Le château de Cénevières, campé sur une falaise dominant la rive sud de la vallée du Lot constitue l'un des sites majeurs du département. Outre le caractère exceptionnel de cette situation, il doit sa notoriété à la place qu'il occupe dans l'histoire de l'architecture de la Renaissance et au fait qu'il conserve un remarquable cabinet d'alchimie.
- enquête thématique départementale, inventaire préliminaire de l'architecture civile médiévale
- (c) Conseil départemental du Lot
- (c) Inventaire général Région Occitanie
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Lot - Causse et Vallées
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Hydrographies
le Lot
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Commune
Cénevières
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Lieu-dit
château
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Cadastre
2013
AE
218
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Dénominationschâteau
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Parties constituantes non étudiéesjardin, basse-cour, enceinte, cour, temple
Au milieu du 13e siècle, la "villa" de Cénevières était une possession des La Popie, mais relevait de la moitié de la seigneurie de Saint-Cirq dont les Gourdon avaient hérité. Il est en effet très probable que le fief pour lequel Gaillard de La Popie était vassal de Fortanier de Gourdon en 1259 était bien Cénevières comme le pensait le chanoine Albe et que Fortanier de Gourdon y avait acquis ses droits par une alliance avec les Laroque. Eux-mêmes descendaient des anciens vicomtes de Saint-Cirq.
En 1285, Bertrand de La Popie était dit résider à Cénevières, ce qui suppose qu'il y disposait au moins d'un logis, mais qui n'exclut pas que d'autres logis aient pu coexister alors sur les lieux. Les La Popie se ramifiaient en effet en plusieurs fratries impliquant des divisions patrimoniales complexes. En 1337, Bertrand, Bernard et Aymeric de La Popie étaient tous seigneurs de Cénevières, de même, sans doute, que leur oncle Sicard de La Popie. Deux d'entre eux, Aymeric et Bernard obtinrent en 1341 le droit d'ériger des fourches patibulaires à Cénevières. Le second, Bernard, obtiendra quelques années plus tard l'autorisation du pape d'y construire une église paroissiale et de la démembrer de la paroisse de Saint-Martin-Labouval.
Une "roca" est peut-être à l'origine du château : J. Fourgous signalait encore en 1958 des restes de fortifications du Moyen Age associées à une grotte située sous le château actuel, établi au sommet de la falaise et dont les bâtiments les plus anciens, du 13e siècle, doivent être attribués aux La Popie. A la tour dite "des Gourdon", datable de la seconde moitié du 13e siècle, était joint un corps de logis ; les vestiges d'un second bâtiment, distant de quelques mètres, peuvent dater du 13e ou du 14e siècle.
Les bâtiments gardent des traces (un vestige de croisée, des cheminées...) de travaux survenus après la guerre de Cent ans, mais qui semblent n'avoir été que de simples aménagements, qu'il faut sans doute attribuer à Pons de Penne, alias de Gourdon, seigneur de Cénevières avec toutes justices en 1504 (L. d'Alauzier, 1984). Ce n'est qu'à partir des années 1540 (B. Tollon, 1993) que d'importantes campagnes de travaux, qu'un document de 1638 attribue à Flotard et Antoine de Gourdon, transformeront le château pour lui donner l'essentiel de sa configuration actuelle.
En 1531, Flotard de Gourdon, seigneur de Cénevières, épouse Marguerite de Cardaillac, fine lettrée et femme de grande culture ; elle est la fille de Jacques de Cardaillac, baron de Saint-Cirq, sénéchal du Quercy de 1517 à 1526. Flotard devient lieutenant de Galiot de Genouillac et participe aux batailles de Marignan et de Pavie ; il teste en 1551 (E. Albe, Monographies : Cénevières, Archives diocésaines, Cahors). Son fils Antoine lui succède en 1561. Formé à l'artillerie auprès de son père, il adopte le parti huguenot et devient l'un des meilleurs capitaines d'Henri de Navarre ; Louis XIII récompense ce fidèle serviteur de la monarchie en érigeant ses terres en marquisat en 1612. C'est lui qui fait élever le pavillon d'entrée dit "tour de garde", qui porte la date de 1585, le bastion qui protège la basse-cour et l'aile voisine, "suffisamment grande pour y loger une garnison" (B. Tollon, 1993). Dans son testament rédigé un an avant sa mort en 1616, qui reprend des dispositions de ses testaments antérieurs, Antoine de Gourdon demande que soit construit à Cénevières un temple protestant, qui a sans doute été édifié dans les années suivantes. La galerie qui longe le corps de logis principal sur la cour d'honneur, sans doute en bois à l'origine, a été refaite au 17e siècle.
