Dossier d’œuvre architecture IA32110058 | Réalisé par
  • inventaire topographique
bastide
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Communauté d'agglomération du Grand Auch
  • (c) Inventaire général Région Occitanie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Grand Auch Coeur de Gascogne
  • Commune Pavie

La bastide de Pavie fut fondée en 1281 par Hugues de Cadenx, abbé de Berdoues, et Bernard IV, comte d'Astarac (autorité seigneuriale), avec l'appui d'Eustache de Beaumarché, Sénéchal du Roi de France. Cette fondation, réalisée sur le territoire de la grange d'Esparsac, constituée par l'abbaye de Berdoues entre le milieu du 12e siècle et le milieu du 13e siècle, reçut l'approbation du Roi de France Philippe le Hardi en 1285.£Des coutumes sont accordées entre 1281 et 1288 (d'après J. de Mastron, 1917), parmi lesquelles la création d'une taxe royale sur les maisons, d'un marché hebdomadaire et de deux foires annuelles. Un terrain est également réservé pour l'édification d'une nouvelle église ""spacieuse et belle"" et d'un cimetière.£La présence d'une communauté à Pavie est attestée en 1291 (procès entre Auch et Pavie ; d'après Gourvennec, 2014), ce qui semble indiquer la réussite du projet.£Deux édifices religieux sont rapidement édifiés au début du 14e siècle : l'église paroissiale (voir notice n° IA32110059) et le couvent des Carmes. Ce dernier, fondé en 1308, est construit sur un terrain offert par le comte d'Astarac, probablement à l'emplacement d'une demeure existante (en partie conservée, voir notice n° IA32110063).£Aucun document connu n'atteste l'existence de fortifications dès l'origine de la bastide. Il semble plus probable que l'enceinte (composée d'un mur, de portes et d'un fossé) ait été édifiée au milieu du 14e siècle, au début de la Guerre de Cent ans, comme c'est le cas à Cologne dans le Gers. Son tracé parfaitement visible au nord du village, qui vient recouper les îlots réguliers, semble confirmer cette hypothèse.£Durant l'été 1426, une bande de routiers, menée par André de Ribes, prend possession de la bastide. Il faut attendre 1444 pour que la ville soit libérée par le gouverneur du roi, sur ordre de Charles VII. L'enceinte est alors démantelée à cette date et sans doute reconstruite par la suite. Elle fait l'objet de réparation en 1605, date à laquelle plusieurs guérites sont édifiées (une seule est conservée au nord de l'ancien couvent des Carmes).£Les murs de la ville sont toujours mentionnés à plusieurs reprises en 1773 dans le livre terrier de Pavie. Trois portes sont également signalées. Celle d'en Marrast au nord est encore attestée en 1774 par un acte de vente d'une maison, dite de Courrèges, située au nord de la place (il s'agit peut-être de l'actuelle maison située n° 5 rue de la Guérite). A l'est se trouve la porte dite de Debat, dans l'axe du pont. Au sud, en direction de Seissan, se trouve la porte de Dessus. L'existence d'une quatrième porte, située dans l'axe de la porte de Debat (à l'ouest), est probable sans être toutefois attestée par les sources.£Les portes de l'enceinte sont démolies entre 1777 et 1782, en raison de leur étroitesse et de la gêne occasionnée pour la circulation des voitures (Gourvennec, 2014). Le percement de la rue d'Etigny au cours de la seconde moitié du 18e siècle, qui relègue l'axe principal nord-sud de la bastide au second plan, n'y est sans doute pas non plus étranger. La porte de Dessus est démolie en 1777 et les matériaux de démolition servent à la réparation du pont sur le Gers. Celle d'En Marrast est vendue aux enchères vers 1781 et les recettes servent à l'arpentage, à la reconstruction de la halle, à la construction de la boucherie et à la réparation du pont.