2002-2008 : chercheur associé à l'Inventaire général
depuis 2008 : cbercheur à l'Inventaire général d'Occitanie
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Dossier non géolocalisé
Plusieurs objets sont datables du milieu du 17e siècle. Ils révèlent le réaménagement de l'église avant son saccage par les huguenots. Une pyxide en argent, datée de 1640, réalisée par l'orfèvre narbonnais Nicolas Laporte est mentionnée mais n'a pas été retrouvée.
Un ciboire en argent porte le poinçon de l'orfèvre parisien Jean-Baptiste-Simon Lefranc et date de la fin du 18e siècle ou du tout début du 19e siècle.
L'essentiel du mobilier est datable de la seconde moitié du 19e siècle voire du tout début du 20e siècle. Une cloche datée de 1891, fondue par le fondeur toulousain Vivre. Un calice et sa patène en laiton doré avec le pied orné de faux émaux cloisonnés réalisés par l'orfèvre lyonnais Louis Gille (poinçon dans un losange horizontal avec les lettres L et G séparées par une étoile). Un autre calice réalisé par l'orfèvre Henry Nesme (1924-1964) dont le poinçon représente un calice entre les lettres H et N dans un losange.
Louis et Pierre Gille, orfèvres, fabricants de bronzes et d'orfèvrerie d'église, situés à Lyon au 47 cours du Midi, puis 37 quai Claude Bernard (1889), puis 6 avenue Leclerc (1919). Début d'activité en 1882. Poinçon insculpé le 11 juillet 1889, biffé. en 1927.
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