Chercheur en inventaire du patrimoine au Département du Lot entre 2012 et 2018.
- dossier ponctuel
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Conseil départemental du Lot
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Lot - Figeac-2
-
Commune
Lunan
-
Lieu-dit
la Contie
-
Cadastre
1833
B
1234, 1236, 1258, 1259, 1260, 1261
;
2015
B
1099, 1100, 1101, 1102, 1468
-
Dénominationsferme
-
Parties constituantes non étudiéesgrange, étable
La ferme conserve d'importants vestiges bâtis qui témoignent d'une implantation ou d'une reconstruction au début de la période moderne.
La maison actuelle s'étend sur trois anciennes parcelles figurant au cadastre de 1833. La répartition des ouvertures anciennes (portes moulurées sur deux niveaux, demi-croisées aux étages) et l'articulation des maçonneries permettent d'identifier deux corps de logis dans le même alignement au nord-ouest et au sud-est, encadrant une partie centrale largement remaniée qui a pu constituer une troisième unité d'habitation. Les caractères architecturaux suggèrent une datation du 16e siècle pour ce logis double ou triple. La partie nord-ouest conserve plusieurs équipements domestiques, dont une cheminée monumentale à piédroits chanfreinés et linteau à corniche : ils attestent de la présence d'une pièce de vie à l'étage, surmontant un rez-de-chaussée utilitaire (cave ou cellier). Le bâti a fait l'objet d'extensions et de transformations successives jusqu'à sa restauration récente. Alors que les logis initiaux étaient vraisemblablement tournés vers le nord-est, des travaux réalisés dans la première moitié du 19e siècle ont vraisemblablement modifié les dispositifs d'accès aux différents logis et ont donné à l'élévation sud-ouest son aspect actuel, marqué par la présence de plusieurs paliers couverts et perrons maçonnés ("bolets").
Au logis double ou triple est associée une grange-étable, également subdivisée en deux parcelles. La structure et la charpente pourraient dater du 16e ou du début du 17e siècle. Le bâtiment s'apparente aux granges de type "auvergnat", caractérisées par la superposition d'une étable en rez-de-chaussée et d'un comble à usage de grange-fenil. Les maçonneries et ouvertures révèlent une mise en oeuvre soignée, au moyen de moellons calcaires et de pierres de taille portant des traces de finition brettelée. Les portes d'étable et la porte charretière présentent un encadrement chanfreiné, comme la fenêtre de pignon qui éclaire le comble. La charpente non triangulée à arbalétriers courbes, dite de type "raised cruck", était initialement associée à une couverture en chaume venant s'appuyer sur des rangs de lauzes en rive et à l'égout.
La ferme conserve d'importants vestiges bâtis qui témoignent d'une implantation ou d'une reconstruction au début de la période moderne, voire dès l'extrême fin du Moyen Age. Le lieu est mentionné dès 1468 : un certain "Guillaume Conte et son fils Géraud, laboureurs du mas de la Contia, paroisse de Lunan" (Lartigaut, p. 316).
La maison actuelle s'étend sur trois anciennes parcelles figurant au cadastre de 1833. La répartition des ouvertures, les vestiges de chaînes d'angle accolées en façade et la présence de refends maçonnés au rez-de-chaussée permettent d'identifier deux corps de logis dans le même alignement au nord-ouest et au sud-est, encadrant une partie centrale largement remaniée qui a pu constituer une troisième unité d'habitation. Les caractères architecturaux suggèrent une datation du 16e siècle pour les deux ou trois entités alignées.
Si l'hypothèse d'une extension rapide à partir d'un habitat initialement plus réduit n'est pas exclue, l'homogénéité de l'ensemble tend à accréditer l'hypothèse de maisons jumelles ou d'un logis triple, aménagé(es) lors d'une même campagne de travaux. D'après le cadastre napoléonien, cette subdivision en plusieurs unités d'habitation s'est maintenue jusqu'au 19e siècle. Elle a cependant fait l'objet d'évolutions : la confrontation des vestiges bâtis avec le parcellaire de 1833 permet d'affirmer que les limites parcellaires ont été modifiées (notamment sur la partie centrale) et que les habitations ont été agrandies dans un second temps.
En effet, les corps de logis alignés sont flanqués au nord-est de corps de bâtiments plus récents qui forment une extension postérieure. La présence de baies similaires à celles des corps principaux (portes à piédroits en quart-de-rond et linteau ou arc chanfreiné) pose toutefois question quant à la chronologie d'évolution du bâti. Néanmoins, le mode de mise en œuvre plaide en faveur d'un remontage tardif (18e ou 19e siècle ?), en remployant certains éléments de la façade préexistante.
