Dossier d’œuvre architecture IA34010639 | Réalisé par
  • enquête thématique régionale, patrimoine hydraulique meunier du Pays Haut Languedoc et Vignobles
ensemble meunier de la Resclauze à Gabian
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Inventaire général Région Occitanie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays Haut Languedoc et Vignobles - Cazouls-lès-Béziers
  • Hydrographies Resclauze (source de la)
  • Commune Gabian
  • Lieu-dit La resclauze
  • Dénominations
    moulin à farine
  • Destinations
    usine de soufre
  • Parties constituantes non étudiées
    bief de dérivation, bassin de retenue

La source de la Resclauze draine la partie orientale du causse dévonien de Laurens, sous lequel s’est formée une importante nappe aquifère karstique. Ses eaux ont, de manière très précoce et exceptionnellement durable, fixé les populations qui s’installent à proximité immédiate de la résurgence dès le Néolithique ancien, aux alentours de 5 400 avant notre ère. L’exutoire de Gabian est canalisé par les Romains vers la fin du Ier siècle de notre ère pour alimenter, avec deux autres sources situées sur les communes de Laurens et Magalas, la cité de Béziers.

L’aqueduc antique cesse de fonctionner au milieu du IIIe siècle de notre ère. Plusieurs siècles plus tard, au Moyen Âge, une galerie souterraine est connectée à ce qui paraît être la galerie de vidange du captage romain. Les eaux sont acheminées vers le bassin de la Resclause, réservoir de stockage destiné à alimenter une série de moulins en cascade.

Le lieu-dit des Moulins de la Resclauze, situé sur le flanc de la colline du même nom au nord-ouest du village, présente quant à lui des traces d’occupation datées des alentours du XIe siècle. En revanche, le dépouillement des sources régionales disponibles antérieures au début du XIIIe siècle et susceptibles de concerner Gabian n'a livré que très peu d'actes, à peine une douzaine, qui ont trait spécifiquement à ce village. Parmi cette maigre documentation, deux actes seulement mentionnent des moulins à Gabian et, sur les trois moulins cités, seul le moulin dit d’Ermengaud - sans plus de précisions - pourrait appartenir à l’ensemble de la Resclauze.

Au vu de l’aridité de la documentation médiévale, la datation de la fondation des moulins de la Resclauze ne peut être que le fruit de conjectures. L’hypothèse qui semble encore à ce jour la plus probable est celle d’une construction autour du XIIe siècle à l’instigation des évêques de Béziers, seigneurs du lieu et selon toute vraisemblance propriétaires des eaux de la Resclauze à l’époque féodale. L’observation des éléments architecturaux conservés, malgré les nombreux remaniements des époques moderne et contemporaine, va également dans le sens d’une datation du milieu et de la fin du Moyen Âge : la mise en œuvre soignée de certaines constructions, constituées d’un appareil en pierres de taille régulièrement assisé, relève en effet de phases anciennes.

Si les évêques de Béziers, seigneurs directs de Gabian, ont donc sans nul doute été à l’initiative de la création de ce complexe, aucune des sept usines n’est prétendue noble ou n’apparaît sous la rubrique du seigneur-évêque d’après les compoix des XVIIe et XVIIIe siècles, pas plus d’ailleurs que le bassin de la Resclauze. Quatre des moulins sont néanmoins mentionnés en 1643 sur le livre des reconnaissances (Querintin) faites à Clément de Bonzy, évêque et seigneur de Béziers et de Gabian, par les habitants du lieu, leur redevance s’élevant à trois setiers de froment. Les tenanciers inscrits aux compoix sont bourgeois, notables ou marchands, seule la famille de Madières est issue de la noblesse. Ils jouissent librement de leur bien, à condition de s’acquitter des censives dues à l’évêque, et détiennent souvent plusieurs moulins en même temps. Quelques-uns sont désignés comme exerçant la profession de meunier dans les compoix et actes notariés, fait suffisamment rare pour être souligné dans la mesure où les exploitants sont rarement propriétaires de leur usine sous l’Ancien Régime - il n’a cependant pas été possible de déterminer s’il s’agissait bien d’exploitants, ou alors d’entrepreneurs spécialisés dans le secteur de la meunerie. La communauté de Gabian se trouve également à plusieurs reprises provisoirement tenancière d’un ou de plusieurs moulins, à la suite de l’abandon du propriétaire précédent. Elle récupère alors ces biens laissés vacant pour les mettre en vente par adjudication (vente aux enchères publiques).

