Dossier d’œuvre architecture IA66003685 | Réalisé par
  • inventaire topographique
Château Valroch puis Université Catalane d’Été, École de Musique du Conflent et Centre d’accueil Pau Casals
Œuvre recensée
Copyright
  • (c) Communauté de communes Conflent Canigó
  • (c) Inventaire général Région Occitanie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Conflent-Canigou
  • Commune Prades
  • Adresse Route de Ria , 2 Avenue Pau Casals
  • Cadastre 2022 AX 209 Château et hébergements centre d'accueil Pau Casals  ; 2022 AX 208 Conciergerie (N°2 Avenue Pau Casals) Écuries  ; 2022 AX 222 Ancien parc du château - Résidence séniors  ; 2022 AX 206 Partie Nord du parc
  • Dénominations
    château, conciergerie, écurie
  • Appellations
    Vallroc
  • Destinations
    château, conciergerie, écurie

Le château Valroch (ou Vallroc / Vall Roc en Catalan) de style majorquin a été construit entre 1923 et 1924, par l’architecte barcelonais Ricard Segalà, sur un terrain qui appartenait à l'origine à la famille de GELCEN [Témoignage recueilli auprès de M. Marc TAULERA, neveu du dernier propriétaire connu du château Valroch M. Jean-Paul TROY]. Le portail du château est conçu à la même époque par le ferronnier Jean Ner, dont son atelier se trouvait rue de l’Industrie (actuelle rue Jean Jaurès) à Prades [Jacques, Jean et Louis Ner : une famille de ferronniers en Conflent du XIXe au XXe siècle, 2004, p.3]. De plus, les enduits sculptés qui ornent les façades et apportés de Barcelone durant l'entre-deux-guerres, ont été posés par Joachim Eyt et Justin Fabre [CAMPS, 2017, p.102].

Dans la première moitié du 20e siècle, l’ensemble de la propriété appartient à la famille CROS/MARTY. Les CROS sont issus d’une lignée de barcelonais spécialisés dans l’industrie chimique, déjà présente à Prades en 1871, au moment où s’opère la construction de la Rivereta ou château Pams par l'industriel barcelonais du nom d’Amédée CROS, marié à Mme. Caroline XURIGUER. Leur fille Consuelo CROS, épouse du polytechnicien pradéen Albert MARTY, fit faire construire le château Valroch dans la première moitié du 20e siècle [Témoignage de M. Marc TAULERA]. Au décès de Consuelo CROS épouse MARTY, la propriété fut partagée entre ses deux filles, à savoir Lina MARTY-CROS épouse MARTIN et Madeleine MARTY-CROS épouse TROY. Le château, la conciergerie et la grange furent attribués à Madeleine, tandis qu'une plus grande partie du terrain au Sud et une soulte ont été attribués à Lina. Celle-ci fit par ailleurs construire le Castell Rose (1947-1948).

Les derniers propriétaires connus du château Valroch sont les enfants de Madeleine MARTY-CROS épouse TROY, décédée en 1978 ; Jacques TROY, Bernard TROY , Jean-Paul TROY et Marc TAULERA-TROY.

Dans les années 2000, le château est vendu par les membres de la famille TROY au profit d'un groupement de droit public, composé de la Mairie de Prades, du département des Pyrénées-Orientales, du Languedoc-Roussillon, du Midi-Pyrénées et de la Generalitat de Catalunya [Témoignage de M. Marc TAULERA]. Un bail emphytéotique a été conclu avec l'Université Catalane d’Été (Universitat Catalana d’Estiu), dont le siège au château Valroch comprend le centre d’accueil Pau Casals inauguré en 2014. Ce dernier est un établissement d’hébergement et d’enseignement, proposant des séjours pédagogiques pour les scolaires transfrontaliers. L’aménagement du centre d’accueil a consisté à construire deux extensions de l’existant pour l’hébergement. De plus, le château Valroch a bénéficié d’une réhabilitation complète, sous la conduite de l’architecte Yves Jautard. Celle-ci a porté sur l'intégration de faux-plafonds décoratifs coupe-feu (cadre d’un ERP) en remplacement des décors en plâtre et à la reconstitution des ornements de façades. Par ailleurs, la volumétrie des façades n’a pas été modifiée [Architectes pour tous. Éco-réhabilitation du château Vall Roc [en ligne]. Mai 2013].

