fermes de la commune de Lavardens - Inventaire Général du Patrimoine Culturel

Dossier collectif IA32110417 | Réalisé par

Comet Anaïs

inventaire préliminaire, diagnostic patrimonial

fermes de la commune de Lavardens

France > Occitanie > Gers > Lavardens

Auteur

Comet Anaïs

Comet Anaïs
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Dossier non géolocalisé

Désignation
Historique
Description
Données complémentaires
Illustrations

Désignation

Dénominations

ferme

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Aires d'études

Grand Auch Coeur de Gascogne

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Adresse
- Commune : Lavardens
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Historique

Au 18e siècle, une cinquantaine de maisons isolées sont représentées sur la carte de Cassini et une quarantaine de hameaux sans église. Il faut y ajouter cinq gentilhommières, toutes implantées autour du village. Une tuilerie est par ailleurs représentée au sud de la commune et un hameau au nord porte le nom de La Tuilerie.£Le nombre de toponymes est relativement semblable sur le plan cadastral de 1827. Les deux toponymes de tuileries mentionnés sur Cassini subsistent, ainsi quun autre à lest de la commune, vers Mérens. La plupart des toponymes du cadastre du début du 19e siècle sont encore mentionnés sur la carte IGN et/ou le cadastre actuel, même si pour certains les édifices qui sy trouvaient ont disparu. Quelques glissements de toponymes dun site à un autre à proximité sont à noter. Aucun vestige de fours ou autres bâtiments industriels na été identifié aux lieux-dits faisant référence à des tuileries.£Comme dans la plupart des communes voisines, les fermes paraissent avoir été en partie reconstruites ou remaniées au cours du 19e siècle, mais il existe très certainement un grand nombre dédifices ou déléments antérieurs à recenser. Parmi ceux repérés quelques-uns pourraient remonter à la fin du Moyen Âge (Lasserre, non observé, photographie ancienne) ou au début des Temps modernes (Le Grand Cardenau). Dautres, notamment certaines des gentilhommières figurées sur la carte de Cassini, pourraient remonter au 18e siècle (chartreuse de la Hune, anciennement Courtade, le Parrat, Arrouy).£Dans le cadre de linventaire préliminaire, les fermes et autres édifices ruraux de la commune de Lavardens nont été observés que depuis la voie publique. Les dates portées, si elles existent, nont donc pas pu être relevées.

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Période(s)
- Principale : Fin du Moyen Age
- Principale : Temps modernes
- Principale : 19e siècle

Description

Les fermes de la commune de Lavardens sont implantées indifféremment dans les vallées, à flanc ou en sommet de coteau. Tous les types dimplantation coexistent. Elles sont isolées, ou regroupées dans des hameaux, comme à Lart ou à Lamanestre par exemple.£Il s'agit le plus souvent d'ensembles assez vastes comportant plusieurs bâtiments. Quelques fermes plus modestes sont à signaler, comme dans la vallée de la Guzerde par exemple, entre Encraman et Lamanestre. Dans la plupart des cas, le corps de logis est indépendant et entouré de bâtiments spécifiquement dédiés aux activités agricoles. Les dépendances agricoles peuvent être de vastes granges, des étables, ou encore des bâtiments abritant plusieurs types de dépendances (pigeonnier, clapiers, poulailler, remise, etc.). Des pigeonniers-tours ont été repérés. Ils peuvent être intégrés à un bâtiment plus vaste abritant dautres dépendances, comme à En Guillart, ou isolés, comme à La Hune.£Les logis indépendants paraissent être de deux types principaux. Les plus nombreux comportent un étage et présentent des façades ordonnancées, généralement à trois travées. Les autres peuvent en partie sapparenter à des chartreuses, avec des plans allongés, en rez-de-chaussée ou en rez-de-chaussée surélevé, comme à La Hune ou à En Parrat par exemple.£Les édifices sont majoritairement bâtis en moellon de calcaire. Les élévations sont généralement enduites, la partie supérieure étant soulignée par un bandeau denduit plus clair. Les toits à longs pans et croupes sont couverts de tuiles creuses. Les toits en pavillon des pigeonniers sont couverts de tuiles plates. Les avant-toits sont le plus souvent fermés par des génoises à deux rangs.£Les logis et les autres bâtiments agricoles ne comprennent jamais plus d'un étage au-dessus du rez-de-chaussée, quelques fois des combles à surcroît. Les éléments de décor sont quasiment inexistants. Certaines fermes ou demeures sont entourées de parcs aménagés ou dallées darbres, comme au Bousquet par exemple.

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Toits

tuile creuse, tuile plate
Murs
- calcaire
- enduit
Décompte des œuvres
- repérées 90
- étudiée 1

Données complémentaires

Présentation succincte

NOTSUC Quelques fermes et demeures antérieures au 19e siècle parmi un corpus de vastes ensembles de polyculture remaniés au cours de la seconde moitié du 19e siècle.

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