£Si les murs et fossés de la ville existent toujours en 1786 (d'après le livre terrier de Pavie), ils sont donc peu à peu vendus par la Ville. Des vestiges subsistent encore durant la seconde moitié du 19e siècle. Ainsi, en 1864, le maire Ransan (ainé) est autorisé à aliéner une parcelle de 244 m² (non cadastrée) située au nord de l'ancien couvent des Carmes, à l'ouest de la route d'Auch à la Montagne (actuelle rue d'Etigny), qui comporte le mur de la ville d'une épaisseur 1 mètre sur 32 mètres de long. Ce terrain s'étend jusqu'à l'actuel passage menant à l'ancien couvent des Carmes. De même, le 16 août 1885 est autorisée la vente du mur, longeant le jardin de Jacques Dubord situé à l'emplacement du fossé du village (parcelle 1810 D 210). La délibération du conseil municipal vaut alors pour les prochaines demandes d'achat.£Aujourd'hui, si le tracé de l'enceinte et l'emplacement des fossés sont toujours visibles sur le plan parcellaire, peu de vestiges bâtis semblent conservés. Une maison située rue de Marrast conserve néanmoins une partie du mur d'enceinte construit en pierre de taille (voir notice n° IA32110086).£Par ailleurs, l'existence d'une halle à Pavie n'est attestée qu'à partir du 17e siècle mais son existence est vraisemblablement antérieure. Elle fait l'objet de réparations en 1640 avant d'être reconstruite à l'identique en 1645 par Pierre Arrouil, charpentier à Pavie, et Dominique Lozes. Elle accueille alors une boucherie à l'étage. En 1786, elle appartient toujours à la communauté. Ses dimensions nous sont connues par un plan de la traverse de Pavie (rue d'Etigny) datant de 1863 : de plan carré d'environ 20 mètres de côté, elle est soutenue par des poteaux (ou les socles portant les poteaux ou colonnes) de 65 cm de largeur. La halle est détruite en 1890.£L'existence de couverts à Pavie, signalant la présence de boutiques, notamment autour de la place de la halle, est attestée pour une maison initialement située au nord de la place (elle a été détruite et remplacée par une nouvelle maison à la fin du 19e siècle, au n° 5 rue de la Guérite). Le devis de réparation de la maison, établi le 4 septembre 1775 par François Despax, charpentier à Pavie, et Jean de Frances, maçon à Pavie, mentionne en effet l'existence de ce couvert et les travaux nécessaires à sa réparation : ""Plus nous serions arivé au couver que nous avons examiné partous avec attansion aurions reconnu que le dit couver était dans le plus mauvais état et sujet à de grandes réparations"". Ce couvert a déjà disparu lors de l'établissement du plan cadastral de 1810.£La destruction de la ville en 1444 explique sans doute que peu de vestiges médiévaux soient conservés dans le village. Les quelques maisons en pan de bois datent de la seconde moitié du 15e siècle ou du début du 16e siècle, ou peuvent être plus tardives.£De nombreuses transformations de l'espace public sont intervenues dans le village au cours du 19e siècle. Le 25 octobre 1855, le conseil décide d'acquérir un nouveau terrain pour transférer le cimetière communal, en application de l'ordonnance du 6 décembre 1843 (qui étend l'obligation de déplacer les cimetières loin des habitations aux villages donc à toutes les communes). L'achat du terrain où se situe le cimetière actuel est effectué en 1864 et les travaux d'aménagement avec clôture sont achevés en 1866.£La mairie actuelle est construite entre 1890 et 1892 à l'emplacement de la halle, en bordure d'un bâtiment abritant une école (à l'est). La place, sur laquelle sera construite la salle des fêtes en 1950-1951, est réaménagée dans le même temps et plantée d'arbres.£Des trottoirs sont construits rue d'Etigny à partir de 1895. L'éclairage des rues du village au gaz acétylène (système Delta) est assuré à partir du 23 février 1912 (deux réverbères éclairent la place de la mairie).£Suite à la loi du 2 août 1923, permettant aux communes rurales de bénéficier d'avances de l'Etat pour la distribution de l'énergie électrique dans les campagnes, le projet d'électrification de la commune de Pavie est étudié et approuvé par le conseil municipal le 4 mai 1926.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 13e siècle
    • Principale : 14e siècle
    • Principale : 15e siècle
    • Principale : 16e siècle
    • Principale : 17e siècle
    • Principale : 18e siècle
    • Principale : 19e siècle
    • Principale : 20e siècle

