C'est une commande de l'Etat, bien référencée sur la base Arcade (F/21/32/A), qui précise que la commande, de 1800 francs, date de 1844, et qu'un supplément de 600 fr. a été alloué à Gendron en raison des dimensions et du grand nombre de figures du tableau.
La composition foisonnante en personnages est à rapprocher de deux autres de ses oeuvres portant le même titre, les Ondines, conservées au Musée Malraux du Havre et au musée des Beaux-Arts de Bordeaux (cf. base Joconde).
Bernard Sournia, qui a examiné l'oeuvre en 1973, a relevé la ressemblance de l'ange jetant des fleurs avec le geste de la Poésie lyrique dans le tableau d'Ingres, Luigi Cherubini et la muse de la poésie lyrique, daté de 1842 et aujourd'hui au Louvre.
Les cinq tableaux actuels du choeur étaient déjà au même endroit lors de l'inventaire du 15 février 1906.
Photographe prestation Fish Eye dans le cadre de l'étude du patrimoine industriel du département de l'Hérault de 2011 à 2013