Dossier d’œuvre architecture IA32110458 | Réalisé par
  • inventaire préliminaire, diagnostic patrimonial
établissement thermal
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Inventaire général Région Occitanie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Grand Auch Coeur de Gascogne - Baïse-Armagnac
  • Commune Castéra-Verduzan
  • Lieu-dit aux Fontaines
  • Adresse 2 rue des Fontaines
  • Cadastre 1811 C 14-17  ; 2020 AX 116, 127, 495
  • Dénominations
    établissement thermal
  • Parties constituantes non étudiées
    parc

D’après la bibliographie, les sources thermales de Castéra-Verduzan seraient connues et utilisées depuis l’Antiquité. Plusieurs découvertes archéologiques anciennes datent du Haut-Empire (monnaies, autel votif au culte des eaux, tête funéraire masculine), sans qu’elles suffisent à établir qu’il y avait alors une véritable occupation. Pour le Moyen Âge, aucune référence aux eaux thermales de Castéra n’a été repérée, et au-delà, les mentions des 16e et 17e siècles n’ont pu être vérifiées. En 1585, le futur Henri IV aurait recommandé aux consuls de recevoir la troupe de M. de Paulhac au moment de la saison des eaux. Le premier traité concernant les eaux thermales de Castéra-Verduzan daterait de 1668.£La renaissance de l’exploitation des eaux intervient à partir du milieu du 18e siècle. Déjà en 1746, Dom Brugèles précise : « Il y a dans cette paroisse des eaux minérales médicinales qui sont fort fréquentées. » Cependant, il ne semble pas y avoir encore de véritable établissement et les sources ne sont pas représentées sur la carte de Cassini. D’après la bibliographie, les eaux sourdent alors au milieu de terrains marécageux, entre les méandres de l’Auloue.£Vers 1760, la source principale, sulfureuse, est captée à la demande de l’intendant d’Étigny, grâce à une aide spéciale de Louis XV de 60 000 livres. Des terrassements et des murs sont réalisés autour afin de garantir la qualité de l’eau. Les dispositions de ce premier établissement sont bien connues grâce au plan dressé vers 1806 par l’architecte Jean Ardenne, au moment où sont ajoutées deux baignoires supplémentaires. La Grande Fontaine est captée dans un réservoir surélevé autour duquel sont bâties les cabines accueillant les baignoires en pierre ou en marbre. Les cabines donnent alors directement sur l’extérieur. Il y en a quatre de chaque côté. La buvette offrant quatre robinets est installée immédiatement au sud du captage de la source. Deux chaudières implantées au nord de la source permettent de réchauffer l’eau avant qu’elle soit conduite vers les baignoires. Le bâtiment comporte un étage où sont aménagées des chambres, de part et d’autre d’un couloir central.£En 1771, le Dr Raulin, natif d’Ayguetinte et médecin particulier du roi Louis XV, rédige le premier véritable traité sur les eaux de Castéra et en reconnaît les vertus curatives. Cet ouvrage permet une publicité considérable et assure le début de la renommée de l’établissement. Il n’y a pas alors de véritable station autour, ni même de village. La même année est captée la Petite fontaine, source ferrugineuse et saline. L’exploitation est concédée à Jacques Roger de Verduzan, marquis de Miran. Dès 1780, il apporte quelques modifications au captage, sans que le détail de ces travaux ne soit connu. Pendant la Révolution, le marquis de Miran émigre, ses biens sont saisis et l’établissement thermal échoit à l’hôpital d’Auch. En 1794, François Cridel et Jérôme Descat sont les propriétaires de l’établissement, mais un procès éclate avec la commune qui conteste cette propriété. Elle revient finalement à la commune en 1805. Une première campagne de restauration de l’édifice est menée en 1810 par Jean Ardenne, architecte auscitain. Sur le plan cadastral dressé vers 1811, l’établissement est représenté avec deux petits édifices annexes, au nord, du côté de la route. La station ne compte alors qu’une quinzaine d’édifices répartis de part et d’autre de la route.