Objet particulièrement rare, la colombe de baptême était probablement suspendue au-dessus des fonts baptismaux.
Datée par les poinçons, cette oeuvre témoigne du renouvellement des vases sacrés après le Concordat et de la qualité des oeuvres postrévolutionnaires. L'absence de poinçon de fabricant autorise seulement à attribuer cette pièce à un orfèvre toulousain.
Restauré en 2011 par Frédérique Nicot