• enquête thématique régionale, Jardins
jardin d'agrément du château de la Treyne
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Inventaire général Région Occitanie
  • (c) Conseil départemental du Lot

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Souillac
  • Commune Lacave
  • Lieu-dit la Treyne
  • Cadastre 2010 E01 5, 6, 7, 8, 542
  • Dénominations
    jardin d'agrément
  • Appellations
    du château de la Treyne
  • Parties constituantes non étudiées
    tonnelle, bassin, allée, terrasse en terre-plein, cour, escalier

L'industriel parisien Auguste-Gabriel Savard achète le château de la Treyne en 1910 pour le restaurer. Il fait dessiner le parc, attribué au paysagiste André, probablement René-Edouard, fils d'Edmond décédé en 1911, qui était entré dans l'agence de son père en 1890. Le parc, de style mixte, partiellement "à la française" et partiellement paysager, répond en effet aux principes d'aménagement d'Edouard André.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle

Implanté autour du château sur une falaise dominant la Dordogne, le jardin manifeste la volonté d'exploiter les ressources naturelles du site, en particulier la vue dominante et le relief. Il comporte une partie paysagère aménagé en bordure de falaise et au bord de l'eau : chemin de promenade en terre battue avec muret de pierre en bordure de l'escarpement (accès à la chapelle, point de vue sur la vallée), sentier descendant vers la berge par une allée serpentine en gravier, quelques marches en pierre, portant un décor végétal de rocaille et de petits conifères. Sur la berge, bambous et saules confèrent à l'endroit un caractère romantique. Le reste du jardin a été nivellé en terrasse et offre une longue perspective vers le sud-est, au-delà d'une vaste esplanade en gravier bordée de géraniums où se tient le château. Cette perspective légèrement montante, délimitée par une haie, paraît avoir été gagnée sur le paysage agricole environnant. Composée de parterres de gazon, son point extrême est matérialisé, au-delà d'un vaste bassin circulaire à jet d'eau, par une pergola couverte de rosiers grimpants d'où peut s'appréhender la meilleure vue sur le château. Des plantations d'arbres séculaires parcourues par des allées rectilignes de promenade (allée de tilleuls replantée en 91), bordent à l'est le jardin à la française. Des espaces réservés aux jeux (tennis et piscine) et un potager clos de murs le complètent.

  • Murs
    • calcaire
    • moellon
  • Plans
    jardin mixte
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
  • Jardins
    arbre isolé, quinconce, topiaire, bosquet, parterre de gazon, massif de fleurs, rocaille de jardin
  • Typologies
    jardin à la française

Champs annexes au dossier - Architecture

  • NOTB_G Didon (Catherine), Châteaux, manoirs et logis. Le Lot, Chauray, Ed. Patrimoine medias, 1996, p. 24-25.
  • NOTB_S
  • APPA
  • APRO
  • ARCHEO
  • AVIS
  • CCOM
  • CHARP
  • CHARPP
  • COORLB93
  • COORMLB93
  • COORMWGS84
  • COORWGS84
  • ENCA
  • EPID
  • ESSENT
  • ETACT
  • FEN
  • FEN2
  • FENP
  • INTER
  • MHPP
  • NOPC
  • OBSV
  • PAVIS
  • PETA_MA
  • PLU
  • PSAV_FA
  • SAV_FA
  • SELECT oeuvre sélectionnée
  • TAILL
  • TAILLP
  • TOITU
  • USER IVR73_SCPMIDIPYR
  • VALID accessible au grand public
  • VISI
  • VISIB
  • VOIR_AUSSI
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Le parc constitue les abords du château inscrit MH.

Date(s) d'enquête : 2000; Date(s) de rédaction : 2010
(c) Inventaire général Région Occitanie
(c) Conseil départemental du Lot