Antoine de Gourdon étant mort sans postérité, Cénevières passe aux La Tour par le mariage de sa veuve avec Charles de La Tour en 1617 ; un de leurs descendants, ministre de la guerre en 1784, vend le château à un certain Naurissart, directeur de la monnaie de Limoges, en 1792 (A. de Grandsault-Lacoste, F. de Laroussilhe, 1895). Dans les années 1867-1899, le château appartient à Lesage, maire de Limoges, qui en a hérité et qui "l'entretient avec le plus grand soin et avec intelligence", ayant fait refaire "presque toutes les portes, les fenêtres, les volets, les toitures et les planchers" (A. de Roumejoux, 1867). Les propriétaires en sont en 1898-1899 l'ancien maire de Limoges C. Lesage et, semble-t-il, le vicomte H. de Combarel du Gibanel (Annuaire des châteaux...), et en 1933 les descendants de C. Lesage, les Braquilanges (Annuaire des châteaux...).
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Période(s)
- Principale : 13e siècle
- Principale : 14e siècle , (incertitude)
- Principale : 15e siècle
- Principale : 16e siècle
- Principale : 17e siècle
- Secondaire : 19e siècle
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Dates
- 1585, porte la date
Le château développe entre deux cours des logis dissymétriques datant pour l'essentiel des 16e et 17e siècles et qui ont dû tenir compte des contraintes de la topographie et de la présence de constructions antérieures.
L'entrée de la basse-cour est défendue par deux tourelles très restaurées mais dont les meurtrières proches de celles de la barbacane de Cahors accusent l'extrême fin du 16e voire le 17e siècle. La courtine au centre de laquelle elle ouvre est flanquée par un grand bastion (à droite) et, à ses extrémités, par deux tours rondes de fort diamètre. L'ancien temple protestant est adossé au revers de la courtine et un châtelet d'entrée secondaire ouvre en hauteur sur l'à-pic sur le front nord.
Entre la basse-cour et le rebord de la falaise s'interposent les logis. Ils dessinent approximativement un arc de cercle évoquant l'enceinte supérieure des anciens châteaux de falaise, comme on en voit un exemple à Rocamadour.
Le corps de garde se présente comme une épaisse tour carrée couronnée de mâchicoulis, adossée aux logis et en avancée sur la basse-cour. Un pont-levis au mécanisme atypique implique l'hypothèse que la tour était précédée d'une fosse. A gauche du pavillon d'entrée, à l'extrémité nord de l'aile principale, un autre pavillon (la tour "des Gourdon") agrémenté de lucarnes et de fenêtres Renaissance à frontons correspond à une ancienne tour médiévale reconnaissable aux vestiges de ses anciennes archères et de ses fenêtres géminées et à la qualité de ses maçonneries de moyen appareil que l'on retrouve sur le logis attenant. D'une première transformation, attribuable à la fin du 15e siècle, date la cheminée monumentale de la grande salle ainsi que quelques vestiges de croisées moulurées. Pour l'essentiel, les autres transformations de ce logis primitif sont imputables aux nombreuses campagnes de modernisation et d'agrandissement qui furent menées entre le milieu du 16e siècle et le début du 17e siècle.
Les vestiges de la construction médiévale primitive se concentrent dans la partie nord de l'édifice actuel ; ils se composent de deux ensembles disjoints : un logis rectangulaire accosté d'une tour carrée (la tour "des Gourdon") et un second bâtiment inclus dans l'actuelle aile nord-est, en rebord de falaise. Ces deux ensembles, distants de plus de 5 m et orientés différemment, sont séparés, sous le niveau actuel des terrasses, par la chapelle castrale et, au-dessus, par le grand escalier à l'italienne.
La tour carrée (8,15 m de côté) est conservée sur cinq niveaux dont deux sont enterrés actuellement sous le niveau de la cour. Elle semble avoir précédé la construction du logis, au moins en partie haute où l'accolement est visible. Le niveau inférieur correspond à un caveau voûté en berceau faiblement brisé, dont les murs particulièrement épais dépassent 2,70 m. Ce niveau enterré était aéré par une ample fente de jour, inscrite dans une embrasure à couvrement conique en arc brisé qui démontre qu'il correspondait primitivement à un rez-de-chaussée. Le second niveau, également en sous-sol aujourd'hui, est couvert en plein cintre et disposait initialement d'un accès direct depuis l'extérieur par une porte en arc brisé à arrière voussure segmentaire. Il était éclairé par une fenêtre rectangulaire largement chanfreinée, inscrite dans une embrasure à couvrement conique en arc brisé. Ce niveau correspondait donc primitivement à l'étage d'accès dont les murs étaient considérablement amincis (1 m et 1,15 m) par rapport à ceux de l'étage inférieur.£Le rez-de-chaussée actuel correspond donc au deuxième étage primitif. Les aménagements du 15e siècle, en le dotant d'une ample cheminée, l'ont transformé en cuisine mais son usage était sans doute différent initialement. Sur le panneau sud se trouve la porte d'entrée en arc brisé. Elle a été condamnée au 16e siècle et remplacée par une canonnière à double ébrasement. Sur le même panneau, la présence d'un ancien caisson de latrines est à relier à la surépaisseur du mur qui apparaît à l'extérieur. Une deuxième porte, au centre du panneau est, assurait la communication avec les salles attenantes du logis. A l'ouest, dans le panneau occupé aujourd'hui par la cheminée, ouvrait une archère cruciforme, visible à l'extérieur, mais dont la base est malheureusement masquée par un escalier moderne. Sur la face nord, enfin, la porte qui ouvre aujourd'hui sur les salles voûtées modernes qui portent la terrasse nord a été réaménagée dans une fenêtre géminée dont les dimensions indiquent qu'elle était semblable à celles des étages supérieurs. La salle est couverte par une voûte d'ogives dont la clé ornée d'un fleuron suggère qu'elle pourrait appartenir à l'état médiéval.
