Les parties basses de la maison conserve des maçonneries en briques datables du 13e ou 14e siècle. La structure en pan de bois des étages en encorbellement daterait quantà elle de la fin du Moyen-Age (15e siècle). A l'intérieur, la cheminée en brique du premier étage pourrait dater du 17e siècle. Les fenêtres rectangulaires qui ouvrent l'entresol et les étages semblent quant à elles devoir être attribuées aux remaniements du 19e siècle. A l'origine, les parcelles CD 278 et CD 279 ne formaient qu'une seule et même maison qui fut divisée et réaménagée en 2 entités distinctes au 19e siècle.
- inventaire topographique
- (c) Ville de Cahors
- (c) Inventaire général Région Occitanie
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Cahors centre
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Commune
Cahors
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Lieu-dit
Ilot 63
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Adresse
30 rue Pierre de Bernie
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Cadastre
1812 N 435, 447 ;
2008
CD
278
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Dénominationsmaison
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DestinationsBernie (rue Pierre de) 30
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Période(s)
- Principale : Milieu du Moyen Age
- Principale : Fin du Moyen Age
- Principale : 15e siècle , (incertitude)
- Principale : 17e siècle
- Principale : 19e siècle
La façade nord de la maison donnant sur la rue Pierre-de-Bernie comprend un rez-de-chaussée et un entresol maçonnés en briques qui pourraeint dater du 13e/14e siècle et seraient par conséquent antérieurs aux étages à pan de bois. Dans la partie gauche du rez-de-chaussée, une porte chanfreinée (chanfreins de 7 à 10 cm de large) couverte en arc brisé pourrait avoir constitué la porte d'entrée. La seconde porte en arc brisé, située à l'emplacement de la porte de garage actuel, moins haute, pourrait quant à elle avoir donné accès à une cave. La structure du pan de bois des étages, en encorbellement, est constituée de grandes croix de Saint-André qui apparaissent à l'intérieur. Des solives débordantes supportent l'ensemble qui était ouvert par des demi-croisées, remplacées au 19e siècle par des fenêtres rectangulaires.£A l'intérieur, la cloison en pan de bois qui sépare les parcelles CD 278 et CD 279 est contemporaine des étages en encorbellement et conserve des portes chanfreinées, aujourd'hui bouchées, témoignant de l'unité de la maison primitive. Des portes semblables sont conservées au 59, rue du Chaval-Blanc et au 78, rue Mascoutou. Les escaliers mis en place au 19e siècle indiquent que la maison avait été alors divisée en deux parcelles distinctes, aujourd'hui réunies à nouveau en un seul ensemble. Il est à noter qu'en cave, au sein du mur correspondant à l'actuel mitoyen entre CD 278 et CD 279, sont conservés les vestiges d'un arc qui pourrait avoir fait communiquer les deux caves d'origine.
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Murs
- bois
- enduit
- maçonnerie
- pan de bois
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Toitstuile creuse
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Étages3 étages carrés
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Couvertures
- toit à longs pans
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Statut de la propriétépropriété privée
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Sites de protectionsecteur sauvegardé
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- (c) Inventaire général Région Occitanie
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