Ce bâti compte deux étages et deux travées. Le toit est débordant. Le rez-de-chaussée, contemporain, est percé d'un grand garage et d'une porte d'entrée. Le garage possède un encadrement de ciment. La porte est ornée d'un faux encadrement dessiné avec une clef sur plate-bande. Les baies du premier présentent des encadrements de bois avec des piédroits pendants moulurés et celles du second, sans encadrements, ont des appuis en ciment. La façade est couverte d'un enduit au ciment sur lequel un faux appareil de pierre a été tracé au fer. A peine un tiers de l'élévation postérieure donne sur la cour attachée à l'origine à ce bâtiment, le reste est masqué par une maison mitoyenne (2004 K 2575). Les ouvertures donnant sur cet espace et permettant son accès ont été murées. Seule apparaît encore une maçonnerie de briques insérée dans un appareil mixtes de briques et galets ; en rez-de-chaussée, se devine également une porte sur l'enduit au ciment. Le bâtiment figurant en fond de cour et dénommé « décharge » sur le plan du cadastre napoléonien a aujourd'hui disparu. Il ne subsiste que des traces de rampants sur les murs et autres décrochements non identifiables.