£En 1817, l’hospice de Condom envisage d’acquérir l’établissement, mais c’est finalement le marquis de Pins-Monbrun qui en devient propriétaire. Il entreprend rapidement la reconstruction complète de l’édifice qui est en très mauvais état. Les plans sont dressés par Jean Poirée, inspecteur général des ponts et chaussées. Une gravure des années 1820-1825 permet de connaître la façade et les dispositions internes du rez-de-chaussée. La façade donne au nord, du côté de la route. Seul le rez-de-chaussée est aujourd’hui conservé, avec son portique porté par 4 colonnes protégeant l’entrée principale et l’emplacement des deux grottes en rocaille. Le deuxième étage occupait alors toute la largeur de la façade et était percé de cinq porte-fenêtres donnant sur une terrasse aménagée au-dessus du portique. Le toit plat ou à faible pente n’était pas visible de ce côté et la partie supérieure du mur était surmontée d’un claustra en tuile. L’établissement est toujours centré sur le captage de la source principale, dite Grande Fontaine, mais les cabines sont désormais accessibles par deux couloirs parallèles traversant le bâtiment de part en part. Il y a 16 cabines, dont 4 équipées d’une seule baignoire, les autres en comptant deux. Au centre, une autre salle accueille une piscine. Vingt-deux baignoires reçoivent l’eau de la Grande Fontaine et seulement six celle de la Petite Fontaine. La Grande Fontaine alimente aussi la buvette de la grotte de droite et la Petite Fontaine celle de gauche. Les cabines sont décrites comme voûtées, largement éclairées et aérées. Les baignoires sont placées au niveau du sol. L’escalier central conduisant à l’étage est conservé, contrairement à la plupart des cabines qui ont été remaniées. Des appartements étaient aménagés de part et d’autre des deux couloirs du premier étage, au-dessus des cabines. Certaines salles accueillaient le cabinet de consultation du médecin et le bureau du directeur. Au dernier étage se trouvaient de vastes salles communes accueillant salons et salles de billard, dont celle donnant sur la terrasse. En 1830, le système de calorification est jugé ingénieux. Des tuyaux contenant l’eau thermale passent au-dessus et en-dessous d’une chaudière bouillante. Chaque baignoire dispose ensuite d’un robinet d’eau tiède et d’un d’eau bouillante, permettant le réglage de la température. Il est par ailleurs précisé qu’on trouve toutes les classes de la société. Deux baignoires sont notamment réservées pour l’usage des personnes pauvres, gratuitement.£En 1827, le marquis de Pins indemnise Jérôme Descat pour qu’il abandonne l’exploitation de la source sulfureuse qu’il possédait sur son terrain près de l’actuelle place de l’Ancien foirail. Il n’y a plus alors qu’un seul établissement thermal dans le bourg de Castéra-Verduzan.£Une gravure publiée en 1841 montre que des travaux ont été réalisés depuis les années 1820. L’étage de la façade nord est ainsi très différent de la représentation précédente et conforme à ce qui est toujours visible aujourd’hui. Le deuxième étage est moins large que les niveaux inférieurs et la façade nord compte trois porte-fenêtres surmontées d’un fronton. Il y avait alors aussi un château d’eau pour la source ferrugineuse, implanté dans l’angle sud-est du terrain bordant l’établissement au sud. Il est connu par des cartes postales anciennes. Il servait peut-être aussi de buvette. De plan circulaire il semble qu’il comprenait un rez-de-chaussée dans lequel on pouvait entrer et une réserve d’eau au-dessus. Une autorisation ministérielle est accordée en 1844 pour l’exploitation de deux autres sources, ferrugineuses cette-fois, dénommées inférieure et supérieure.