptée au milieu de chaque face.

La façade méridionale est complétée d’une pierre funéraire de la sœur Stéphanie d’Osseja, autrefois placée dans une chapelle funéraire dédiée à sainte Madeleine, ainsi que de deux meurtrières, placées de part et d’autre d’une baie oblongue en plein cintre.

 

 Clocher-tour :

De plan carré et situé à l’angle sud-ouest de l’église, le clocher-tour est une construction du 11e siècle [MALLET, 2003, p.213]. Il est maçonné en petits moellons disposés en assises régulières et comprend quatre niveaux. L’inférieur est aveugle et accessible depuis l’intérieur. Des meurtrières composent les faces ouest et sud des deux premiers niveaux, ainsi qu’un cadran solaire sur le côté méridional. En dehors du soubassement, ces étages sont ornés de lésènes et de cinq petits arcs formant des arcatures aveugles, caractéristiques de l’architecture préromane. Le troisième niveau est éclairé par des fenêtres jumelées en plein cintre et à double ébrasement avec une horloge à l’ouest. La disposition de ces ouvertures rappellent celles des archères-canonnières. Au quatrième niveau, chaque face comprend une grande ouverture cintrée positionnée sous deux oculi. Les larges baies de cet étage sont destinées à recevoir les deux cloches fondues en 1357. Celle des heures, porte l’inscription « + Ecce crucem Domini ; fugite partes adverse ; vincit leo », c’est-à-dire « + Voici la croix du Seigneur ; fuyez, bandes ennemies ; le lion est vainqueur » (texte emprunté à l’exorcisme contre le mauvais temps). Elle présente une frise sur laquelle est mentionné « Ave Maria, gratia plena » [Notre-Dame de Cornellà, Cazes, guide touristique, p.7]. La cloche des quarts refondue en 1853 par Raimond Cribailler, fondeur à Perpignan, portait initialement l’inscription « + Anno domini MCCLVII fuinus facta tempore domini Iauberti priorem ». L’actuelle est « Sit nomen domini benedictum…Dieu des airs donnez à ma sonore voix le pouvoir de recueillir des bons chrétiens, et que l’écho retentisse plus que le tonnerre et l’empêche de frapper mes paroissiens » [CAZES, 1970, p.5]. Le clocher est terminé par une toiture à deux versants en tuiles canal.

  • Murs
    • granite moellon
    • granite pierre de taille
    • gneiss moellon
    • marbre moellon
    • marbre pierre de taille
  • Toits
    tuile creuse, ardoise
  • Plans
    plan en croix latine
  • Étages
    3 vaisseaux
  • Couvrements
    • voûte en berceau brisé
    • voûte en demi-berceau
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Escaliers
    • escalier intérieur : escalier tournant
  • Typologies
  • Techniques
    • sculpture
    • peinture
  • Représentations
    • tête humaine, lion, bélier, acanthe, Vierge, ange
  • Précision dimensions

    Dimensions clocher-tour : Hauteur totale de 22 m / Carré régulier de 5,50 m de côté

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Intérêt de l'œuvre
    à étudier
  • Éléments remarquables
    cloître, clocher, chevet, tribune
  • Sites de protection
    parc naturel régional
  • Protections
    classé MH, 1840, 1952/09/19

  • Précisions sur la protection

    Eglise (0B 876) : Classement par liste de 1840

    Terrain attenant à la façade sud de l’église (0B 878) : classement par arrêté du 19 septembre 1952

  • Référence MH

Documents d'archives

  • Sans date
  • 1810
  • Sans date
  • 1852-1885

Bibliographie

  • 1977
  • 1958
  • 2003
  • 1970
  • 2005
  • 1995

Périodiques

  • 1956

Documents multimédia

  • 2005
Date(s) d'enquête : 2022; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Communauté de communes Conflent Canigó
(c) Inventaire général Région Occitanie
Articulation des dossiers