La bastide de Pavie est implantée sur la rive gauche du Gers. Elle est reliée à la rive droite par un pont construit à la fin du 13e siècle ou au début du 14e siècle. La bastide présente un plan orthonormé. Le tracé des rues délimite des îlots d'environ 52 mètres de côté (5 îlots de cette forme sont conservés), semblables à ceux de la bastide de Mirande. Elle comprend deux places, séparées par un îlot. Le réseau viaire était dès l'origine hiérarchisé et aujourd'hui en partie préservé. La présence de vestiges médiévaux, en façade sur rue, atteste la largeur des rues. La bastide comprenait initialement deux rues principales : les actuelles rues du Vieux-Pont, dans l'axe du pont, et de Marrast, toutes deux de 8 mètres de largeur. C'est au croisement de ces deux voies que fut réservée une place, sur laquelle est venue prendre place dans un second temps la halle.£Les rues secondaires avaient en revanche 6 mètres de largeur, tel que l'on peut encore l'observer rue des Miguelets. Il ne reste pas de trace d'un éventuel troisième niveau de voies, les venelles séparatives ou les ruelles prévues pour la circulation piétonne et l'écoulement des eaux usées, observées par exemple à Mirande.£Hormis les édifices religieux, la chapelle de l'ancien couvent des Carmes et l'église paroissiale, la bastide compte aujourd'hui très peu d'édifices médiévaux. Ces derniers sont de faible hauteur et ne présentent qu'un seul étage. Les vestiges antérieurs au milieu du 15e siècle (destruction du village) sont rares, seules certaines baies ou parties de baies en arc brisé (rue du Vieux-Pont, rue du Sang, rue des Carmes), quelques pans de murs (n° 56 rue d'Etigny, n° 5 rue de Marrast) et quelques têtes de mur (n° 12-16 rue du Sang, n° 3 rue du Vieux-Pont) peuvent être datés de la fin du 13e siècle ou du début du 14e siècle. Les témoignages médiévaux postérieurs à la Guerre de Cent Ans sont en revanche plus nombreux. Plusieurs maisons en pan de bois peuvent être datées de la fin du 15e siècle ou du début du 16e siècle (en particulier les maisons n° 16 rue du Sang et n° 7 rue de la Guérite). On trouve toutefois des maisons en pan de bois plus tardives, par exemple au n° 2 bis-4 rue des Miguelets (16e - 17e siècle) ou au n° 44 rue d'Etigny (18e siècle, avec état antérieur pouvant dater du 16e siècle).£De nombreuses constructions ou reconstructions interviennent au cours du 19e siècle, principalement à partir du milieu du 19e siècle. Les édifices, d'un étage carré, sont généralement construits en moellons de calcaire. Certains, principalement regroupés rue d'Etigny et en bordure de la place de la halle (puis de la mairie), témoignent des activités commerciales ou artisanales (présence d'une arcade en rez-de-chaussée de maisons étroites), que rappellent encore les cartes postales du début du 20e siècle. D'après Pierre Saüm, existaient à Pavie à la fin du 19e siècle : cinq à six maçons, autant de charpentiers, deux menuisiers, deux cordonniers, deux forgerons, deux maréchaux-ferrants, deux carriers, un tailleur de pierre, un charron, un tisserand, un coiffeur, trois épiciers, deux bouchers, trois boulangers, un bureau de tabac, deux cafés, dont celui de Despax (à l'emplacement de l'actuel café face à la mairie).£Les nombreux espaces libres existants dans la bastide ont par ailleurs favorisé, très probablement dès le 18e siècle, l'implantation de petites exploitations agricoles, qui ont perduré jusqu'au milieu du 20e siècle. Des petites fermes, abritant le logement et les parties agricoles sous un même toit, sont ainsi construites durant la seconde moitié du 19e siècle, sans doute dès le Second Empire. D'autres bâtiments existants sont en revanche adaptés à leurs nouvelles fonctions, nécessitant parfois des regroupements de parcelles, comme on peut l'observer rue du Vieux-Pont. Différentes dépendances agricoles ont par ailleurs été observées (grange, grenier à grain, étables, écuries).£La production maraîchère se développe également dès le 18e siècle et progresse tout au long du 19e siècle, faisant du village de Pavie l'un des plus gros producteurs de plans et de légumes de la Région. Les jardins, clôturés de hauts murs de moellons, étaient irrigués à l'aide des puits, dont on observe encore de nombreux exemples. L'eau était puisée au moyen de balanciers installés près de ces puits, dénommés localement ""chadoufs"" ou ""canleouos"". La plus ancienne mention de ces ""chadoufs"" remonte à 1775 dans le devis de réparation de la maison de Louis Borno, rue de la Guérite (parcelle 1810 D 81). Ce devis insistait sur la nécessité d'installer une fourche avec son balancier près du puits pour tirer l'eau, en remplacement de celui déjà existant. Le bourg aurait compté jusqu'à 150 chadoufs, aujourd'hui pratiquement disparus (des exemples ont été observés à l'est et au sud du village).£L'activité disparaît progressivement après la Seconde Guerre mondiale. Les espaces libres, en particulier à l'ouest et à l'est du village, sont alors peu à peu bâtis (36 % des édifices du village ont été bâtis après 1945).