Les moulins de la Resclauze ne semblent plus être, au moins à partir de la seconde moitié du XVIIe siècle, que des micro unités de production présentant un investissement peu rentable. Ils connaissent toutefois un sursaut sous l’impulsion de la famille Sirgues, au milieu du XVIIIe siècle, qui rachète quatre de ces moulins en plus du moulin sur la Thongue et investit pour en moderniser les installations. Leur prospérité sera cependant de courte durée, ces derniers se dessaisissant progressivement de leurs moulins dans la première moitié du XIXe siècle. Les moulins de Gabian cessent peu à peu leur activité, dans un contexte local peu favorable à l’activité meunière. Le moulin n° 6 est transformé en bâtiment rural autour de 1720, puis les moulins n° 2 et n° 4 sont convertis en greniers à blé dès la fin du XVIIIe siècle. En 1872, le moulin n°3 cesse à son tour son activité. Les moulins n° 1, 5 et 8 sont les derniers à fonctionner. Ils diversifient leur activité grâce à la trituration du soufre, qui ne parvient toutefois pas à conjurer leur fermeture définitive suite aux travaux d’adduction d’eau de la commune en 1895, sonnant le glas de plusieurs siècles d’activité meunière à Gabian.

  • Période(s)
    • Principale : Moyen Age , (incertitude)
    • Principale : Temps modernes
    • Secondaire : 19e siècle
  • Dates
    • 1820, date portée

L’ensemble se compose d’une série de moulins étagés dont le nombre – et peut-être l’emplacement – a évolué au fil des siècles. Si l’historiographie porte généralement au nombre de cinq les usines qui s’égrènent de la source au fond de vallée, l’observation des aménagements hydrauliques permet actuellement de proposer neuf unités, dont certaines ont probablement été abandonnées dès la fin du Moyen Âge. L’analyse du compoix levé au milieu du XVIIe siècle fait quant à lui état de sept moulins en état de marche sur le site de la Resclauze. Ces moulins sont alimentés par des réseaux d’aqueducs majoritairement aériens, mais aussi souterrains.

Les eaux de la source sont canalisées, par le biais d’un aqueduc souterrain, jusqu’à un bassin de retenue de forme polygonale présentant une capacité de 2100 m3 d’eau environ. Ce volume diminue néanmoins nettement lorsque le bassin n’est pas curé régulièrement. Les caractéristiques de ce réservoir peuvent être précisément restituées grâce à plusieurs rapports d’expertise commandés dans le cadre de procès entre les meuniers de la Resclauze et la commune de Gabian vers 1900. Ainsi, à la fin du XIXe siècle, le remplissage du bassin s’effectue en 48 heures avec un débit horaire moyen de 42 mètres cubes, soit 11,67 litres par seconde. L’eau est ensuite conduite au moyen d’un bief à ciel ouvert, afin de mettre en mouvement une série de moulins étagés, tous équipés d’une cuve de mise en pression de section circulaire (tine).