Les corps de bâtiment antérieurs ont eux-mêmes été remaniés et rehaussés, peut-être dès le 17e siècle : en témoigne la présence d'une demi-croisée à arêtes vives et d'une cheminée à manteau droit et corniche au deuxième étage de la partie sud-est. Des travaux réalisés dans le courant du 19e siècle ont largement modifié les façades sud-ouest et sud-est : percement de nouvelles baies rectangulaires et construction de perrons en maçonnerie avec palier couvert (dont un escalier millésimé "1834"). Les différents dispositifs d'accès résultant de la transformation et de l'extension du bâti sont visibles sur le plan cadastral de 1833 : tandis que la parcelle centrale était desservie depuis le nord par le biais du corps de bâtiment postérieur, deux perrons donnaient accès aux logis latéraux par la façade sud-ouest. Ces aménagements tardifs laissent supposer que l'orientation de l'édifice a été modifiée à cette époque : initialement tournée vers le nord-est, l'ancienne façade antérieure a servi d'appui aux extensions ultérieures, tandis que de nouvelles dispositions ont permis d'ouvrir les corps de logis au sud-ouest. Une nouvelle extension a par ailleurs été construite au nord-ouest après 1833.
La grange-étable paraît un peu plus récente que les logis. La forme et la mouluration des baies ainsi que les traces de taille brettelée observées sont caractéristiques d'une construction de la première moitié du 17e siècle. Les maçonneries et la charpente d'origine ont été remarquablement préservées, malgré le percement d'ouvertures plus récentes et la réfection de la toiture. La mise en place d'une couverture de tuiles a toutefois changé l'aspect global de l'édifice qui était certainement pourvu d'une toiture en chaume, avec rives et égouts sertis de lauzes calcaires.
-
Période(s)
- Principale : 16e siècle
- Principale : 17e siècle
- Principale : limite 18e siècle 19e siècle
- Principale : 19e siècle
-
Dates
- 1834, porte la date
La ferme présente un bâti homogène formé d'un imposant logis, initialement composé de plusieurs unités d'habitation, et d'une grange-étable subdivisée en deux parcelles. Les deux bâtiments sont implantés parallèlement, suivant un axe nord-ouest / sud-est, et séparés par une voie qui dessert les différentes entités. Un portail à arc en plein cintre ferme la cour aménagée au nord-est de l'ensemble : il a probablement été bâti tardivement au moyen de remplois, sur le modèle des ouvertures anciennes du logis (encadrement mouluré à piédroits en quart-de-rond et arc chanfreiné). Un fournil, actuellement ruiné, occupe l'angle est de la cour.
La maison actuelle a été formée par le regroupement de trois anciennes habitations dont les accès autonomes sont encore visibles sur les différentes façades (perrons en maçonnerie au nord, au sud-ouest et au sud-est). Malgré les évolutions successives du parcellaire, les limites anciennes sont matérialisées par des refends maçonnés, conservés en place au rez-de-chaussée, auxquels correspondent des chaînes d'angle en moellons, intégrées dans l'appareil de façade. Ces indices permettent d'identifier un ensemble bâti homogène composé d'au moins deux corps de bâtiment dans le même alignement et flanqué au nord-est d'extensions ultérieures. Les corps de logis se caractérisent par des maçonneries en moellons ébauchés de grès et de calcaire, irrégulièrement assisés et associés à des chaînes d'angle en moellons de grès équarris. Les encadrements des baies d'origine sont réalisés en pierres de taille de grès fin (clair, ocre ou rose) dont la surface révèle les traces d'une finition brettelée. Les différentes unités d'habitation se signalent par des ouvertures chanfreinées réparties sur deux niveaux, lesquels ont été rehaussés d'un comble à surcroît ultérieurement. Ces baies suggèrent une fonction utilitaire affectée au rez-de-chaussée (cave ou cellier), tandis que l'habitation occupait l'étage. On observe ainsi, pour le logis nord-ouest, une porte à linteau et piédroits en quart-de-rond au rez-de-chaussée (façade sud-ouest), une demi-croisée avec appui en biseau et congés biais à l'étage (façade nord-est) et un jour actuellement bouché dans l'ancien pignon (façade nord-ouest servant d'appui à une extension récente). Du logis central, aux limites certainement modifiées, subsiste une porte bâtarde à arc en plein-cintre et piédroits en quart-de-rond (avec congés bombés), surmontée d'une porte piétonne présentant la même mouluration et un linteau plus récent en bois (piédroit peut-être remployé). Quant au logis sud-est, il conserve plusieurs éléments résultant de remaniements ou de restaurations ultérieures : porte bâtarde à linteau en façade sud-ouest (remploi ou remontage probable) ; jours en archère probablement repercés au rez-de-chaussée ; demi-croisée d'étage en mur-pignon, très semblable à celle-du logis nord-ouest mais certainement remontée et transformée en évier ; demi-croisée plus récente à arêtes vives et cheminée à manteau droit et linteau à corniche au deuxième étage. Plusieurs portes ou jours moulurés semblent par ailleurs remployées dans l'extension nord-est du logis central.
