A cet emplacement, le plan cadastral de 1837 figure une construction, comptant vraisemblablement parmi les tout premiers édifices du bourg signalés au 18e siècle. Les lithographies vers 1850 font état d'un édifice de plan irrégulier et de style vernaculaire avec toit en croupe, lucarnes en chien assis, un étage et cinq travées. En 1883, il semble reconstruit, puisque la matrice cadastrale l'indique à la fois comme construction nouvelle et agrandissement d'une cuisine dépendant de la pension de Simon Ducomte.
Au milieu du 20e siècle, l'élévation n'apparaît plus sur les photographies aériennes. Elle semble avoir été arasée durant cette période afin de former une place attenante aux thermes tandis que ses étages en soubassement sont conservés et accueillent des locaux techniques.