Ce fonctionnement en série permet d’optimiser la ressource énergétique en concentrant plusieurs unités de production sur un seul et même site. De tels systèmes sont connus pas les sources historiques et l’archéologie dès l’Antiquité et réapparaissent dans la documentation médiévale à la fin du XIe siècle. Les moulins étagés fonctionnent généralement selon un principe simple : les eaux de fuite du premier moulin alimentent le second et ainsi de suite. Le cas gabianais présente une variante plus complexe de ce système. En effet, la proximité des unités de production et la topographie du lieu rendent impossible, du moins pour les cinq moulins d’amont, l’alimentation d’un moulin par les eaux de fuite de celui qui le précède directement. L’observation des vestiges en place semble indiquer l’existence d’au moins deux réseaux d’alimentation, l’un souterrain, canalisant les eaux de fuite s’échappant des chambres hydrauliques après avoir mis la roue en mouvement, l’autre aérien, alimenté par les déversoirs.

Chaque unité est munie d’une cuve de mise en pression appelée tine et parfois puits, dans laquelle aboutit le canal d’amenée - ces cuves sont comprises dans un massif de maçonnerie de plan carré ou polygonal. Une ouverture avec ajustage en bronze et vanne en fer - désignée sous le nom de matrice par les meuniers de Gabian - est aménagée à la sortie de chaque cuve dans la chambre hydraulique souterraine, pour régler le débit d’eau ou le fermer complètement. Chaque moulin est réglé pour consommer la même quantité d’eau, estimée à 52 litres par seconde, dans la même unité de temps. L’eau est projetée obliquement sur une roue horizontale volante en bois ou, plus tardivement, en métal (rouet ou rodet). Les meules sont montées sur un axe vertical (arbre) au droit de la roue. L’eau quitte ensuite la chambre hydraulique et s’écoule dans le canal de fuite (escampadou, fugen ou fuyant).

Les cuves se présentent sous la forme de grandes colonnes d’eau verticales maçonnées de section circulaire. Elles présentent une hauteur comprise entre 5 et 16 mètres et servent à mettre en pression le jet projeté par le canon sur les pales en forme de cuillère de la roue. Elles rattachent cet ensemble à la famille des moulins de type arubah, dont plusieurs exemples sont attestés dès l’Antiquité en Afrique du Nord et plus largement dans tout le bassin méditerranéen. Il s’agit d’un équipement particulièrement bien adapté aux environnements secs.

  • Murs
    • calcaire moellon
  • Étages
    sous-sol, 1 étage carré
  • Couvrements
    • voûte en berceau
  • Énergies
    • énergie hydraulique produite sur place roue hydraulique horizontale
  • Typologies
    moulin de source ; moulin arubah
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • ornement a chiffre, croix
  • Précision représentations

    Inscriptions et motifs gravés (moulins 1 et 5) : croix, orant, roue, chronogramme, monogramme.

  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

L’adduction par source, qui est courante durant l’Antiquité, tombe en désuétude après la chute de l’Empire romain d’Occident en même temps que sont abandonnés les aqueducs. Les moulins médiévaux sont, dès lors, préférentiellement implantés sur les rivières. L’exemple de Gabian, auquel on peut ajouter les sites voisins de Neffiès et Cabrières, fait donc figure d’exception dans le paysage hydraulique médiéval. Ce système autorise des hauteurs de chute importantes, qui permettent l’installation de plusieurs unités de production en enfilade - le site des moulins de la Resclauze à Gabian présente un dénivelé total de près de 60 mètres pour une distance de 850 mètres entre le bassin et le dernier moulin, avec une pente moyenne d’environ 10 %.

Le compoix du milieu du XVIIe siècle mentionne a minima huit moulins à blé en fonctionnement à Gabian. Ce corpus paraît considérable en regard de la densité de population de la paroisse de Gabian, qui ne compte que 105 feux à la fin du XVIIe siècle (aucune des communes alentour n’atteint un tel taux d’équipement). Ces chiffres démontrent qu’aux périodes médiévales et modernes, l’aire d’approvisionnement et de distribution des moulins de Gabian dépasse largement les limites du finage. Ces données dressent l’image d’un centre de meunerie dynamique, à mettre en relation avec la volonté des évêques de Béziers de faire de Gabian une plateforme d’échanges entre plaine et montagne, en la dotant dès le XIIe siècle d’un marché hebdomadaire.