Le premier étage (ancien troisième étage) a été largement repris au 16e siècle. Il présente cependant des vestiges assez lisibles de ses dispositions d'origine : deux fenêtres géminées à coussièges au nord et à l'ouest, une ancienne porte d'accès et une niche de latrines au sud ; une armoire murale à l'est. La porte de communication qui relie la chambre à la grande salle est moderne de même que la mise à niveau de leurs sols. Le repérage des percements primitifs montre en effet que les deux salles n'étaient pas au même niveau et ne communiquaient pas dans leur état médiéval.£Le dernier étage présente une organisation semblable à celle du niveau inférieur. Ses fenêtres géminées apparentes sur les faces nord et ouest, en arc brisé brut, sans chanfrein, étaient soulignées par un appui en gorge et cordon d'imposte biseauté portant des anneaux de bannes dont un est partiellement conservé.
Le logis principal médiéval est accolé à la tour dont il semble néanmoins sensiblement contemporain, les murs des deux constructions ayant pu être solidaires en partie basse. Il s'agit est un bâtiment rectangulaire de 8,55 x 16,20 de deux étages, dont les murs étaient épais d'un peu plus d'1 m. Au rez-de-chaussée, l'espace disponible est recoupé en deux salles inégales par un refend. Accessible par la tour attenante, la première salle a elle-même été divisée en deux petites salles voûtées à l'époque moderne. La salle d'origine disposait d'une armoire murale en arc brisé et sur l'élévation regardant à l'est côté falaise, d'une porte en arc brisé et de deux fenêtres établies à des hauteurs différentes. Ces baies ont été remaniées ou condamnées par l'adjonction, au 17e siècle, d'une galerie à voûtes d'arêtes établie sous une terrasse. La plus haute des deux fenêtres, dotée d'un coussiège, surmontait la porte, impliquant de restituer un plancher intermédiaire. L'élévation sud de cette première salle ouvre aujourd'hui par un grand arc chanfreiné, sur une salle carrée terminée par une abside à pans coupés et voûtée d'ogives, faisant office de chapelle castrale. La voûte d'ogives, mal raccordée aux doubleaux, ne paraît pas antérieure au 15e siècle. L'abside à pans coupés ouvrait par deux fenêtres frustes, l'une sur la falaise et l'autre sur une venelle utilisée comme couloir de latrines, situation qui peut faire douter que la salle ait eu dès l'origine une vocation sacrée.
La salle principale du rez-de-chaussée correspond actuellement à une cuisine voûtée dont la cheminée actuelle, du 15e siècle, a été rapportée récemment. La mise en place tardive de sa voûte en berceau y a masqué les traces des éventuels percements médiévaux. Les dispositions de l'étage sont plus lisibles. Contrairement au rez-de-chaussée, il comporte une salle unique. Sur le pignon sud, subsistent les traces de deux fenêtres géminées à coussièges condamnées dont l'une, partiellement réouverte, montre deux formes en arc brisé surmontées par un jour d'écoinçon en losange curviligne. Deux portes sont en partie conservées sur les élévations est et ouest. Celle de l'est, fermant de l'intérieur de la salle, a été condamnée par l'escalier à l'italienne du 16e siècle ; celle de l'ouest, fermant de l'extérieur de la salle, ouvrait sur un bâtiment aujourd'hui disparu.
Deux arrachements de murs, visibles sur l'élévation sud de la tour et l'élévation ouest du logis laissent supposer qu'un bâtiment disparu, de plan approximativement carré, reliait les deux volumes. Edifié en même temps que le logis, il semble qu'il soit plus récent que la tour sur laquelle il est venu se greffer.