Champs annexes au dossier - Architecture

  • NOTB_G £Gourvennec (Michaël), Carte archéologique du Grand Auch, ministère de la Culture et de la Communication/Grand Auch Agglomération, 2014.£Lauret (Alain), Malebranche (Raymond), Séraphin (Gilles), Bastides, villes nouvelles du Moyen Age, Ed. Milan, Toulouse, 1992.£Lavedan (Pierre), Hugueney (Jeanne), "Bastides du Gers", Bastides du Gers, p. 371-409, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société Française d'Archéologie, Paris, 1970, p. 371-409.£Lémos (G.), Monge (P.), "Pavie", dans Courtès (G., dir.), Communes du département du Gers, tome I : L'arrondissement d'Auch, Société Archéologique Historique et Historique du Gers, Auch, 2003, p. 99-101.£Mastron (J. de), "Une bastide du XIIIe s. Pavie (Gers)", Bulletin de la Société Archéologique du Gers, Société Archéologique Historique Littéraire et Scientifique du Gers, Auch, 1916, p. 175-208.£Mastron (J. de), "Une bastide du XIIIe s. Pavie (Gers)", Bulletin de la Société Archéologique du Gers, Société Archéologique Historique Littéraire et Scientifique du Gers, Auch, 1917, p. 77-119.£Polge (Michel), "Halles du Gers", Bulletin de la Société Archéologique du Gers, 1987, 2e trimestre, p. 169-178.£SAUM Pierre, Spartiacus, Sparsac, Esparsac, Pavie, 2000 ans d'histoire, fasc. polycopié, Pavie, 1979.
  • NOTB_S £Archives départementales du Gers :£Non coté : dossier documentaire (Pavie)£Série C :£- C 200. Cadastre de Pavie (1782-1786).£Série E supplément. Archives communales en dépôt :£- 3 E 149. Livre terrier (1773).£- 3 E 150. Livre terrier (1786).£Série S : travaux publics et transports depuis 1800 :£- 10 S 3. Arrondissement d'Auch. Communes de Pavie et de Seissan (1831-1893).£- 10 S 6. Pavie, alignements des rues. 3 plans de traverse (s.-d. ; 19e siècle).£- 14 S 631. Pavie, rectification de voirie (1869).£- 15 S 76. Route nationale d'Auch en Espagne. Plans d'alignement, profils de routes et d'ouvrages d'art, pour les travers des communes de Pavie, Auterive, Lasseube-Propre, Boucagnères, Orbessan, Ornezan, Seissan, Labarthe, Masseube, Panassac, Chélan, Montlaur-Bernet (1852-1898).£51 S : Moulins et usines£- 51 S 204. Pavie, moulin de Baron (1862).£- 51 S 205. Pavie, établissement d'une teinturerie (1810).£- 51 S 206. Pavie, barrage d'irrigation (1865-1866).£52 S : électrification£- 52 S 2. Eclairage. Communes d'Eauze, Gondrin, Valence, Saramon, Villecomtal, l'Isle-Jourdain, Pavie, Lavit-de-Lomagne (Tarn-et-Garonne), Seissan, L'Isle-de-Noé, Samatan (1896-1908).