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  • (c) Inventaire général Région Occitanie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pyrénées - Bagnères-de-Luchon
  • Commune Bagnères-de-Luchon
  • Adresse 34 rue Henry Russel
  • Cadastre 2017 AD 01 297, 298
  • Dénominations
    maison
  • Précision dénomination
    de villégiature
  • Appellations
    villa Marie-Thérèse
  • Parties constituantes non étudiées
    jardin

La villa Marie-Thérèse est datable début du 20e siècle. Elle est connue par une photographie ancienne qui la montre dans un encadrement peu urbanisé, en bordure du boulevard des Pyrénées. La villa était initialement moins étendue : trois travées ont été ajoutées en direction de l'ouest. Elles reproduisent assez fidèlement le modèle des deux premières travées.

  • Période(s)
    • Principale : 1ère moitié 20e siècle

La villa est située à l'angle d'un îlot. Elle est organisée sur un plan en L dont l'angle intérieur est un peu ouvert. Un avant-corps central est placé à l'angle des deux ailes de l'édifice et souligne ainsi la situation d'angle de la villa. L'escalier extérieur, situé sur l'élévation est, dessert une vaste terrasse qui se développe au rez-de-chaussée sur toute l'élévation est, sur l'avant-corps central et se transforme en balcon sur la première travée de la façade nord. Son garde-corps maçonné à balustres la met en valeur et fait écho aux gardes corps de l'étage (corps central et balcon double de la façade est). Certaines baies sont en plein-cintre, essentiellement au rez-de-chaussée (façade est, corps central, 2e travée de la façade sud), mais également à l'étage de comble de l'avant-corps, ce qui correspond sans doute aux pièces les plus importantes de la villa. Les baies de l'étage sont ornées d'une clé à crossette. Sur l'élévation nord, deux d'entre elles sont séparées par un meneau. Les ouvertures ont toutes un encadrement saillant blanc qui répond au bossage des chaînes d'angle. Sur tout le pourtour de la villa, un décor de tables fouillées disposées verticalement est placé sous les chevrons débordants. Les lucarnes sont à croupes brisées ; celles qui correspondent au parti primitif de la villa sont dotées d'épis de faîtages individuels qui répondent à celui de la toiture.£Un majestueux escalier tournant en bois occupe la cage d'escalier. Sur l'élévation postérieure, les baies sont plus simples (rectangulaires sans clé) mais gardent un encadrement saillant qui anime l'élévation. Un balcon filant longe l'étage.

  • Murs
    • enduit
    • maçonnerie
  • Toits
    ardoise
  • Plans
    plan régulier en L
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvertures
    • toit à longs pans brisés
    • toit à plusieurs pans brisés
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant en charpente

Champs annexes au dossier - Architecture

  • NOTB_G
  • NOTB_S
  • APPA
  • APRO
  • ARCHEO
  • AVIS
  • CCOM
  • CHARP
  • CHARPP
  • COORLB93
  • COORMLB93
  • COORMWGS84
  • COORWGS84
  • ENCA
  • EPID
  • ESSENT
  • ETACT
  • FEN
  • FEN2
  • FENP
  • INTER
  • MHPP
  • NOPC
  • OBSV
  • PAVIS
  • PETA_MA
  • PLU
  • PSAV_FA
  • SAV_FA
  • SELECT oeuvre repérée
  • TAILL
  • TAILLP
  • TOITU
  • USER IVR73_SCPSTAGE01
  • VALID accessible au grand public
  • VISI
  • VISIB
  • VOIR_AUSSI
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Les Pyrénées centrales, 1re série, 839.Carte postale, entre 1918 et 1937.

    Archives départementales de Haute-Garonne : 26 FI PYRENEES 1277
Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2017