La partie Sud de la propriété a quant à elle été vendue par le groupement de collectivités à l'entreprise de construction Fondeville, pour l'aménagement du groupe de maisons de retraite « les Senioriales ». Construit en 2015, celui-ci se compose de six corps de bâtiments développés en U autour d’un espace arboré.

Enfin, la conciergerie qui devait se trouver à l’origine sur la même parcelle que le château, a servi de lieu de résidence pour Pablo Casals, au cours de ses années d’exil (1939 à 1956). De nombreuses célébrités reconnues internationalement sont invitées dans la demeure du musicien, dont la reine Elisabeth de Belgique. L’édifice continuera de servir de logement par la suite. En 2013, l’École de Musique du Conflent, association loi 1901 créée en 2006, est installée dans l’ancienne conciergerie [Union des Écoles de Musique Terres Romanes. Ecole de musique du Conflent (EMC) [en ligne]. Les travaux ont été réalisés entre 2011 et 2012, sous la conduite de l’architecte Manuel Branco.

Château :

Localisé en entrée Nord de l’avenue Pau Casals, le portail du château est en ferronnerie ouvragée. Il comprend au centre de la partie sommitale la lettre « M » entremêlées de volutes, qui se réfère à la famille MARTY. Les deux piédroits latéraux de plan carré sont ornés d’un cartouche décoratif portant également la lettre « M », entourée d’une couronne à motif végétal. Ils sont rehaussés d’une sphère en pierre de taille, reposant sur un appui mouluré et orné d’oves sur la frise inférieure. Un portail plus réduit est situé à l’Est de la propriété. Également en fer forgé, il se compose de bandes verticales insérées dans un cercle (rappel de la couronne d’Aragon) et de traverses hautes incurvées à volutes, encadrant le nom du château écrit en majuscule.

Le château de plan quadrangulaire et couvert d’une toiture en tuiles canal à double pente, est formé de quatre tours d’angle terminées par une toiture à quatre pentes. Il dispose d’un sous-sol, d’un rez-de-chaussée surélevé et de deux niveaux supérieurs. Lorsque l'édifice était encore habité, il comptait dix chambres et dix salles de bains [Témoignage de M. Marc TAULERA].

Les tours Nord sont rehaussées d’un étage de combles, percé de chaque côté par un triplet de baies, à colonnes et chapiteaux moulurés d’inspiration hispanique. Les débords de toitures sont matérialisés par des consoles chantournées en bois vernissé. Toutes les ouvertures ont un encadrement en enduit sculpté, décoré d’éléments influencés de l’architecture néoclassique.

L’entrée principale s’effectue en façade Nord, dont le rez-de-chaussée et le premier niveau forment trois travées de baies ordonnancées. La façade est précédée d’une terrasse à balustrade, à laquelle on accède par un large escalier à neuf marches. De part et d’autre de celui-ci se trouvent deux piédestaux couronnés de vases de jardin à guirlandes décoratives, reposant sur une base dorique. Chaque face est ornée de volutes asymétriques mêlés de motifs floraux.

Les trois ouvertures du rez-de-chaussée sont des portes-fenêtres vitrées, protégées par un portail ouvragé en fer forgé. Elles possèdent un encadrement à voussure et piédroits en faux appareil de pierre de taille, ainsi qu’un linteau à agrafe centrale ornée d’oves. L’agrafe de la porte axiale comporte un monogramme, faisant apparaître les lettres C et M entremêlées. Ils se rapportent aux noms des propriétaires, dont les écoinçons richement décorés de volutes et feuilles d’acanthes, sont complétés par des médaillons représentant les portraits en buste de Mme. CROS et de M. MARTY. Le reste du soubassement est composé de pilastres terminés par une corniche, à registre supérieur décoré de têtes humaines ailées et registre supérieur de feuilles d’acanthes.

