Hôtel particulier du début du 19e siècle au décor particulièrement riche et bien conservé malgré l'aménagement de locaux de la mairie depuis le début du 20e siècle.
- inventaire préliminaire
- (c) Inventaire général Région Occitanie
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Haute-Garonne
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Commune
Saint-Sulpice-sur-Lèze
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Adresse
2 place Hôtel de ville
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Cadastre
1839 D 132 à 136 ;
2020
0D
281
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Dénominationshôtel, mairie
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Parties constituantes étudiées
D'après le compoix de 1578, le côté nord de la place de la bastide était bordé par 7 maisons dont l'allivrement variait entre 6 et 13 sous. Parmi celles-ci deux appartenaient à un riche marchand de la bastide, Jacques Ayrail, qui possédait d'autres maisons dans ce secteur. Il ne semble cependant pas y avoir eu de regroupement notable et d'établissement d'hôtels particuliers dès cette période au nord de la place contrairement à d'autres endroits de la bastide. La situation pour les 17e et 18e siècles est mal connue.
L'hôtel particulier a été bâti au cours du 1er quart du 19e siècle pour Édouard de Boutaud, en même temps que l'orangerie et le parc au nord-est. Un plan de l'impasse du Cul-de-Sac (actuelle rue du 11 novembre 1918) dressé en 1826 indique qu'à cette date les communs n'étaient sans doute pas entièrement bâtis. Ne figure que la partie ouest constituée d'un cellier et d'un cuvier, le reste étant occupée par une « cour et jardin ». Les communs semblent avoir été édifiés dans les années qui suivent.
En effet, l'hôtel est représenté dans sa configuration actuelle sur le plan cadastral dressé en 1839 : l'hôtel au sud, sur la place, les communs au nord, sur la rue du Four, et une cour entre les deux. À cette date l'hôtel est inscrit au cadastre comme comportant 45 portes et fenêtres ordinaires imposables et une porte cochère. Dans les années 1860, l'hôtel passe aux mains de la famille Carrière, puis des Dehoey à partir des années 1880.
Un plan schématique de la disposition des pièces au début du 20e siècle est conservé dans les dossiers Dehoey à la mairie. Au premier étage se trouvent alors, du côté de la place, un salon « Louis XVI », un salon de musique (au centre), un salon de billard (en hémicycle, avec décor peint) et un petit salon. Du côté nord sont aménagés une salle à manger, une « petite pièce » et la chambre des parents. Les chambres des enfants et des domestiques se trouvent alors certainement au deuxième étage. On y trouve notamment des graffitis sur un montant de porte marquant la taille des enfants et datés des années 1850 (Alexandre et Louise). Les salles de service (cuisine, etc.) devaient se trouver au rez-de-chaussée.
L'hôtel, ainsi que ses dépendances et les immeubles voisins, est racheté par la commune en 1933. Il est d'abord prévu d'y établir le foyer familial et la bibliothèque, ainsi que d'autres services publics. C'est finalement la mairie qui s'y installe rapidement et s'y trouve encore aujourd'hui ainsi que d'autres services publics. Le deuxième étage est désaffecté.
L'hôtel présente un état de conservation de l'architecture et des décors du 19e siècle exceptionnel et mériterait une étude monographique plus poussée. Le papier peint de l'ancien salon de billard est particulièrement remarquable.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 19e siècle
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Auteur(s)
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Personnalité :
De Boutaud Edouardcommanditaire attribué par travaux historiquesDe Boutaud EdouardCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Personnalité :
L'hôtel particulier est situé au nord de la place de l'Hôtel de Ville dont il occupe quasiment toute la longueur. Il est mitoyen à l'ouest avec une maison ne comprenant qu'un étage et à l'est avec l'édifice appelé la « Véranda » qui ne compte aussi qu'un étage. Cela accentue la monumentalité de l'hôtel particulier sur cette place. De plan rectangulaire d'environ 33 m de long pour 13 m de large, il se développe sur un rez-de-chaussée et deux étages. Il est bâti entièrement en brique pour les murs extérieurs et au moins une partie des murs intérieurs est en brique et brique de terre crue (adobe). Seule la façade est entièrement en brique apparente, toutes les autres élévations sont couvertes d'enduit. Le toit à longs pans est couvert de tuiles creuses.
La façade donne sur la place, au sud, et est ordonnancée à neuf travées. Elle est divisée en trois groupes de trois travées par des pilastres colossaux en brique surmontés de chapiteaux corinthiens en pierre. On retrouve les mêmes pilastres de part et d'autre de la façade. Un cordon régnant en brique marque la limite entre le rez-de-chaussée et le premier étage. Un second cordon souligne le premier étage au niveau de l'appui des fenêtres, il est cette fois en pierre de taille. La façade est couronnée d'une corniche à modillons en pierre.