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  • BONNAUD (S.), avec la collaboration de K. ORENGO et de S. SOTOS, Gabian (34), Chemin des Moulins, Rapport final d’opération de diagnostic archéologique, Inrap Midi-Méditerranée, 2023, en cours. (dans le cadre de la 2e tranche de construction de la ZAC des Moulins).

Documents d'archives

  • AD Hérault. Compoix du milieu du XVIIe siècle (1659-1722), 109 EDT 1.

    AD Hérault : 109EDT1
  • AD Hérault. Nouveau compoix de 1722 (1722), 109 EDT 2.

    AD Hérault : 109EDT2
  • AD Hérault. Nouveau compoix de 1765. 109 EDT 4.

    AD Hérault : 109EDT4
  • AD Hérault. Registre des délibérations du conseil municipal, procès des eaux de la Resclauze, 7 août 1898, non folioté, 109 EDT 16.

    AD Hérault : 109EDT16
  • AD Hérault. Minutes notariales de Me Joseph Baro (Pouzolles), 2 E 14/453.

    AD Hérault : 2 E 14/453
    Contrat de vente d’un moulin à blé par Jean Darnaud de St Pierre de Gabian à Guilhaume Vidal d’Alignan du Vent, 22 juillet 1694, f°64 v°.
  • AD Hérault. Minutes de Me L. D. PASTRE-VERDIER, 2 E 33/3.

    AD Hérault : 2 E 33/3
    les 2 et 24 février 1796 (13 pluviôse et 5 ventôse an IV), actes d'afferme d'un moulin à eau sis à Gabian, pour 2 ans, par Rose CASTAN, veuve de Joseph SIRGUES, à Jacques CROUZETS
  • AD Hérault. Minutes de Me J. Ph. B. TERRAL, notaire à Gabian, 2 E 33/27.

    AD Hérault : 2 E 33/27
    Actes de location de la moitié d’un moulin par Joseph Pierre Frédéric PORTAL, à Jean ALQUIER, pour 2 ans, puis 7 mois, des 02/07/1861 puis 28/06/1862, 20/07/1861 puis 07/07/1862
  • AD Hérault. Minutes notariales de Me Jean Fabre (Roujan), 2 E 88/459.

    AD Hérault : 2 E 88/459
    Contrat de mariage entre Jean-Baptiste de Trotin et Françoise de Madières, 6 octobre 1709, f°101 v° à 103 v° / Contrat de vente d’un moulin à blé par Mathieu Puech meunier de Pézènes à Pierre Paparel de Gabian, 9 février 1713, f°266 à 267
  • AD Hérault. Visite des 5 moulins de Gabian, par Joseph PUEL, juge de paix du canton de Roujan, le 13 juillet 1796 (25 messidor an IV), L 1172.

    AD Hérault : L 1172
  • AD Hérault. Désignation des moulins de Gabian, le 1er décembre 1802 (10 frimaire an XI), 3 S 1.

    AD Hérault : 3S1
  • AD Hérault. Fonds de l’Association Arts et Traditions Rurales : Les Moulins de Gabian (Hérault) - Documents pour l’étude. Introduction aux deux documents édités en annexe : Les moulins à blé et à eau de Gabian, par Pierre DAVID, du 6 mai 1987, 1 J 2010.

    AD Hérault : 1 J 2010
  • AD Hérault. Série P ; sous-série 3 P : 3 P 3537. Plan cadastral de la commune de Gabian, 1833

    AD Hérault : 3 P 3537

Bibliographie

  • ANDRIEU J.-L., Béziers, L'Aqueduc Romain, Les Belles Lettres, Paris, 1990, 149 p.

  • BAGAN G., Archéologie d’un territoire languedocien. Les Avant-Monts entre Orb et Hérault, éd. Les Arts Vailhan, 2020.

