2002-2008 : chercheur associé à l'Inventaire général
depuis 2008 : cbercheur à l'Inventaire général d'Occitanie
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Dossier non géolocalisé
Il est assez diffice de dater les sécadous de la commune. Toutefois, les édifices repérés sur le terrain ne sont pas antérieurs à la première moitié du 19e siècle. On sait qu'il sont en usage jusque dans la première moitié du 20e siècle.£Le mot sécadou a une origine occitane. Il signifie séchoir et son usage est plutôt rouerguat. En Lozère ou en Limousin on parle davantage de ""clède"".
Les sécadous ponctuent régulièrement le paysage de la commune. Ces petits édifices, carrés ou rectangulaires sont établis à l'écart des habitations. Aménagés sur deux niveaux, ils disposent dun plafond intérieur, en liteaux à claire-voie, où étaient entassées les châtaignes sur environ quarante centimètres dépaisseur. Au rez-de-chaussée, le foyer ouvert permettait dentretenir pendant quinze à vingt jours un feu de souches sans flammes. La fumée dense qui sen dégageait, avant de s'échapper par tous les interstices du toit et du bâti, séchait lentement les fruits au passage.£On a repéré 5 séchoirs à châtaignes sur le territoire communal. Le premier à l'Ouradou (parcelle B 596), un second, mêlé à un four plus traditionnel au Mas de Saint-Fleuret (parcelle A2 329), le troisième dans le village (parcelle AB 630) où il est aujourd'hui réutilisé comme transformateur électrique. Un dernier sécadou a été repéré au nord-est du village (Cestrière), Il est le dernier vestige d'un ensemble plus vaste aujourd'hui ruiné. Près de l'ancien moulin de Combayre, on a localisé un ancien sécadou. Il est aujourd'hui ruiné.
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depuis 2008 : cbercheur à l'Inventaire général d'Occitanie
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