Seul le logis nord-ouest conserve, à l'étage, des équipements domestiques en place : cheminée à manteau chanfreiné et linteau à crossettes sommé d'une corniche ; placard à étagère interne et vantail en bois (disparu). L'ensemble du bâti a fait l'objet d'importantes transformations dont résultent les dispositifs d'accès actuels et les ouvertures à encadrement rectangulaire et à arêtes vives, percées sur trois niveaux. Il a été récemment restauré par les actuels propriétaires.
La grange-étable est un bâtiment quadrangulaire à deux niveaux, caractérisé par une structure en superposition de type "auvergnat". Surmontant un étage de soubassement à usage d'étable, la grange-fenil occupait le comble, sous la toiture à deux longs pans en pente raide. Les maçonneries relèvent d'un mode de mise en œuvre proche de celui des logis : elles associent un parement assisé en moellons ébauchés de grès et de calcaire à des chaînes d'angle et encadrements de baies en pierre de taille de grès, dont la finition layée a été réalisée à la bretture.
Un refend maçonné, prenant appui contre les murs latéraux préexistants, est venu séparer le rez-de-chaussée en deux parties nord-ouest/sud-est, qui correspondent aux deux parcelles figurant sur le plan cadastral de 1833. Deux portes bâtardes, disposées dans le mur-pignon sud-est et dans le mur gouttereau nord-est, donnent accès aux étables. Elles présentent toutes deux un encadrement chanfreiné, à linteau ou à arc déprimé monolithe. Un cartouche en forme décu renversé orne la porte nord-est. Un jour en archère observé sur la façade sud-ouest pourrait également appartenir à l'état d'origine.
Le comble ouvre de plain-pied au nord-ouest par une porte charretière à arc segmentaire, animée d'un chanfrein amorti en congés biais. Il est éclairé par deux fenêtres à encadrement chanfreiné percées dans le pignon opposé. La plus basse se distingue par la présence de congés biais et d'un petit appui saillant en biseau. La partie supérieure du pignon accueille un pigeonnier qui résulte sans doute d'un remaniement ultérieur : une reprise du parement extérieur a permis de ménager des boulins tandis qu'une structure en bois a été encastrée à l'intérieur. D'autres reprises sont visibles sur les murs gouttereaux, liées au percement de baies plus récentes : fentes d'éclairage horizontales ; troisième porte d'étable à linteau en bois ; lucarne fenière permettant un accès direct au comble.
Le bâtiment a vraisemblablement conservé sa charpente d'origine, malgré le remplacement de la toiture initiale que l'on peut supposer en chaume. Apparentée au type de charpente non triangulée dite "raised cruck", elle est constituée de couples d'arbalétriers courbes, noyés en pied dans la maçonnerie des gouttereaux et assemblés à mi-bois sous la panne faitière. Les chevrons sont chevillés aux pannes intermédiaires. Des transformations récentes, probablement liées à une réfection de la couverture en tuiles, ont changé l'aspect de la grange : des coyaux et des chevrons de rives ont été rajoutés, en remplacement probablement des rangs de lauzes qui recevaient le chaume en rive et à l'égout. La dépose des lauzes de rive pourrait ainsi expliquer l'arase irrégulière du pignon sud-ouest. Un couple d'arbalétrier a par ailleurs été déposé, justifiant une reprise des murs latéraux au niveau de l'encastrement des pieds d'arbalétrier. Cette modification a été partiellement compensée par un système de faux-entrait reliant deux chevrons.
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Murs
- calcaire moellon
- grès moellon
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Toitschaume, tuile plate, tuile plate mécanique
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Étages1 étage carré, comble à surcroît
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Couvertures
- toit à longs pans
- demi-croupe
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Escaliers
- escalier de distribution extérieur : escalier droit, escalier tournant en maçonnerie
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Typologiesgrange-étable en superposition (type auvergnat) ; logis en hauteur ; logis double ou logis triple
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Inventaire général Région Occitanie
- (c) Conseil départemental du Lot
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Bibliographie
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Lartigaut (Jean), Le Quercy après la guerre de Cent Ans, Aux origines du Quercy, Cahors, Quercy-Recherche, 2001 (réédition augmentée de l’ouvrage issu de sa thèse : Les campagnes du Quercy après la guerre de cent ans, Toulouse, 1978).
p. 316 -
Cadot (Fabien), Etude méthodologique pour la connaissance et la conservation du patrimoine rural lotois, Département du Lot/Région Occitanie, dactylographié, 2020.
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