£Vers 1850, l’ingénieur des mines Jules François et l’architecte Edmond Chambert dressent des plans pour améliorer l’établissement et y installer des douches. Les travaux sont réalisés sous la direction de Léopold Gentil, architecte du département du Gers, vers 1853-1854. C’est aussi à cette période qu’est installée une nouvelle chaudière à vapeur, au sud de l’établissement, vers le château d’eau. Les années 1850-1870 sont une période faste pour les thermes de Castéra-Verduzan. Leur fréquentation dépasse régulièrement le millier, avec 700 à 1200 curistes par an. Les Guides Joanne, font état de nombreuses commodités dans la station. Des travaux semblent être réalisés entre 1860 et 1872, puisqu’il est d’abord question de 30 baignoires, avant que ce chiffre monte à 54 dans le guide paru à la seconde date. Il y a alors trois appareils de douche.£En 1880, Pauline de Pins-Monbrun vend l’établissement thermal au Dr Charles Matet. Il commence à péricliter, en raison de l’absence de modernisation des équipements et du fait des conflits qui opposent le nouveau propriétaire au maire, le professeur Odilon Lannelongue. Ce dernier fait racheter les thermes par une société nouvellement créée, la Société des eaux minéro-thermales de Castéra, en 1905. La Société prévoit le développement de la station avec la construction d’hôtels, chalets, casinos et commerces. Odilon Lannelongue œuvre aussi au raccordement de la station à différentes lignes de chemin de fer, Castéra se trouvant au point de jonction de celles menant à Auch (ouverture en 1909), Condom et Vic (ouverture après-guerre). Enfin, Odilon Lannelongue ouvre un musée national dans une extension de sa maison en 1911. C’est probablement aussi à cette période qu’est édifié le pavillon des douches, connu seulement par quelques cartes postales anciennes. Il était implanté au sud de l’établissement thermal auquel il faisait face.£Au cours de la Première guerre mondiale, l’établissement devient un hôpital militaire. Il accueille des blessés au repos jusqu’à la fin de l’année 1916. L’activité diminue fortement au lendemain de la guerre. Les sociétés et les particuliers se succèdent à la tête de l’établissement sans parvenir à faire revenir les curistes. La commune rachète finalement l’établissement et les sources en 1951. L’autorisation d’exploiter les sources ferrugineuses est retirée en 1954 sans que l’on sache si elles ont réellement été exploitées. Dans les années 1950, les captages des sources Grande et Petite Fontaine sont améliorés et la nouvelle autorisation d’exploiter est accordée aux deux sources en 1962.£Au début des années 1970, la diminution progressive du débit des eaux entraîne la réalisation de quatre forages de recherche d’eau thermale. Seul le premier est équipé pour l’exploitation thermale. Le dernier se trouve près de la fontaine du Coulom et complète l’alimentation en eau potable de la commune. Les inondations de 1977 causent des dégâts sur les installations, mais elles rouvrent dès l’année suivante. L’établissement ferme en 1997. Dans les années 1999-2000, un bail emphytéotique concède l’exploitation au Département, la commune conservant la propriété des sources et des murs. L’édifice est agrandi et modernisé. Un espace thermo-ludique et de nouveaux appartements sont aménagés dans l’extension, au sud. La partie ouest du premier étage n’est pas rénovée lors de cette campagne de travaux et elle est aujourd’hui désaffectée. Le pavillon des douches et le château d’eau ont été démolis à une date inconnue au cours de la seconde moitié du 20e siècle.