Au premier niveau, les trois baies ont un encadrement influencé de la renaissance italienne, avec colonnes latérales adossées à faux tanbours et chapiteaux de style ionique couronnés d’un vase cannelé à fleurons. Les baies sont surmontées d’un linteau droit formant entablement. Deux autres portraits en médaillon apparaissent au-dessus des baies latérales, tandis que le linteau de la baie axiale est terminé par un tympan à voussure formant archivolte. Le tympan comprend en son centre la représentation de saint Michel terrassant le dragon, entouré de grappes de fruits. L’agrafe supérieure de la baie comporte l’inscription sculptée « MARTY CROS 1924 » en majuscule, entourée de volutes. Grâce à cette mention, il est possible de connaître l’année d’achèvement de la construction de l’édifice. L’appui des baies est matérialisé par des consoles incurvées et un balcon en fer forgé réalisé par l’atelier de Jean Ner. Celui-ci est prolongé par deux dragons ailés à tête de chien, caractéristique du bestiaire imaginé par le ferronnier. Au dernier niveau, les cinq baies à encadrement en anse de panier rehaussé d’un faux appareil en enduit sculpté, rappellent la typologie de la loggia italienne.

Les deux tours d’angle Nord possèdent sur chaque face une travée de baies ordonnancées aux formes décroissantes vers le haut. Aux deux premiers niveaux, les baies ont des volets bois peint repliables en tableau. De nouveaux portraits de personnes plus âgées (barbe pour les hommes) apparaissent dans des médaillons au-dessus des linteaux (membres de la famille MARTY/CROS). Au dernier niveau, la baie comprend des petits croisillons en bois et une décoration moulurée inspirée de la renaissance.

La façade Sud est formée au rez-de-chaussée d’une galerie ouverte rythmée par sept colonnes cannelées, à chapiteaux ioniques et bases décorées de sculptures en méplat (coupelle de fruits, personnage barbu couronné réalisé dans la tradition néoclassique). Cette galerie est terminée à l’Ouest par une avancée en saillie formant un pentagone, ouvert au centre sur une vasque de fontaine octogonale. Celle-ci est richement décorée d’un répertoire aquatique (carpes, étoile de mer, coquille Saint-Jacques, moules) et se trouve au centre d’un carrelage peint d’entrelacs végétaux/géométriques.

La galerie supporte une corniche faisant office d’entablement, sur laquelle repose une terrasse à balustrade continue. Cinq baies à menuiserie récente, jambages harpées et linteau droit rehaussé de volutes symétriques s’ouvrent sur la terrasse. Elles sont ponctuées de deux oculi oblongues, couronnés des armoiries du royaume d’Espagne (blason de la couronne d’Aragon avec lions). Un niveau intermédiaire s’ouvre en façade par quatre petites baies quadrangulaires, tandis que les ouvertures des combles sont identiques à celles développées au Nord.

Les façades Ouest et Est sont également complétées par une terrasse supérieure à balustrade, dont la partie orientale repose sur des chapiteaux identiques à ceux de la façade Sud. La terrasse occidentale est accessible par des baies fermées par des volets bois roulants à panneaux d’origine.

À l’intérieur, le vestibule d’entrée est une grande pièce carrée, qui permet de desservir l’ancienne salle de réception (actuelle salle à manger), séparée en deux parties par une porte vitrée à menuiserie en bois peinte et poignées en bronze. La grande salle possède un plafond enduit à caissons ainsi qu’une cheminée à tablette décorée de denticules, surmontée d’une mosaïque. À droite du vestibule se trouve la cheminée d’apparat, composée d’un contre-cœur en fonte, orné en son centre des armoiries du royaume d’Espagne ; le blason de la couronne d’Aragon visible comprend des bandes verticales, fleurs de lys (Casa de Borbón) et une bordure de gueules. La couronne royale forme la partie supérieure. Le faux-manteau de la cheminée est décoré de volutes encadrant les lettres C et M et dispose d’un couvrement en surplomb posé sur des consoles. Un médaillon représentant le casque de Jaume Ier portant un cimier au dragon ailé.

