La façade, au nord, est en grande partie recouverte d’enduit, à l’exception du 1er étage. Le parement est d’une mise en œuvre soignée, d’un grand appareil réglé en pierre de taille en calcaire de Montolieu, à joint fin. Un cordon d’appui en calcaire de Montolieu régnait sur toute la largeur de la façade, bûché en grande partie, mouluré de deux tores dégagés par une gorge, surmontés d’un canal et d’un réglet. Le piédroit droit (ouest) de la fenêtre d’époque contemporaine (qui a cassé le cordon) est en place, mouluré d’une baguette et d’un tore (lequel a été cassé par une feuillure) de la même façon qu’une fenêtre géminée à jour d’écoinçon au sud-ouest du bourg (11 rue de l’Église, cad. D1873). R. Hyvert voyait encore en 1946, le départ d’arc d’une ancienne fenêtre géminée liée à ce piédroit. Vers la droite (ouest), le cordon présente un congé, indiquant sa limite et peut-être celle de la maison. Aussi, la portion de cordon sous la fenêtre de droite (ouest) au 1er étage de la façade est sans doute en remploi.