L’établissement thermal se trouve au cœur du bourg de Castéra-Verduzan. Il est alimenté par un forage et deux sources. Les autres sources et forages ne sont pas exploités. La source Grande Fontaine est de type sulfatée calcique et magnésienne. Elle est utilisée en boisson, bains, douches, massages et vapeurs. Elle émerge à 22,4 °C. La source Petite Fontaine est de même type et est utilisée en boisson et pulvérisations buccales. Sa température est légèrement inférieure, à 22,2 °C. Le forage offre le même type d’eau, utilisée en mélange avec la source Grande Fontaine et émergeant à 18,5 °C.£L’établissement est entouré d’un parc aménagé, bordé au nord par la route nationale, à l’ouest et au sud par le canal de l’Auloue, et à l’est par une petite rue. La route et la rue sont surélevées par rapport au niveau de circulation du parc. L’édifice comprend une partie ancienne rectangulaire d’environ 40 m de long pour 20 m de large et une extension récente de plan semi-circulaire d’environ 20 m de long, dans le prolongement de la partie ancienne, au sud. L’ensemble comprend un rez-de-chaussée et deux étages, l’étage supérieur de la partie ancienne étant plus étroit que les étages inférieurs.£La partie ancienne est tournée vers le nord, vers la route et le bourg de Castéra-Verduzan. La façade nord est entièrement bâtie en pierre de taille. Elle est précédée d’un vaste portique montant devant le rez-de-chaussée et le premier étage. Les cinq arcades du portique sont soutenues par quatre colonnes doriques tronconiques, sans base, et par deux puissants piliers aux extrémités soutenant les arcades latérales. Sous le portique, la façade est percée de trois porte-fenêtres au rez-de-chaussée et de trois petites fenêtres au-dessus, juste sous la voûte du portique. De part et d’autre prennent place deux grandes niches abritant les grottes en rocaille où sont aménagées les fontaines. Ces niches sont fermées par des grilles en fer forgé. Au-dessus du portique est aménagée une terrasse protégée par des rambardes métalliques soutenues par des plots maçonnés. On y accède par les trois porte-fenêtres du deuxième étage. Contrairement à celles du rez-de-chaussée qui sont couvertes de plates-bandes, celles-ci sont couvertes en plein-cintre. La façade est surmontée d’un fronton percé d’un oculus rond. Sous le fronton est peinte une bande d’enduit blanc sur lequel est inscrit en rouge brique « ETABLISSEMENT MINERO-THERMAL ». Des ailerons maçonnés bordent le second étage et assurent la jonction entre celui-ci et l’étage inférieur qui est plus large, tout en cachant l’extrémité des toits en appentis couvrant le premier étage de part et d’autre du second étage. On retrouve les mêmes dispositions sur l’élévation sud bien que celle-ci soit maintenant en partie cachée par l’extension contemporaine.£Les élévations latérales de la partie ancienne de l’édifice sont identiques. Elles comprennent neuf travées, percées de fenêtres couvertes en plein-cintre au rez-de-chaussée et de fenêtres couvertes de plates-bandes à l’étage. Le second étage est très différent des étages inférieurs. Les baies y sont plus larges et basses, et ne sont pas dotées d’encadrements en pierre de taille comme les autres. Elles témoignent probablement de remaniements récents importants. Hormis les encadrements des baies et les chaînes d’angle qui sont en pierre de taille apparente, les maçonneries sont en moellon et couvertes d’enduit. L’avant-toit des élévations latérales est fermé par une génoise à deux rangs, au niveau du premier étage. Les toits latéraux, en appentis, et le toit principal, à deux pans, sont couverts de tuiles creuses mécaniques.