    L’aqueduc romain de Béziers, p. 163-165
  • FABRE, Albert. Histoire des communes du canton de Roujan. Mâcon : Protat Frères, 1894.

    Bibliothèque nationale de France
    p.139-170
  • CROUZAT A., Histoire de la ville de Roujan et du prieuré de Cassan, suivie d’une notice sur les diverses communes du canton, Béziers, 1859.

    p. 215-230.
  • DURAND A., « Apport des sources historiques du Moyen Age central à l'histoire des travertins du Midi de la France », J. Vaudour, dir., Les édifices travertineux et l'histoire de l'environnement dans le Midi de la France (Provence, Languedoc, Roussillon), Travaux 1988, n° XVII, U.A., n° 903-CNRS, Laboratoire de Géographie physique, université d'Aix- Marseille II.

    p. 108-115
  • VAUDOUR J., s. dir., Les édifices travertineux et l'histoire de l'environnement dans le Midi de la France (Provence, Languedoc, Roussillon), Travaux 1988, n° XVII, U.A., n° 903-CNRS, Laboratoire de Géographie physique, Université d'Aix- Marseille II.

Périodiques

  • David Pierre. "Les moulins du département de l'Hérault, inventaire communal". Cahier des Arts et Traditions rurales, supplément hors série Les moulins de l'Hérault, dossier n°8, 1987.

    CDPR Région Occitanie - site de Montpellier
  • AMBERT P. et GILLY J.-C., avec la collaboration de : BLETRY-SEBE S., BROCHIER J.-E., CORNEJO A., DAVID P., DE COOMAN M., DURAND A., DURAND V., KRESS G., KUENTZ D., MAILHÉ J.-P., RICHARD C., RICHARD J.-C. et VASSEUR F., « Le site de la source de la Resclauze à Gabian (Hérault), (hydrochimie, travertinisation holocène, archéologie et histoire) : état actuel des connaissances », dans Etudes sur l’Hérault, n.s., n° 5-6, 1989-1990, 1990.

    p. 9-26
  • ANDRIEU J.-L., ESPÉROU J.-L., MAILHÉ J.-P., « Les aqueducs romain et médiéval de Gabian », Études sur l’Hérault, 1994, n° 10.

    p. 9-17
  • DURAND G. et MAILHÉ J.-P., « Les moulins à eau et à blé de la commune de Gabian (Hérault) », Cahiers d'Arts et Traditions Rurales, Supplément hors-série, Les Moulins de l'Hérault, Dossier n° 10, 1989, p. 63-72.

  • KRESS G. et MAILHÉ J.-P., « Histoire des moulins et de la gestion des eaux de Gabian : nouveaux documents », Cahiers d'Arts et Traditions Rurales, Supplément hors-série, Les Moulins de l'Hérault, Dossier n° 11, 1990, p. 179-184.

  • KRESS G. et MAILHÉ J.-P., « Les moulins de la Resclauze à Gabian : nouveaux documents », Cahiers d'Arts et Traditions Rurales, Supplément hors-série, Les Moulins de l'Hérault, Dossier n° 12, 1992, p. 88-103.

  • ORENGO Karyn. « De l’eau au moulin : enquête sur les moulins de sources et de rivières dans le piémont biterrois », Patrimoines du Sud [En ligne], 17 | 2023, mis en ligne le 01 mars 2023, consulté le 01 septembre 2023. URL : http://journals.openedition.org/pds/11376 ; DOI : https://doi.org/10.4000/pds.11376

Annexes

  • Inventaire du fonds Sirgues conservé aux archives municipales de Gabian, publié par Jean-Pierre MAILHE et Geneviève KRESS, suivi de la transcription de plusieurs de ces pièces (K ORENGO)
Date(s) d'enquête : 2022; Date(s) de rédaction : 2024
(c) Inventaire général Région Occitanie
(c) Pays Haut Languedoc et Vignobles
(c) Pays d'art et d'histoire Haut Languedoc et Vignobles