La façade sud comprend des couverts en rez-de-chaussée, portés par neuf arcades en plein-cintre en brique. Les piliers des arcades sont en pierre de taille pour les quatre centraux portant le balcon de l'étage, et en brique avec un placage en pierre de taille du côté extérieur uniquement pour les autres. Le rez-de-chaussée est assez peu ouvert sur l'extérieur sous les couverts : une porte en plein-cintre relativement monumentale au centre et seulement des baies hautes, en plein-cintre mais plus simples, sur les côtés. Au premier étage se trouve un balcon filant devant les trois portes-fenêtres centrales. Il est protégé par un garde-corps en fer forgé. La porte-fenêtre centrale est couronnée d'un entablement en brique. Les autres travées sont toute identiques, constituée d'une fenêtre à encadrement mouluré et couverte d'une plate-bande en brique. Seuls les angles supérieurs et les appuis sont en pierre de taille. Les fenêtres du deuxième étage sont plus petites et plus simples, mais on y retrouve les plates-bandes en brique et les appuis en pierre de taille. Toutes les fenêtres sont dotées de volets intérieurs dont la plupart sont conservés.*
L'élévation postérieure, au nord, est beaucoup plus simple, mais présente tout de même une certaine monumentalité. Elle est aussi divisée en neuf travées, mais qui ne sont pas réparties de manière tout à fait régulière. Quelques petites fenêtres s'intercalent notamment entre la deuxième et la troisième travée au premier étage afin d'éclairer les toilettes aménagées sous l'escalier de service. Les baies du rez-de-chaussée à gauche de l'élévation ont été remaniées. La porte d'entrée se trouve au centre, dans l'axe de la porte d'entrée principale donnant au sud. Elle est aussi en plein-cintre mais l'encadrement n'est pas aussi travaillé qu'en façade. Une seconde porte, à l'ouest, permettait un accès direct à un escalier de service menant des cuisines à la salle à manger de l'étage. On retrouve ici de grandes fenêtres au premier étage et de plus petites au second. Toutes sont couvertes de plates-bandes en brique. Contrairement à celles de la façade, les fenêtres étaient dotées de contrevents extérieurs (feuillures et traces de gonds). Seuls les appuis et les pierres gaffonières sont en pierre de taille. Des cordons régnants en brique marquent la limite entre les niveaux.
L'intérieur de l'hôtel particulier a été visité, seules quelques pièces n'étaient pas accessibles, notamment au rez-de-chaussée.£
e rez-de-chaussée s'organise de part et d'autre d'un hall traversant implanté au centre. Il est ouvert, à l'est, sur la cage d'escalier monumentale. La séparation entre le hall et la cage d'escalier est marquée par une marche et la présence de deux colonnes qui portent le palier du premier étage. Le sol est constitué de dalles de pierre. Les autres pièces du rez-de-chaussée n'ont pas été visitées.
L'escalier est un escalier à retours tournant à gauche à trois volées droites entièrement en pierre de taille. La rambarde est constituée de montants verticaux métalliques et d'une rampe en bois. L'escalier dessert un palier qui se prolonge, au-dessus de la première volée de marches, par une galerie. Il est éclairé par deux grandes fenêtres du côté nord. Il dessert deux portes, une large à l'ouest et une petite dans l'angle sud-est.
Le premier étage est constitué de deux groupes de pièces en enfilades, au sud et au nord, au centre desquelles le palier et le vestibule assurent la distribution. Quatre pièces donnent au sud du côté de la place et de six pièces au nord. Le palier de l'escalier principal donne accès, à l'ouest, à un vestibule aménagé au-dessus du hall d'entrée du rez-de-chaussée. Ce vestibule est richement décoré. Il est éclairé par une fenêtre au nord et dessert deux pièces, à l'ouest et au sud. Le sol des différentes pièces du premier étage est principalement constitué de carreaux de terre cuite.
La pièce située immédiatement à l'ouest du vestibule est l'ancienne salle à manger. Elle conserve quelques éléments de décor, notamment autour d'une niche en plein-cintre aménagée dans le mur nord. La pièce située encore à l'ouest n'a pas été visitée.
Au sud du vestibule, on accède au salon le plus vaste, l'ancien salon de musique. Il occupe les trois travées centrales de la façade et donne donc au sud sur le balcon grâce à trois portes-fenêtres. Ce grand salon possède une cheminée en marbre gris sur le mur est. Dans chacun des angles de la pièce, sur les murs ouest et est, se trouvent des portes en bois couronnées d'entablements en bois portés par de petites consoles. Elles permettent d'accéder aux autres pièces donnant en façade. La pièce à l'ouest n'a pas pu être visitée.