£La partie récente présente un plan semi-circulaire dans la partie sud et est raccordée à la partie ancienne par un corps de bâtiment droit, légèrement plus étroit que la partie ancienne. Les volumes sont relativement complexes. L’entrée principale s’effectue par une passerelle permettant d’accéder directement au premier étage du corps de bâtiment intermédiaire. L’élévation de la partie semi-circulaire est constituée d’un portique au rez-de-chaussée et de loggias aux étages supérieurs. Le toit est en tuile creuse mécanique sur l’extérieur de la partie semi-circulaire et composé d’une verrière au centre, au-dessus de la piscine. L’ensemble est bâti en béton armé couvert d’un enduit saumon pour la partie intermédiaire et blanc pour le reste.£L’intérieur de la partie ancienne a été remanié au gré des différentes modernisations, mais il s’organise toujours selon le plan du début du 19e siècle. Le hall d’entrée se trouvait au nord, en arrière des trois porte-fenêtres ouvrant sous le portique. Il donne accès à deux couloirs parallèles qui traversent l’édifice de part en part, et à une cage d’escalier monumentale au centre. L’escalier tournant à retours en pierre de taille est particulièrement bien conservé, ainsi que la rampe en fer forgé et bois. Il dessert les deux étages du côté nord. Les couloirs du rez-de-chaussée et du premier étage donnent accès aux cabines de soins. Au rez-de-chaussée, l’accès aux cabines se fait par des portes inscrites sous des arcs en plein-cintre, contrairement au premier étage où il s’agit de linteaux droits. Les couloirs de l’étage sont voûtés en berceaux. C’est probablement aussi le cas de ceux du rez-de-chaussée mais ils ont été dotés de faux-plafonds. Au premier étage, seul le couloir oriental et les cabines qui le bordent sont encore en usage. Le couloir occidental est aujourd’hui désaffecté. Il conserve ainsi certains des matériaux d’origine en place (portes et placards en bois, sols en tomette de terre cuite et en terrazzo). Les cabines y sont voûtées en berceau et ces voûtes sont bâties en brique. Le deuxième étage est occupé par une salle de sport au nord, donnant sur la terrasse, et par des locaux administratifs.£L’accès à la partie récente s’effectue par un vaste hall où est aménagée une fontaine permettant le remplissage de gobelets ou de bouteilles par quatre robinets. Un escalier permet d’accéder à une galerie desservant les bureaux du deuxième étage. Un autre escalier descend vers le rez-de-chaussée où se trouvent les vestiaires et l’accès à l’espace thermo-ludique et aux espaces de soin. Il est en outre possible d’accéder directement à la partie ancienne où se déroulent les soins et à la partie récente accueillant des logements pour les curistes. Ceux-ci s’organisent de la même manière au premier et au deuxième étage. On y accède par un couloir semi-circulaire aménagé autour de l’espace dédié à la piscine. Ils donnent tous directement sur les loggias extérieures. La piscine se trouve au rez-de-chaussée de la partie récente, ainsi qu’un hammam et un sauna. De plan semi-circulaire, elle est dotée de plusieurs espaces à jets différents, dont un jacuzzi. Un espace de détente est aménagé entre la piscine et la baie vitrée sud donnant sur le portique et le parc.£Le parc est constitué d’un jardin aménagé au nord, entre la façade principale et la route, et de simples espaces verts sur les côtés et à l’arrière. Le jardin est composé d’un parterre de roses au centre, de gazon autour et de quelques arbres remarquables (cèdre et magnolia notamment). L’espace situé au sud est bordé de sapins, de cyprès et de quelques massifs d’arbustes.

  • Murs
    • calcaire
    • enduit
    • moellon
    • pierre de taille
    • béton armé
  • Toits
    tuile creuse mécanique, verre en couverture
  • Étages
    rez-de-chaussée, 2 étages carrés
  • Couvrements
    • voûte en berceau plein-cintre
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit à un pan
    • croupe ronde
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours en maçonnerie
  • Jardins
    massif de fleurs, pelouse, arbre isolé, groupe d'arbres

Présentation succincte

  • NOTSUC Etablissement thermal remontant en grande partie à la première moitié du 19e siècle, agrandi au début du 21e siècle.