L’accès au sous-sol et aux étages supérieurs s’effectue par un escalier monumental en bois massif à balustres, composé de sept volées droites. Les poteaux de départ, d’angle et d’arrivée sont ornés d’une pomme de pin sculptée. Au sous-sol, l’espace abrite deux chaudières pour l’alimentation des appareils de chauffage. Il conserve un plancher à solives en fer et voûtains en briques pleines.

Des travaux aux étages supérieurs ont été réalisés en 2015, dans le cadre d’un projet de valorisation du patrimoine porté par le centre d’accueil Pau Casals. Au premier étage, la rambarde quadrangulaire ouvragée et sculptée en bois, entourait à l’origine un jour central ouvert sur le vestibule d’entrée. Un plancher est en cours de structuration, afin d’aménager un espace d’exposition permanente avec bureaux. Les pièces orientées au Sud n’ont plus les murs de cloisons qui permettaient de séparer les chambres domestiques, composées de cheminées en marbre du 20e siècle. Des restes de papiers peints sont conservés, ainsi qu’une frise peinte polychrome représentant un bestiaire illustré pour enfants caractéristique de l’art de Benjamin Rabier (1864-1939). L’une des pièces exposées à l’Ouest, conserve des volets bois d’origine, dont certains d’entre eux sont coulissants.

En dehors de l’escalier, les différents niveaux peuvent être desservies par un ascenseur, également aménagé en 2015. À partir du second niveau, un escalier métallique permet d’accéder à l’espace supérieur de la tour Nord-Ouest. Le vitrage des ouvertures a été posé en 2019, afin d’assurer l’isolation et d’éviter aux oiseaux de pénétrer à l’intérieur du bâtiment.

Les pièces du second étage conservent une charpente en bois, reprise lors des travaux effectués en 2015. Il est par ailleurs question d'y aménager le logement du concierge, dans le cadre de la réhabilitation des étages supérieurs en projet.

La propriété du château Vallroc est depuis quelques années orientée vers le principe de l’optimisation énergétique avec la régulation des températures, grâce à un puits canadien placé dans le parc Sud. De plus, les extensions latérales pour l’hébergement (24 chambres de 4 personnes), comprennent au Nord une claustra à lames verticales en bois clair et au Sud des ailes de bois disposées en claire-voie. Leur toit-terrasse est par ailleurs végétalisé.

Conciergerie et écuries :

Le bâtiment de la conciergerie localisé au Nord-Est du château et en bordure de l’avenue Pau Casals, est un édifice de plan quadrangulaire, composé d’un sous-sol, d’un rez-de-chaussée et d’un premier étage. Toutes les façades sont recouvertes par un enduit, notamment au niveau des chaînes d'angle à faux joints, ainsi qu'un soubassement en pierres équarries de marbre rose, disposées en assises régulières. De plus, les ouvertures ont un encadrement en enduit sculpté et un appui mouluré droit. Elles ont des volets bois peints à lames verticales repliables en tableau, ainsi que des garde-corps à barre d’appui en bois et ouvrages en fonte également peint. Ceux-ci sont ornés de volutes en arabesques, positionnées de part et d’autre d’une grenade finement sculptée.

La façade Est diffère des autres ; elle comprend une travée de baies non ordonnancées, avec une porte encadrée de cayrous (n°2 Avenue Pau Casals), surmontée d’une génoise à un rang de tuiles canal. Cet accès est une sortie de secours correspondant au sous-sol. Les ouvertures supérieures sont oblongues et deux d’entre elles sont jumelées.

L’ornementation est également présente sur la frise supérieure réalisée dans un enduit sculpté polychrome. Elle illustre des dragons ailés à terminaisons en volutes, placés en symétrie de part et d’autre d’un blason.

