L'emprise au sol est identique à celle du cadastre napoléonien, établi en 1817. Cependant, la nature de propriété a changé puisqu'elle est désignée comme cour sur l'ancien cadastre. La parcelle appartient à cette époque à M. Siguier, également propriétaire de la maison qui lui fait face du côté de la rue Saint-Martin (parcelle 51 du cadastre napoléonien) ; il est donc probable que ce bâtiment en était alors une partie constituante. Plusieurs sources orales indiquent que le bâtiment a servi d'écurie. Il a récemment été transformé en habitation.
Le piédroit gauche de la porte remploie des pierres taillées à large chanfrein provenant d'un ancien encadrement.