La superposition des portes qui faisaient communiquer le bâtiment disparu avec la tour et leur différence de niveau avec celles qui desservaient le logis, laisse penser qu'un escalier a pu y prendre place.£Un deuxième logis médiéval subsiste dans l'extrémité de l'aile est, qui se présente sur la cour comme un ouvrage homogène du 16e siècle. L'examen de la face nord-est, sur la falaise, montre en effet que la façade du 16e siècle est venue raccourcir un bâtiment initialement plus développé, comme le montre la croisée amputée de l'élévation est, côté falaise. Or cette croisée de la fin du 15e ou du début du 16e siècle résulte elle-même du percement d'une maçonnerie antérieure que son parement de moyen appareil permet d'attribuer au 13e ou au 14e siècle. Le repérage de ces maçonneries primitives permet de restituer un bâtiment de 6,85 m de largeur, dont la longueur, aujourd'hui de 7,60 m environ, atteignait initialement 8,90 m si l'on en juge par la position des deux arcs de refend qui l'articulent intérieurement. Outre ces deux arcs de refend, deux portes au moins semblent appartenir à la construction d'origine. L'une, dans l'élévation nord, ouvre sur un conduit étroit ou une venelle qui aboutit, côté falaise, à un caisson de latrines réaménagé après coup et dont subsistent les corbeaux. La seconde porte, couverte par un linteau, ouvre directement sur l'à-pic. Accompagnée de deux trous d'encastrement au niveau du sol et au niveau de son linteau, il est vraisemblable qu'elle desservait initialement un hourd.
Le bâtiment médiéval disposait d'un étage au moins, en partie conservé. La croisée à remplages chanfreinée et celle qui lui a succédé, dotée d'une canonnière en allège, doivent être attribuées respectivement au 15e et au 17e siècle. Seul vestige de l'état médiéval, deux corbeaux solidaires des parements de moyen appareil semblent confirmer l'existence contre l'élévation est de structures de charpente appliquées formant balcon sur la vallée.
Sur l'esplanade de la basse-cour est aménagé un jardin d'accompagnement.
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Murs
- calcaire moellon
- calcaire pierre de taille
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Toitsardoise, tuile plate, tuile creuse
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Étages2 étages de sous-sol, 2 étages carrés, étage de comble
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Couvrements
- voûte en berceau plein-cintre
- voûte d'ogives
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Couvertures
- toit à longs pans
- toit conique
- toit en pavillon
- croupe ronde
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour en maçonnerie
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Techniques
- peinture
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Statut de la propriétépropriété privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Protectionsclassé MH, 1957/12/09
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Précisions sur la protection
Château, avec le mur d'enceinte et l'ancien temple protestant situé à l'entrée (cad. C 1276) : classement par arrêté du 9 décembre 1957.
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Référence MH
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Bibliographie
-
Séraphin (Gilles), Donjons & châteaux du Moyen Âge dans le Lot, Portet-sur-Garonne, Editions midi-pyrénéennes, 2014.
catalogue -
Escat (Monique), Tollon (Bruno), "L'apparition de l'escalier droit dans les châteaux du Quercy", dans Cahors et le Quercy. Actes du XXXIIe congrès d'études tenu à Cahors les 17, 18 et 19 juin 1977, Fédération des Société Académiques et Savantes, Cahors, 1978.
p. 266 -
Tollon (Bruno), "Le château de Cénevières (Lot)", dans Congrès archéologique de France, 147e session, 1989, Quercy, Paris, S.F.A., 1993, p. 231-238.
-
Didon (Catherine), Châteaux, manoirs et logis. Le Lot, Chauray, Ed. Patrimoine medias, 1996.
p. 320-321 -
Rousset (Valérie), Le château (Cénevières), Conseil général du Lot, notice numérique, 2006.
Périodiques
-
Roumejoux (A. de), "Rapport sur des excursions archéologiques en Quercy", dans Bulletin monumental, 4e série, t. 3, 33e vol., 1867.
p. 506-508 -
Grandsault-Lacoste (A. de), Laroussilhe (F. de), "Inventaire du château de Cênevières, 8 mai 1775", dans Bulletin de la Société des Etudes du Lot, t. XX, 1895, p. 182-197.
-
Annuaire des châteaux et des départements..., 1898-1899, Paris, La Fare, p. 1108 ; 1933, Paris, p. 1089.
-
Fourgous (Jean), "Le château de Cénevières", dans Bulletin de la Société des Etudes du Lot, t. LXXIX, 1958, p. 141-154.
-
Alauzier (Louis d'), « Le dénombrement de 1504 en Quercy pour le ban et l'arrière-ban », dans Bulletin de la Société des Etudes du Lot, tome CV, 1984, 3e fascicule.
p. 100
Documents figurés
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Châteaux et manoirs du Lot, carte touristique, Département du Lot, 2015.