£1 O 309 : cotation provisoire, non classé (liasses) :£- Cimetière (1857-1921).£- Travaux divers (1863-1926).£- aliénations-échanges-usurpations (1818-1910).£- Assurances-contentieux-statistiques (1806-1928).£- Baux (1834-1929).£- Maisons d'école (1846-1967).£Série P : cadastre£- 3 P 44 : Tableaux d'expertise, canton d'Auch-sud. Pavie (1811-1812).£- 3 P 1226 : Commune de Pavie. Tableau indicatif des propriétés foncières (1811).£- 3 P 1232 : Commune de Pavie. Matrice cadastrale des propriétés bâties (1882).£- 3 P 1229 : Commune de Pavie. Matrice cadastrale des propriétés foncières, folio 521 à 840 (1856).£Archives particulières :£- Devis de réparation de la maison de Louis Borno, 4 septembre 1775.£- Acte de vente de la maison dite de Courrèges, 7 janvier 1774, étude Me Nicolas à Seissan (Archive particulière).£- Acte de vente d'une fournière, contigüe à la maison dite de Courrèges, 9 janvier 1774 (Archive particulière).
  • APPA
  • APRO
  • ARCHEO
  • AVIS
  • CCOM
  • CHARP
  • CHARPP
  • COORLB93
  • COORMLB93
  • COORMWGS84
  • COORWGS84
  • ENCA
  • EPID
  • ESSENT
  • ETACT
  • FEN
  • FEN2
  • FENP
  • INTER
  • MHPP
  • NOPC
  • OBSV
  • PAVIS
  • PETA_MA
  • PLU
  • PSAV_FA
  • SAV_FA
  • SELECT oeuvre sélectionnée
  • TAILL
  • TAILLP
  • TOITU
  • USER IVR73_SCPMIDIPYR
  • VALID accessible au grand public
  • VISI
  • VISIB
  • VOIR_AUSSI
  • WCOM
  • IMP 20230710_R_01
  • Statut de la propriété
    propriété publique
    propriété privée
  • Dessin, 1890.

    Archives départementales du Gers, Auch. : 1 O 309.
  • Carte postale, 1er quart 20e siècle.

    Photo club de Pavie
  • Carte postale, c.a. 1960.

  • carte postale, c.a. 1908.

    Photo club de Pavie
  • Carte postale, 1ère moitié 20e siècle.

    Photo club de Pavie
  • carte postale, 1er quart 20e siècle.

    Photo club de Pavie
  • Carte postale, c.a. 1960.

    Photo club de Pavie
  • Photographie argentique.

    Photo club de Pavie
  • Dessin, 1er juillet 1863

    Archives départementales du Gers, Auch : 15 S 76
  • Carte postale, sans date.

    Collection particulière
  • photographie argentique, 1ère moitié 20e siècle.

    Photo club de Pavie
  • Phototype argentique, sans date.

    Photo club de Pavie
  • Bleu, vers 1925-1930.

    Archives départementales du Gers : 5 S 208
  • Phototype argentique, c.a. 1920

Date(s) d'enquête : 2013; Date(s) de rédaction : 2015
(c) Communauté d'agglomération du Grand Auch
(c) Inventaire général Région Occitanie