Cet édifice, dont le style néoclassique témoigne d'une construction vraisemblablement au début du 19e siècle, figure déjà à cet emplacement sur le plan cadastral de 1837. En 1882, il appartient à Christine Druène, liée au médecin du même nom qui a officié à l'établissement thermal de Saint-Sauveur.
Des travaux y sont effectués durant la seconde moitié du 19e siècle, comme en témoignent les garde-corps en fer forgé portant les monogrammes de la famille Druène. L'édifice accueille de nos jours le siège de l'Association des Amis de Saint-Sauveur.