Dossier d’œuvre architecture IA31012820 | Réalisé par
  • recensement du patrimoine thermal
hôtel du parc
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Inventaire général Région Occitanie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Haute-Garonne
  • Commune Salies-du-Salat
  • Adresse Austerlitz rue) 6
  • Cadastre 2021 A 354

L'hôtel est décrit dans un article de juillet 1927. Il aurait été financé par un investisseur parisien pour améliorer l'offre hôtelière de la ville en offant tout le confort possible. Dirigé par M. Raspaud fils, il compte "30 chambres type T. C. F. (Touring-club de France), larges, spacieuses, aérées, meublées au goût moderne, eau courante chaude et froide, électricité, téléphone, salle de bains etc... La salle du restaurant est grande, coquette, accueillante, admirablement éclairée par de larges baies de tous côtés à la fois". Le maître d'hôtel est alors un chef réputé. Malgré ces prestations le prix reste modéré, à partir de 30 F par jour pour la pension. En 1930, la direction est assurée par un dénommé Jo. Baric, en 1934 par Paul Nougué, ancien gérant de l'hôtel homonyme d'Hossegor.

  • Période(s)
    • Principale : 2e quart 20e siècle
  • Dates
    • 1927, datation par travaux historiques

L'hôtel bénéficie d'une implantation stratégique : en face des thermes, en bordure des allées d'Austerlitz et à proximité du casino. Il est implanté le long de la rue d'Austerlitz, précédé d'un escalier d'honneur en fer à cheval à une volée dont le perron est recouvert d'une marquise toujours en place. La façade compte sept travées les deux travées latérales forment des avancées ce qui rompt la monotonie de la façade. Deux bandeaux légérement saillant soulignent les niveaux et forment des petits décrochés sur chaque baie ce qui anime également l'élévation. L'élévation est, côté thermes, compte 3 travées tandis qu'une travée centrale unique perce l'élévation ouest. A l'est, les baies du rez-de-chaussée ont perdu leurs décors moulurés visibles sur les vues anciennes. En façade, le faux appareil de pierre du soubassement est en revanche conservé.

  • Murs
    • enduit
    • maçonnerie
  • Étages
    rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés, étage de soubassement
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • demi-croupe
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier en fer-à-cheval en maçonnerie
  • Techniques
    • décor stuqué
  • Représentations
    • monogramme
    • coquille
    • chute
  • Précision représentations

    Chacune des élévations des avant-corps latéraux est sommé par un cadre architecturé bordé d'un motif de chute et surmontée d'une coquille. Il porte en son centre le monogramme LM.

Champs annexes au dossier - Architecture

  • NOTB_G La Dépêche, 10 juillet 1927, n°32 434, p. 3.
  • NOTB_S
  • APPA
  • APRO
  • ARCHEO
  • AVIS
  • CCOM
  • CHARP
  • CHARPP
  • COORLB93
  • COORMLB93
  • COORMWGS84
  • COORWGS84
  • ENCA
  • EPID
  • ESSENT
  • ETACT
  • FEN
  • FEN2
  • FENP
  • INTER
  • MHPP
  • NOPC
  • OBSV
  • PAVIS
  • PETA_MA
  • PLU
  • PSAV_FA
  • SAV_FA
  • SELECT oeuvre repérée
  • TAILL
  • TAILLP
  • TOITU
  • USER IVR76_SCP
  • VALID accessible au grand public
  • VISI
  • VISIB
  • VOIR_AUSSI
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Phototypie Labouche frères Toulouse, série La Haute-Garonne 1010.

    Collection Claude Rigal
Date(s) d'enquête : 2021; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Inventaire général Région Occitanie