La pièce à l'est de l'ancien salon de musique était le salon de billard. De forme arrondie du côté nord, elle donne au sud sur la place par deux grandes fenêtres. On retrouve le même type de portes que dans la pièce précédente pour les deux portes principales, permettant le passage d'une pièce à l'autre en enfilade. Deux autres portes dérobées sont aménagées dans les parties courbes de la pièce. Ce salon présente un décor monumental constitué d'une grande scène peinte faisant tout le tour de la pièce. La partie inférieure des murs est occupée par un lambris d'appui panneauté. Une dernière pièce est située à l'est du salon de billard mais elle n'a pas été visitée.
Depuis le palier on accède aussi à l'escalier de service, à l'est, et à une dernière pièce (angle nord-est) qui était la seule chambre à ce niveau au milieu du 19e siècle. Sur le mur sud de la chambre sont conservés deux placards d'angle arrondis formant une sorte d'alcôve.
L'escalier secondaire est un escalier en bois tournant à droite. Des toilettes sont aménagées dessous. Il donne accès au deuxième étage qui s'organise de part et d'autre d'un long couloir central traversant l'hôtel d'est en ouest. Le couloir dessert deux chambres relativement vastes et deux autres grandes pièces au sud. Il distribue du côté nord des pièces plus petites, peut-être plutôt réservées au service. Le couloir est assez richement décoré compte tenu de son emplacement dans la maison. Il est scandé par plusieurs arcs en plein-cintre portés par des pilastres. Il est éclairé à chacune de ses extrémités par des fenêtres en plein-cintre à impostes vitrées.
Les deux chambres implantées dans la partie sud-est étaient celles des enfants au milieu du 19e siècle. Elles communiquent avec le couloir par un sas commun ainsi que directement entre elles. La chambre la plus à l'est possède une cheminée en marbre gris contre le mur oriental et plusieurs placards intégrés dans l'épaisseur des murs. La deuxième chambre est un peu plus vaste que la précédente. Elle possède une cheminée en marbre gris contre le mur ouest et est dotée de deux placards d'angle arrondis formant une sorte d'alcôve au nord. L'un de ces éléments arrondis donne en réalité accès au sas et au couloir. D'autres placards sont aménagés dans l'épaisseur du mur ouest de part et d'autre de la cheminée. La troisième pièce du côté sud, vers l'ouest, a été très remaniée mais conserve une cheminée en marbre gris.
Un vaste espace est aménagé au nord-ouest du deuxième étage, résultant certainement de la destruction de parois légères. On y observe tout de même les traces d'une cheminée disparue et d'une probable trémie d'un escalier n'existant plus. Les petites pièces alignées au nord, entre ce grand espace et la cage d'escalier, sont beaucoup plus pauvres que les autres. Elles sont nettement plus petites et ne possèdent pas de cheminées. Les murs ne sont ni décorés ni couverts de papier peint. Seule la chambre nord-est est de dimensions semblables à celles du sud-est. Elle est dotée d'une cheminée en marbre gris sur le mur oriental et de papier peint.
Les communs sont implantés au nord, de l'autre côté de la cour. De plan allongé d'environ 33 m de long pour 7 m de large, ils ne comprennent aujourd'hui qu'un rez-de-chaussée mais devaient initialement posséder un comble à surcroît ayant pu servir de fenil ou de grenier. Ce bâtiment servant aujourd'hui de bureaux pour la mairie, il a été très remanié, y compris les ouvertures extérieures. On devine tout de même que la façade sud, sur cour, devait être scandée d'une alternance de fenêtres relativement petites et de portes ou de portes de remise. Au-dessus de chaque baie s'ouvrait une petite fenêtre en plein-cintre au niveau du comble. Une grande arcade en plein-cintre est à noter au centre, dans l'axe des portes principales de l'hôtel particulier. Les encadrements des baies sont en brique apparente, tout comme le cordon régnant qui parcourt toute la façade au niveau de l'appui des petites fenêtres des combles. La façade est couronnée d'une corniche. Le toit à longs pans est couvert de tuiles creuses. L'élévation nord n'est percé que de quelques rares fenêtres hautes.
