La maison, de type F4, est bâtie en retrait de l’avenue des Rosiers. La clôture sur rue, dont on trouve plusieurs exemples avenue des Rosiers, a été conservée : elle se compose d’un portail à trois battants métalliques repliables, et d’un mur-bahut surmonté d’une grille avec le même motif polylobé.£La maison comporte un étage de soubassement, un rez-de-chaussée accessible côté rue par un escalier extérieur muni d’une rampe métallique et côté jardin de plain-pied, et d’un étage carré. Les murs sont bâtis en agglomérés et en briques creuses, les planchers en béton armé et le toit est couvert de tuiles mécaniques.£La porte du garage, d’origine, est constituée de quatre battants en bois repliables. Le rez-de-chaussée comporte une cuisine, un salon et un cabinet de toilette. La loggia qui se trouvait au-dessus de la porte du garage a été fermée afin d’agrandir le salon. Dans le couloir d’entrée, un escalier conduit à l’étage où se trouvent trois chambres et une salle de bain.£En façade sur rue, au premier étage, deux cadres en béton moulé légèrement saillants (3 cm) animent la façade. Celui de droite n’est percé que d’une seule fenêtre, au lieu des deux prévues dans le plan-type d’origine établi par l’architecte. Ceci résulte des critiques formulées par les habitants des toutes premières maisons du CIL construites dans le lotissement, dans la partie est de l’avenue des Rosiers. La réduction du nombre de fenêtres était destinée à faciliter l’ameublement des chambres.