Champs annexes au dossier - Architecture

  • NOTB_G AGRAS, Francis, Castéra-Verduzan, Gers, Artip, Auch, 2013.£BAZIN, Jean Marie Paulin, Observations sur les eaux minérales sulfureuses et ferrugineuses de Castéra-Verduzan (Gers), 1841.£BORDES, Maurice, « Contribution à l’étude du thermalisme au XVIIIe siècle », BSAG, 1956, p. 235-249.£BRUGÈLES, Dom Louis-Clément de, Chroniques ecclésiastiques du diocèse d’Auch suivies de celles des comtes du même diocèse, Jean-François Robert, Toulouse, 1746, p. 429, 493 et 494.£CAPURON, Joseph et BAZIN, Jean, Notice sur les eaux minérales de Castéra-Verduzan, département du Gers, Delaunay, Paris, 1830.£COURTÈS, Georges, « Le XIXe siècle âge d’or du thermalisme gersois ? », BSAG, 1992, p. 509-544 et 1993, p. 83-95.£GRENIER, Lise (dir.), Villes d’eaux en France, exposition, Paris, ENSBA, 1985, Institut Français d’Architecture, 1984, p. 300-301.£JARRASSÉ, Dominique, L’architecture thermale en France entre 1800 et 1850, thèse de doctorat sous la direction de M. Dorival et de Bruno Foucart, Université Paris IV-Sorbonne, 1987.£JARRASSÉ, Dominique, Les thermes romantiques, Bains et villégiatures en France de 1800 à 1850, Institut d’études du Massif Central, Clermont-Ferrand, 1992, p. 218-219.£LAFFARGUE, Claude, DUTAUT-BOUÉ, Jean-Jacques et KNEPPER, Françoise, « Castéra-Verduzan», in COURTÈS, Georges (dir.), Communes du département du Gers, Tome 2 : l'arrondissement de Condom, SAHG, Auch, 2004, p. 440-441.£LAPART, Jacques et PETIT, Catherine (dir.), Carte archéologique de la Gaule, Le Gers, Académie des Inscriptions et Belles lettres, Ministère de la Culture, Paris, 1993, p. 313-314.£LAUDET, J., « À propos du thermalisme dans le Gers », BSAG, 1967, p. 146-149.£LE PILEUR, Auguste, Les bains d'Europe : guide descriptif et médical des eaux d'Allemagne, d'Angleterre, de Belgique, d'Espagne, de France, d'Italie et de Suisse, Joanne, 1860, p. 269-270.£NARTET, M., Département du Gers, stations thermales et sources thermo-minérales, BRGM, Toulouse, 1988.
  • NOTB_S AD Gers, DAR Valence/5, Castéra-Verduzan, Dossier archéologique Polge, notes et documents divers, milieu 20e siècle ; Gravure anonyme, s.d. (vers 1820-1825) ; Gravure publiée par James Constantin (Guide aux eaux minérales) au milieu du XIXe siècle ; Brochure touristique, s.d. ; Plan de l’établissement thermal, s.d. ; Projet d’aménagement et de développement de l’établissement thermal, 1973.£AD Gers, 5 M 37, Plan de l’établissement thermal, dressé par Ardenne, architecte, 1806 ; Autorisation préfectorale de travaux et d’ajout de deux baignoires, 1806 ; Devis concernant diverses réparations à l’établissement thermal, 1813 ; Projet d’achat de l’établissement thermal par l’hospice de Condom, 1817.£AD Gers, 5 M 38, Analyse des eaux appartenant au sieur Dignac, 1821.£AD Gers, 5 M 72, Installation d’une nouvelle chaudière à vapeur, 1853.£AD Gers, 3 P CASTÉRA-VERDUZAN/8, Plan cadastral dit napoléonien, 1811-1812.£AD Haute-Garonne, 26 FI 32 68, Fonds Labouche, « Le Gers. 265. Castéra-Verduzan : la poste et l’entrée de l’établissement », 1905-1920.£AD Haute-Garonne, 26 FI 32 70, Fonds Labouche, « Le Gers. 267. Castéra-Verduzan : entrée de l’établissement thermal », 1918-1927.£AD Haute-Garonne, 26 FI 32 71, Fonds Labouche, « Le Gers. 268. Castéra-Verduzan : la source thermale », 1905-1925.£AD Haute-Garonne, 26 FI 32 73, Fonds Labouche, « Le Gers. 269. Castéra-Verduzan : l’établissement thermal », 1918-1927.
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  • Statut de la propriété
    propriété publique
Date(s) d'enquête : 2020; Date(s) de rédaction : 2020
(c) Communauté d'agglomération Grand Auch Coeur de Gascogne
(c) Inventaire général Région Occitanie