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Murs
- brique
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Toitstuile creuse
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Étagesrez-de-chaussée, 2 étages carrés
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- toit à longs pans
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Escaliers
- escalier de distribution : escalier tournant à retours en maçonnerie
- escalier de distribution : escalier tournant à retours en charpente
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Techniques
- peinture
- papier peint
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Représentations
- pierre
- ornement géométrique
- guirlande
- oiseau
- pilastre
- ornement végétal
- chute
- cartouche
- lyre
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Précision représentations
Au rez-de-chaussée, les murs du hall et de la cage descalier sont peints dun décor de faux marbre dans des tons plutôt clairs, compris dans des cadres peints aussi de faux marbre rouge. Sous la galerie de létage, le décor peint représente trois octogones dans lesquels se trouvent des motifs géométriques pour ceux des côtés et une guirlande de plantes avec un oiseau au centre pour loctogone central.£Au premier étage, le décor des murs de la cage descalier rappelle celui du rez-de-chaussée mais en plus complexe et plus soigné. Les panneaux de faux marbre sont séparés par des pilastres en trompe-lil. Les aplats de faux marbre sont divisés par des motifs circulaires ou losangiques selon les panneaux. Les murs sont couronnés par une frise aux décors floraux et feuillagés et par une corniche à modillons à décor de feuilles dapplique. Les dessus-de-portes sont peints de compositions en grisaille avec des feuilles dacanthe, des oiseaux, des fruits, etc.£Les murs du vestibule sont peints dun décor architecturé constitué de panneaux bordés par des colonnettes cannelées marron et dorées entre lesquelles pendent des chaînettes portant des pierres serties. Le fond est constitué dun treillis vert foncé sur un fond vert légèrement plus clair. Entre ces différents panneaux bordés par les colonnettes prennent place des cartouches blancs sur lesquels sont peintes des chutes végétales (feuillages et fleurs) entrecoupées de pots et de vases variés. Sur les dessus-de-portes sont peints des cartouches contenant, entre autres, les armes de la famille de Boutaud et de la famille de Kermovial de Kermovan. Le plafond du vestibule est peint dun décor géométrique de feuillages formant des losanges au centre desquels se trouvent des oiseaux et des papillons.£La niche de lancienne salle à manger est décorée de pilastres couronnés de chapiteaux corinthiens, de motifs floraux sur larc et de deux victoires portant des couronnes de laurier dans les écoinçons.£La hotte de la cheminée de lancien salon de musique rappelle lusage de cette pièce. Elle porte un décor probablement en gypserie représentant des motifs feuillagés et une lyre bordée de volutes de plantes dans un cartouche.£Le salon de billard est décoré dun papier peint représentant une grande scène champêtre. Sur le panneau de gauche, on peut observer un terrain de quille où trois joueurs saffrontent (un est en train de tirer et les autres discutent à côté), et plusieurs autres personnages les observent. Le terrain est fermé par une clôture ou un muret rejoignant, dans la courbe du mur, un bâtiment. Il sagit dune auberge constituée dune galerie ouverte à létage donnant sur le chemin peint dans la partie centrale du décor. On y voit plusieurs personnages en train de boire ou de sembrasser. Sur le chemin qui senfonce dans la forêt, deux autres personnages sembrassent au point que la femme perd des objets de son panier. Dans la partie arrondie à droite est peinte une structure en bois habillée de voilages protégeant un tonneau. Enfin, sur le panneau de droite est représentée une scène de danses champêtres accompagnées par deux musiciens assis à droite. Larrière-plan représente une forêt. La scène se poursuit sur les pans de murs sud entre les portes et les fenêtres, mais sans personnages (paysages et bâtiments).£Les hottes des cheminées des différentes chambres sont généralement décorées déléments feuillagés et fleuris. Les papiers peints des chambres du deuxième étage présentent des motifs variés, généralement feuillagés ou fleuris.
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Statut de la propriétépropriété de la commune
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Protectionsinscrit MH, 1950/04/11
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Précisions sur la protection
Façades avec couverts : inscription par arrêté du 11 avril 1950
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Référence MH
- (c) Inventaire général Région Occitanie
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Documents d'archives
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Extrait du plan cadastral dit napoléonien, 1839.
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AD Haute-Garonne, 2 O 1267, Plan de l’impasse du Cul-de-Sac de la rue dite du Four, 1826.
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AD Haute-Garonne, 3 P 8432, Etat de section, cadastre dit napoléonien, 1840
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AM Saint-Sulpice-sur-Lèze, 1 G 7, Matrice des propriétés foncières, 1840-1914.
AM Saint-Sulpice-sur-Lèze, Dossiers concernant les édifices patrimoniaux de la commune, 20e siècle.
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AD Haute-Garonne, 2 O 1268, Plan d’une partie de la ville, 1850.
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AD Haute-Garonne, 1 NUM AC 3754, Compoix, 1578 [Numérisation de : AM Saint-Sulpice-sur-Lèze, 1 G 1].
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Étude préalable à la réhabilitation de l’hôtel de ville, CAUE 31, Florence Frémont et Jean-Marie Bouzat, janvier 2010.
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AM Saint-Sulpice-sur-Lèze, Dossiers concernant les édifices patrimoniaux de la commune, 20e siècle.