En façade principale (Ouest), les baies sont ordonnancées sur trois travées. La porte d’entrée est à panneaux moulurés et imposte vitrée. La fresque en céramique « El Cant dels Ocells » (« Le chant des oiseaux ») placée au-dessus de la porte, se réfère à une chanson traditionnelle catalane de Noël, que Pablo Casals interprétait en fin de concert dès 1939, pour symboliser la paix et exprimer la tristesse de ses compatriotes exilés en cette période troublée par le régime franquiste.

Le hall d’entrée conserve un carrelage d’origine en ciment décoré de motifs géométriques. Il dessert une première salle sur la gauche pour les cours de musique, qui servait de cuisine à l’origine. Les autres pièces du rez-de-chaussée ont été divisées pour l’école de musique. Avant travaux, elles étaient desservies par un couloir, dont le sol en ciment matérialise encore son emplacement. Par ailleurs, la buanderie de la conciergerie se trouvait à ce niveau.

Le sous-sol correspondant à l’actuelle salle de batterie, comprenait initialement un plafond à voûtains et solives en fer. Celui-ci a été couvert lors de la réalisation des travaux entre 2011 et 2012. Le premier étage est desservi par un escalier balancé en bois à première marche en volute, main courante en bois massif débillardée sur limon enduit. Il dispose de trois salles de répétition, dont deux petites et une grande aux mêmes dimensions que la cuisine. C’est dans cette pièce que Pablo Casals aimait se retrouver pour jouer et composer. Cet étage comprend également un bureau, autrefois réservé pour la salle de bains.

La conciergerie possédait une petite cour ceinte d’un mur et ouverte à l’Ouest par un portail à deux piliers latéraux. Celle-ci dispose d’une treille de vigne reliée à la façade Sud, déjà existante au temps de Pablo Casals. Elle dessert un second bâtiment de plan carré, relatif aux anciennes écuries du château. Ces dernières abritent désormais deux salles de répétition, réparties entre le rez-de-chaussée et le premier étage. Des mangeoires pour animaux se trouvaient au fond du rez-de-chaussée, tandis que le plafond était composé de voûtains (même typologique que ceux du sous-sol de la conciergerie).

Les ouvertures en rez-de-chaussée ont été remaniées avec l’ajout de portails de sécurité en acier Corten. Celles de la façade Ouest au nombre de deux, sont surmontées d’une unique baie axiale, qui garde au-dessus d’elle le dispositif de poulie en fer forgé, utilisé pour hisser les ballots de foin. Au Nord, les baies gardent leur volumétrie d’origine, dont un oculus en demi-cercle au premier niveau. L’étage de combles est matérialisé côté murs pignons par des oculi à motif quadrilobé. Les autres façades n’ont pas de baies.

Enfin, les toitures de ces deux corps de bâtiments sont à double pente ainsi qu’à demi-croupe au Nord et au Sud. La couverture en tuile mécanique, repose sur des chevrons et pannes en bois. Les faîtages sont ornés d’épis en terre cuite.

  • Murs
    • pierre maçonnerie enduit
    • brique maçonnerie enduit
  • Toits
    tuile creuse, tuile mécanique
  • Plans
    plan rectangulaire régulier, plan carré régulier, plan symétrique
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 2 étages carrés, étage de comble
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit à plusieurs pans brisés
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Typologies
  • État de conservation
    restauré
  • Techniques
    • ferronnerie
    • mosaïque
    • papier peint
    • peinture
    • sculpture
    • céramique
  • Représentations
    • armoiries, blason, dragon, chien, lapin, canard, chat, corbeau, agrafe, balustre, colonne, ordre antique, pilastre, denticule, arabesque, cercle, entrelacs, ove, quadrilobe, volute, fleur, fruit, portrait
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne morale, Château
    propriété de la commune, Conciergerie - Actuelle école de musique du Conflent
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    château, conciergerie
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Bibliographie

  • 2014
  • 2004
  • 2017

Documents multimédia

  • Mai 2021
  • Mai 2021
  • Mai 2013
Date(s) d'enquête : 2022; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Communauté de communes Conflent Canigó
(c) Inventaire général Région Occitanie
Articulation des dossiers