La parcelle repérée figure déjà dans une même emprise au sol sur le plan du cadastre napoléonien de 1828. Les états de section la dénomment « maison » et précisent son appartenance à un « militaire retraité ». Cependant, cette façade a été complètement remaniée dans le courant de la deuxième moitié du 20e siècle. Seule la fenêtre de comble témoigne d'un état antérieur (19e siècle) avec son encadrement en bois et brique.